La Chine a ordonné mardi soir à ses autorités portuaires et aéroportuaires de renforcer la surveillance des substances radioactives entrant dans le pays qui auraient pu être exposés à des radiations après les rejets radioactifs de la centrale de Fukushima 1 au Japon. Les agents de contrôle aux frontières et les services de quarantaine ont reçu pour instruction de rechercher d'éventuels niveaux anormaux de radioactivité dans ses ports d'entrée, a indiqué mardi soir un communiqué officiel. Le texte insiste sur la "gravité et les incertitudes" planant après la série d'explosions, d'incendies et de rejets contaminant à la centrale nucléaire japonaise, endommagée par le très puissant séisme et le tsunami dévastateur de vendredi dernier. Le ministère chinois de la Protection de l'environnement a assuré qu'aucun niveau suspect de radioactivité n'avait été détecté en Chine. Les services douaniers des aéroports de Shanghai et de Pékin ont de leur côté indiqué que des contrôles de radioactivité étaient effectués sur les voyageurs à l'arrivée. Des responsables de l'aéroport de Pékin, deuxième le plus fréquenté au monde, ont toutefois précisé qu'il s'agissait de mesures de routine. Pékin s'est dit mardi "très préoccupé" au sujet de la sécurité des Chinois au Japon et a annoncé l'évacuation de milliers de ses ressortissants de la zone sinistrée du nord-est du pays qui fait face à une grave crise nucléaire, quatre jours après un violent séisme et un tsunami. La radioactivité mesurée à l'entrée de la centrale nucléaire de Fukushima a augmenté fortement vers 01H00 GMT avant de baisser ensuite, a déclaré hier le porte-parole du gouvernement japonais. La Chine a ordonné mardi soir à ses autorités portuaires et aéroportuaires de renforcer la surveillance des substances radioactives entrant dans le pays qui auraient pu être exposés à des radiations après les rejets radioactifs de la centrale de Fukushima 1 au Japon. Les agents de contrôle aux frontières et les services de quarantaine ont reçu pour instruction de rechercher d'éventuels niveaux anormaux de radioactivité dans ses ports d'entrée, a indiqué mardi soir un communiqué officiel. Le texte insiste sur la "gravité et les incertitudes" planant après la série d'explosions, d'incendies et de rejets contaminant à la centrale nucléaire japonaise, endommagée par le très puissant séisme et le tsunami dévastateur de vendredi dernier. Le ministère chinois de la Protection de l'environnement a assuré qu'aucun niveau suspect de radioactivité n'avait été détecté en Chine. Les services douaniers des aéroports de Shanghai et de Pékin ont de leur côté indiqué que des contrôles de radioactivité étaient effectués sur les voyageurs à l'arrivée. Des responsables de l'aéroport de Pékin, deuxième le plus fréquenté au monde, ont toutefois précisé qu'il s'agissait de mesures de routine. Pékin s'est dit mardi "très préoccupé" au sujet de la sécurité des Chinois au Japon et a annoncé l'évacuation de milliers de ses ressortissants de la zone sinistrée du nord-est du pays qui fait face à une grave crise nucléaire, quatre jours après un violent séisme et un tsunami. La radioactivité mesurée à l'entrée de la centrale nucléaire de Fukushima a augmenté fortement vers 01H00 GMT avant de baisser ensuite, a déclaré hier le porte-parole du gouvernement japonais.