Le Qatar vient d'exprimer sa disponibilité pour participer à l'intervention militaire décidée par les Nations unies en Libye, afin de protéger les civils contre les assauts meurtriers de Mouammar El-Gueddafi. Le Qatar a affirmé hier qu'il prendra part aux "efforts destinés à faire cesser le bain de sang et à protéger les civils en Libye", a déclaré un responsable du ministère des Affaires étrangères cité par l'agence de presse qatarie QNA. "Au vu de la résolution votée par le Conseil de sécurité des Nations unies, le Qatar a décidé de contribuer aux efforts destinés à faire cesser le bain de sang et à protéger les civils en Libye", a dit ce responsable. Le Conseil de sécurité de l'Onu a approuvé jeudi dernier une résolution autorisant "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les civils contre les forces du dirigeant Mouammar El-Gueddafi, y compris la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye. La résolution a été votée par dix (10) oui et cinq (5) abstentions sans aucun veto. L'un des rares, sinon le seul pays arabe à se prononcer non seulement favorable mais comme acteur de cet assaut, le Qatar vient s'ajouter aux autres pays européens et américains qui préparent une action militaire anti-Gueddafi. Il s'agit en effet, de la France, des Etat-Unis, du Canada, du Royaume-Uni, du Danemark et de la Norvège. Outre le Qatar, les Emirats arabes unis prendront également part à des opérations militaires conjointes contre le régime du colonel Mouammar El-Gueddafi en Libye dans le cadre du mandat des Nations unies, selon un diplomate onusien. "Il y aura la participation du Qatar et des Emirats arabes unis. Cela a été confirmé au Conseil de sécurité", a souligné ce diplomate. L'ambassadeur adjoint libyen à l'Onu Ibrahim Dabbachi, qui a fait défection, avait déclaré devant la presse mercredi "qu'environ cinq pays arabes étaient prêts à participer à l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne en Libye". D'ailleurs, le président français Nicolas Sarkozy a reçu hier matin l'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa al Thani pour, selon l'Elysée, évoquer "les suites de la résolution 1973 du Conseil de sécurité", et collaborer les efforts avec les différents alliés en perspective de cette intervention militaire imminente. A ce titre, si Londres déploie déjà ses moyens, Paris écarte une intervention militaire terrestre, précisant qu'il s'agit «d'une intervention militaire qui n'est pas, je le rappelle, une occupation du territoire libyen, mais qui est un dispositif de nature militaire pour protéger le peuple libyen et lui permettre d'aller jusqu'au bout de son souffle de liberté», a ajouté le porte-parole du gouvernement français. Le Qatar vient d'exprimer sa disponibilité pour participer à l'intervention militaire décidée par les Nations unies en Libye, afin de protéger les civils contre les assauts meurtriers de Mouammar El-Gueddafi. Le Qatar a affirmé hier qu'il prendra part aux "efforts destinés à faire cesser le bain de sang et à protéger les civils en Libye", a déclaré un responsable du ministère des Affaires étrangères cité par l'agence de presse qatarie QNA. "Au vu de la résolution votée par le Conseil de sécurité des Nations unies, le Qatar a décidé de contribuer aux efforts destinés à faire cesser le bain de sang et à protéger les civils en Libye", a dit ce responsable. Le Conseil de sécurité de l'Onu a approuvé jeudi dernier une résolution autorisant "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les civils contre les forces du dirigeant Mouammar El-Gueddafi, y compris la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye. La résolution a été votée par dix (10) oui et cinq (5) abstentions sans aucun veto. L'un des rares, sinon le seul pays arabe à se prononcer non seulement favorable mais comme acteur de cet assaut, le Qatar vient s'ajouter aux autres pays européens et américains qui préparent une action militaire anti-Gueddafi. Il s'agit en effet, de la France, des Etat-Unis, du Canada, du Royaume-Uni, du Danemark et de la Norvège. Outre le Qatar, les Emirats arabes unis prendront également part à des opérations militaires conjointes contre le régime du colonel Mouammar El-Gueddafi en Libye dans le cadre du mandat des Nations unies, selon un diplomate onusien. "Il y aura la participation du Qatar et des Emirats arabes unis. Cela a été confirmé au Conseil de sécurité", a souligné ce diplomate. L'ambassadeur adjoint libyen à l'Onu Ibrahim Dabbachi, qui a fait défection, avait déclaré devant la presse mercredi "qu'environ cinq pays arabes étaient prêts à participer à l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne en Libye". D'ailleurs, le président français Nicolas Sarkozy a reçu hier matin l'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa al Thani pour, selon l'Elysée, évoquer "les suites de la résolution 1973 du Conseil de sécurité", et collaborer les efforts avec les différents alliés en perspective de cette intervention militaire imminente. A ce titre, si Londres déploie déjà ses moyens, Paris écarte une intervention militaire terrestre, précisant qu'il s'agit «d'une intervention militaire qui n'est pas, je le rappelle, une occupation du territoire libyen, mais qui est un dispositif de nature militaire pour protéger le peuple libyen et lui permettre d'aller jusqu'au bout de son souffle de liberté», a ajouté le porte-parole du gouvernement français.