Quatre candidats, qui ont vu leurs inscriptions aux études de doctorat refusées, observent une grève de la faim devant la faculté des sciences politiques et de l'information Alger 3. Ces candidats, issus du département des sciences de l'information et de la communication ont choisi, de «libérer la science, et la science seule libérera le reste» tel est le slogan choisi pour leur action. Ils veulent dénoncer ainsi l'attitude des membres de l'administration. Le président du comité scientifique du département et le recteur de la faculté leur dénient en fait le droit de prétendre poursuivre des études pour l'obtention d'un doctorat. Ces grévistes de la faim, victimes de certaines lois régissant la faculté, affirment qu'ils ont épuisé tous les recours administratifs avant d'avoir d'opter pour cette solution ultime. Mais, pour l'heure, personne ne semble accorder d'attention particulière à leur action désespérée. Ils expliquent que leur cas n'est pas unique puisque voilà déjà trois ans ils étaient 47 candidats à voir leurs inscriptions rejetées, mais au fil des recours, ils restent quatre. Les grévistes de la faim déconcent : «Ces injustices» et comptent mener leur action jusqu'au bout du... désespoir. H. A. Quatre candidats, qui ont vu leurs inscriptions aux études de doctorat refusées, observent une grève de la faim devant la faculté des sciences politiques et de l'information Alger 3. Ces candidats, issus du département des sciences de l'information et de la communication ont choisi, de «libérer la science, et la science seule libérera le reste» tel est le slogan choisi pour leur action. Ils veulent dénoncer ainsi l'attitude des membres de l'administration. Le président du comité scientifique du département et le recteur de la faculté leur dénient en fait le droit de prétendre poursuivre des études pour l'obtention d'un doctorat. Ces grévistes de la faim, victimes de certaines lois régissant la faculté, affirment qu'ils ont épuisé tous les recours administratifs avant d'avoir d'opter pour cette solution ultime. Mais, pour l'heure, personne ne semble accorder d'attention particulière à leur action désespérée. Ils expliquent que leur cas n'est pas unique puisque voilà déjà trois ans ils étaient 47 candidats à voir leurs inscriptions rejetées, mais au fil des recours, ils restent quatre. Les grévistes de la faim déconcent : «Ces injustices» et comptent mener leur action jusqu'au bout du... désespoir. H. A.