Bizarre, ce besoin irrésistible de bouger ses jambes quand on est assise ou allongée. Ces impatiences sont sans gravité mais sont pénibles et peuvent gâcher la vie. Les solutions pour soulager vos jambes sans repos. Bizarre, ce besoin irrésistible de bouger ses jambes quand on est assise ou allongée. Ces impatiences sont sans gravité mais sont pénibles et peuvent gâcher la vie. Les solutions pour soulager vos jambes sans repos. Quels symptômes ? Vous avez souvent des picotements dans les mollets, parfois dans les cuisses, ou bien des brûlures, des petites décharges électriques. Cette gêne survient surtout le soir et la nuit, lorsque vous êtes au lit, parfois dans la journée, quand vous devez rester assise. Elle ne disparaît que lorsque vous bougez. Alors vous avez peut-être un syndrome des jambes sans repos (SJSR). Il n'existe aucun examen spécifique pour ce type de trouble. Le diagnostic repose donc sur la description des symptômes, qui sont tous des manifestations du système nerveux. On sait, néanmoins, que l'hérédité joue un rôle important et que la grossesse les favorise. Tout comme certains antidépresseurs, ou des maladies comme le diabète ou la polyarthrite rhumatoïde. Enfin, la xanthine (présente dans le café, le thé et le chocolat) peut expliquer l'apparition ou l'aggravation des symptômes. Les premiers gestes Marcher, bouger, se masser : pour supprimer les jambes sans repos, il suffit parfois de modifier son régime alimentaire, de revoir son traitement avec le médecin ou de prendre en charge la maladie responsable. Si l'insuffisance veineuse n'est pas en cause, les mêmes gestes peuvent atténuer momentanément la gêne : se masser les pieds, se doucher les jambes à l'eau fraîche ou faire quelques mouvements de pédalage, allongée sur le dos. Les traitements médicaux Un supplément de fer. Une carence légère, sans aller jusqu'à l'anémie, peut suffire à provoquer des impatiences. Il est donc indispensable de vérifier le stock de fer dans l'organisme. En prendre pendant quelques mois peut alors être très efficace. Un médicament. Le neurologue peut être amené à vous prescrire un antagoniste dopaminergique. Utilisé contre la maladie de Parkinson, mais à des doses moins importantes. Ce type de médicament donne de bons résultats. Mais il n'est pas toujours bien toléré, les patients se plaignant de nausées ou de somnolence. Même s'ils sont transitoires, ces effets secondaires sont une cause d'échec. Source Top Santé Quels symptômes ? Vous avez souvent des picotements dans les mollets, parfois dans les cuisses, ou bien des brûlures, des petites décharges électriques. Cette gêne survient surtout le soir et la nuit, lorsque vous êtes au lit, parfois dans la journée, quand vous devez rester assise. Elle ne disparaît que lorsque vous bougez. Alors vous avez peut-être un syndrome des jambes sans repos (SJSR). Il n'existe aucun examen spécifique pour ce type de trouble. Le diagnostic repose donc sur la description des symptômes, qui sont tous des manifestations du système nerveux. On sait, néanmoins, que l'hérédité joue un rôle important et que la grossesse les favorise. Tout comme certains antidépresseurs, ou des maladies comme le diabète ou la polyarthrite rhumatoïde. Enfin, la xanthine (présente dans le café, le thé et le chocolat) peut expliquer l'apparition ou l'aggravation des symptômes. Les premiers gestes Marcher, bouger, se masser : pour supprimer les jambes sans repos, il suffit parfois de modifier son régime alimentaire, de revoir son traitement avec le médecin ou de prendre en charge la maladie responsable. Si l'insuffisance veineuse n'est pas en cause, les mêmes gestes peuvent atténuer momentanément la gêne : se masser les pieds, se doucher les jambes à l'eau fraîche ou faire quelques mouvements de pédalage, allongée sur le dos. Les traitements médicaux Un supplément de fer. Une carence légère, sans aller jusqu'à l'anémie, peut suffire à provoquer des impatiences. Il est donc indispensable de vérifier le stock de fer dans l'organisme. En prendre pendant quelques mois peut alors être très efficace. Un médicament. Le neurologue peut être amené à vous prescrire un antagoniste dopaminergique. Utilisé contre la maladie de Parkinson, mais à des doses moins importantes. Ce type de médicament donne de bons résultats. Mais il n'est pas toujours bien toléré, les patients se plaignant de nausées ou de somnolence. Même s'ils sont transitoires, ces effets secondaires sont une cause d'échec. Source Top Santé