La Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (Cnep) a accordé, à fin 2010, près de 3.000 crédit immobiliers aux jeunes pour un montant de plus de 4 milliards DA, a indiqué Nacera Ibarissen, chargée de communication de la Caisse. Dans un entretien accordé à l'APS, Le responsable a expliqué que «Depuis le lancement de ce crédit en avril 2008, la Cnep-banque a accordé 2.882 crédits-jeunes pour un montant global de 4,2 milliards (MDS) DA, destinés à l'acquisition d'un logement neuf ou ancien, à la construction, l'extension ou la surélévation d'un bien immobilier», a-t-elle précisé. Elle a souligné que ce crédit a connu une nouvelle impulsion depuis son élargissement, en 2009, aux jeunes de 35 ans et moins, alors qu'il ne concernait auparavant que les jeunes ne dépassant pas 30 ans. Les jeunes peuvent, grâce à ce mécanisme, obtenir un crédit à 100% du prix de vente d'un logement neuf ou du devis estimatif dans le cadre des travaux de construction, d'extension ou de surélévation d'une habitation. Mais lorsqu'il s'agit d'une cession de bien entre particuliers, le financement est calculé entre le prix déclaré de la transaction et l'estimation de la garantie expertisée par un expert agréé près des tribunaux, selon les précisions de la banque. Sur une durée maximale de 40 ans avec une limite d'âge de 70 ans, les jeunes sont soumis à des taux de 5% pour les épargnants et de 6% pour les non épargnants, selon la même source. Cette frange de la société, représentant trois quarts de la population en Algérie, est aussi éligible aux crédits immobiliers aux taux bonifiés de 1% ou 3%, entrés en vigueur l'année dernière. Depuis sa spécialisation dans les crédits immobiliers dans les années 70, la Cnep, créée en 1964 avec la simple vocation de caisse d'épargne, a accordé 443.000 crédits hypothécaires aux particuliers à fin 2010, totalisant un montant de 220 milliards de dinars, selon Mme Ibarissen. «Les conditions d'octroi de crédits n'ont pas cessé de connaître des facilitations depuis», a-t-elle assuré. En 2010, la banque a octroyé 17.087 crédits (+6% par rapport à 2009) aux particuliers pour une valeur globale de 24,3 milliards DA, en hausse de 30% par rapport à 2009, selon un document rendu public récemment par la Cnep.Les crédits immobiliers à taux bonifié accordés par cette banque ont atteint 6.218 crédits en 2010, dont 6.119 à un taux de 1% et 99 avec un taux de 3%. D'un montant de 7,73 mds DA, ce type de crédit représentait plus d'un tiers de la totalité des crédits accordés, selon le même document. Concernant le financement des cessions de biens entre particuliers, la Cnep-banque a accordé 1.652 crédits en 2010 pour un montant de 4,7 mds DA, selon la même source. Plus de 360 de ces crédits ont été accordés aux épargnants pour un montant de 912 millions DA alors que près de 1.300 crédits ont été destinés aux non épargnants pour un montant de 3,8 mds DA. Selon Mme Ibarissen, ce type de crédit a été boosté suite à l'application, en 2004, de la «fiche de renseignement» qui n'impose plus aux clients de payer les honoraires de notariat requis pour l'obtention de «la promesse de vente», exigée auparavant. Cette fiche de renseignement, d'une validité de 90 jours, est établie entre l'acheteur et le vendeur par un agent chargé du crédit au niveau d'une agence Cnep-Banque, a-t-elle rappelé. La Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (Cnep) a accordé, à fin 2010, près de 3.000 crédit immobiliers aux jeunes pour un montant de plus de 4 milliards DA, a indiqué Nacera Ibarissen, chargée de communication de la Caisse. Dans un entretien accordé à l'APS, Le responsable a expliqué que «Depuis le lancement de ce crédit en avril 2008, la Cnep-banque a accordé 2.882 crédits-jeunes pour un montant global de 4,2 milliards (MDS) DA, destinés à l'acquisition d'un logement neuf ou ancien, à la construction, l'extension ou la surélévation d'un bien immobilier», a-t-elle précisé. Elle a souligné que ce crédit a connu une nouvelle impulsion depuis son élargissement, en 2009, aux jeunes de 35 ans et moins, alors qu'il ne concernait auparavant que les jeunes ne dépassant pas 30 ans. Les jeunes peuvent, grâce à ce mécanisme, obtenir un crédit à 100% du prix de vente d'un logement neuf ou du devis estimatif dans le cadre des travaux de construction, d'extension ou de surélévation d'une habitation. Mais lorsqu'il s'agit d'une cession de bien entre particuliers, le financement est calculé entre le prix déclaré de la transaction et l'estimation de la garantie expertisée par un expert agréé près des tribunaux, selon les précisions de la banque. Sur une durée maximale de 40 ans avec une limite d'âge de 70 ans, les jeunes sont soumis à des taux de 5% pour les épargnants et de 6% pour les non épargnants, selon la même source. Cette frange de la société, représentant trois quarts de la population en Algérie, est aussi éligible aux crédits immobiliers aux taux bonifiés de 1% ou 3%, entrés en vigueur l'année dernière. Depuis sa spécialisation dans les crédits immobiliers dans les années 70, la Cnep, créée en 1964 avec la simple vocation de caisse d'épargne, a accordé 443.000 crédits hypothécaires aux particuliers à fin 2010, totalisant un montant de 220 milliards de dinars, selon Mme Ibarissen. «Les conditions d'octroi de crédits n'ont pas cessé de connaître des facilitations depuis», a-t-elle assuré. En 2010, la banque a octroyé 17.087 crédits (+6% par rapport à 2009) aux particuliers pour une valeur globale de 24,3 milliards DA, en hausse de 30% par rapport à 2009, selon un document rendu public récemment par la Cnep.Les crédits immobiliers à taux bonifié accordés par cette banque ont atteint 6.218 crédits en 2010, dont 6.119 à un taux de 1% et 99 avec un taux de 3%. D'un montant de 7,73 mds DA, ce type de crédit représentait plus d'un tiers de la totalité des crédits accordés, selon le même document. Concernant le financement des cessions de biens entre particuliers, la Cnep-banque a accordé 1.652 crédits en 2010 pour un montant de 4,7 mds DA, selon la même source. Plus de 360 de ces crédits ont été accordés aux épargnants pour un montant de 912 millions DA alors que près de 1.300 crédits ont été destinés aux non épargnants pour un montant de 3,8 mds DA. Selon Mme Ibarissen, ce type de crédit a été boosté suite à l'application, en 2004, de la «fiche de renseignement» qui n'impose plus aux clients de payer les honoraires de notariat requis pour l'obtention de «la promesse de vente», exigée auparavant. Cette fiche de renseignement, d'une validité de 90 jours, est établie entre l'acheteur et le vendeur par un agent chargé du crédit au niveau d'une agence Cnep-Banque, a-t-elle rappelé.