Le journaliste Mokhtar Haider est décédé jeudi à Alger des suites d'une longue maladie à l'âge de 65 ans, a-t-on appris auprès de sa famille. Né en 1946 à La Casbah d'Alger, le défunt était diplômé de l'Ecole supérieure de journalisme d'Alger où il a également enseigné, avant d'embrasser une longue carrière de journaliste d'abord à l'agence nationale Algérie Presse Service (APS) puis au journal Liberté Economie. À l'APS où il a passé l'essentiel de sa carrière journalistique, le regretté Mokhtar Haider avait notamment occupé les postes de rédacteur en chef de la rédaction économique puis de correspondant permanent de l'agence à Bruxelles. Professionnel accompli mais aussi féru de musique, il avait longtemps animé par ailleurs une émission de variétés orientales à la Radio nationale. Ses collègues gardent de lui l'image de l'homme de métier disponible et affable, toujours prêt à mettre son talent et ses compétences au service d'une profession à laquelle il aura en définitive consacré toute sa vie. Sa prestance toute naturelle et sa sollicitude à l'endroit des plus jeunes de ses collègues n'avaient d'égales que sa discrétion et sa modestie. Sa personnalité forte et si particulière aura marqué au moins deux générations de journalistes. Le défunt était marié et père de trois enfants. APS Le journaliste Mokhtar Haider est décédé jeudi à Alger des suites d'une longue maladie à l'âge de 65 ans, a-t-on appris auprès de sa famille. Né en 1946 à La Casbah d'Alger, le défunt était diplômé de l'Ecole supérieure de journalisme d'Alger où il a également enseigné, avant d'embrasser une longue carrière de journaliste d'abord à l'agence nationale Algérie Presse Service (APS) puis au journal Liberté Economie. À l'APS où il a passé l'essentiel de sa carrière journalistique, le regretté Mokhtar Haider avait notamment occupé les postes de rédacteur en chef de la rédaction économique puis de correspondant permanent de l'agence à Bruxelles. Professionnel accompli mais aussi féru de musique, il avait longtemps animé par ailleurs une émission de variétés orientales à la Radio nationale. Ses collègues gardent de lui l'image de l'homme de métier disponible et affable, toujours prêt à mettre son talent et ses compétences au service d'une profession à laquelle il aura en définitive consacré toute sa vie. Sa prestance toute naturelle et sa sollicitude à l'endroit des plus jeunes de ses collègues n'avaient d'égales que sa discrétion et sa modestie. Sa personnalité forte et si particulière aura marqué au moins deux générations de journalistes. Le défunt était marié et père de trois enfants. APS