La monnaie européenne s'établissait en baisse hier face au dollar à moins de 1,39 dollar, s'éloignant d'un sommet inédit atteint en début de semaine, reculant après par un regain des craintes liées aux dettes souveraines des pays fragiles de la zone euro. L'euro s'établissait à 1,3877 dollar contre 1,3905 mardi soir et se stabilisait face au yen à 114,91 yens. Le dollar s'appréciait face à la devise japonaise à 82,80 yens, contre 82,64 yens mardi. Retombant à moins de 1,40 dollar, la monnaie unique européenne est pénalisée par des prises de bénéfices et un regain d'inquiétudes sur les dettes souveraines des pays fragiles de la zone euro, expliquaient les experts. Lundi, l'euro était monté jusqu'à 1,4036 dollar, son niveau le plus élevé face au dollar depuis début novembre. Les taux de rendement des obligations à dix ans du Portugal et de la Grèce ont touché mardi des niveaux historiquement élevés, alors que la défiance des investisseurs vis-à-vis de leurs capacités à redresser leurs finances publiques rend de plus en plus coûteux pour ces Etats d'emprunter sur les marchés. L'agence de notation Moody's a ravivé les craintes en abaissant lundi de trois crans la note souveraine de la Grèce, à B1 contre Ba1 auparavant, et a prévenu qu'elle pourrait encore l'abaisser. La monnaie européenne s'établissait en baisse hier face au dollar à moins de 1,39 dollar, s'éloignant d'un sommet inédit atteint en début de semaine, reculant après par un regain des craintes liées aux dettes souveraines des pays fragiles de la zone euro. L'euro s'établissait à 1,3877 dollar contre 1,3905 mardi soir et se stabilisait face au yen à 114,91 yens. Le dollar s'appréciait face à la devise japonaise à 82,80 yens, contre 82,64 yens mardi. Retombant à moins de 1,40 dollar, la monnaie unique européenne est pénalisée par des prises de bénéfices et un regain d'inquiétudes sur les dettes souveraines des pays fragiles de la zone euro, expliquaient les experts. Lundi, l'euro était monté jusqu'à 1,4036 dollar, son niveau le plus élevé face au dollar depuis début novembre. Les taux de rendement des obligations à dix ans du Portugal et de la Grèce ont touché mardi des niveaux historiquement élevés, alors que la défiance des investisseurs vis-à-vis de leurs capacités à redresser leurs finances publiques rend de plus en plus coûteux pour ces Etats d'emprunter sur les marchés. L'agence de notation Moody's a ravivé les craintes en abaissant lundi de trois crans la note souveraine de la Grèce, à B1 contre Ba1 auparavant, et a prévenu qu'elle pourrait encore l'abaisser.