La Cour constitutionnelle du Bénin a confirmé lundi l'élection au premier tour du scrutin présidentiel du 13 mars dernier du chef de l'Etat sortant, M. Boni Yayi avec 53,14% des suffrages exprimés. Le candidat de la principale coalition de l'opposition, Me Adrien Houngbédji arrive en seconde position avec 35,64 % des suffrages, suivi d'Abdoulaye Bio Tchané, ancien président de la Banque ouest africaine de développement (Boad), qui recueille 6,4% des suffrages exprimés. Les grandes tendances du scrutin publiées vendredi dernier par la Commission électorale nationale autonome (Céna) donnaient déjà Boni Yayi vainqueur dès le premier tour du scrutin avec 53 % des suffrages contre 35% pour Me Adrien Houngbédji. Selon la constitution béninoise, les résultats donnés par la Cour constitutionnelle sont des résultats provisoires et peuvent donner lieu à des recours devant la même cour. 14 candidats étaient en lice pour ce scrutin jugé libre et régulier par les observateurs internationaux dont ceux de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEEAO) et de l'Union africaine (UA). La Cour constitutionnelle du Bénin a confirmé lundi l'élection au premier tour du scrutin présidentiel du 13 mars dernier du chef de l'Etat sortant, M. Boni Yayi avec 53,14% des suffrages exprimés. Le candidat de la principale coalition de l'opposition, Me Adrien Houngbédji arrive en seconde position avec 35,64 % des suffrages, suivi d'Abdoulaye Bio Tchané, ancien président de la Banque ouest africaine de développement (Boad), qui recueille 6,4% des suffrages exprimés. Les grandes tendances du scrutin publiées vendredi dernier par la Commission électorale nationale autonome (Céna) donnaient déjà Boni Yayi vainqueur dès le premier tour du scrutin avec 53 % des suffrages contre 35% pour Me Adrien Houngbédji. Selon la constitution béninoise, les résultats donnés par la Cour constitutionnelle sont des résultats provisoires et peuvent donner lieu à des recours devant la même cour. 14 candidats étaient en lice pour ce scrutin jugé libre et régulier par les observateurs internationaux dont ceux de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEEAO) et de l'Union africaine (UA).