L'espace urbain doit se traiter d'une façon plus adaptée, cohérente et attractive, a déclaré le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Noureddine Moussa, depuis Ouargla, hier. «L'urbanisme ne doit pas s'imposer à nous, mais il doit être planifié», a souligné le ministre, lors de la rencontre régionale centre, de préparation des assises nationales de l'urbanisme prévues à la fin du premier semestre de l'année en cours. La fonction urbanistique «n'est pas seulement la responsabilité de l'urbaniste, mais elle doit s'intégrer dans une approche beaucoup plus large et concertée», a estimé M. Moussa. L'aspect qualité sous lequel mise le programme de développement quinquennal 2010-2014 «commander la démarche sur tout l'itinéraire de l'acte bâti». «La qualité a un prix, mais la non qualité a aussi un coût élevé», a-t-il fait remarquer. Evoquant l'envergure des programmes d'habitat et d'urbanisme contenus dans l'actuel quinquennat, il lancera, à ce titre, un appel aux présidents des Assemblées populaires communales (APC), «à accélérer l'adoption des instruments dont les études ont été finalisées ». L'espace urbain doit se traiter d'une façon plus adaptée, cohérente et attractive, a déclaré le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Noureddine Moussa, depuis Ouargla, hier. «L'urbanisme ne doit pas s'imposer à nous, mais il doit être planifié», a souligné le ministre, lors de la rencontre régionale centre, de préparation des assises nationales de l'urbanisme prévues à la fin du premier semestre de l'année en cours. La fonction urbanistique «n'est pas seulement la responsabilité de l'urbaniste, mais elle doit s'intégrer dans une approche beaucoup plus large et concertée», a estimé M. Moussa. L'aspect qualité sous lequel mise le programme de développement quinquennal 2010-2014 «commander la démarche sur tout l'itinéraire de l'acte bâti». «La qualité a un prix, mais la non qualité a aussi un coût élevé», a-t-il fait remarquer. Evoquant l'envergure des programmes d'habitat et d'urbanisme contenus dans l'actuel quinquennat, il lancera, à ce titre, un appel aux présidents des Assemblées populaires communales (APC), «à accélérer l'adoption des instruments dont les études ont été finalisées ».