Il y a quelques jours seulement, Mouammar Kadhafi avait adressé un virulent message sonore à ses adversaires. Dans ce message, il promettait de transformer la Méditerranée en un «champs de bataille». Depuis dimanche passé, le dirigeant libyen, pris en otage au milieu des bombardements de la coalition internationale, observe un étonnant silence. Les édifices libyens sont transformés en cendres, y compris la résidence de Kadhafi qui n'a pas été épargnée. Ce dernier serait encore terré, en l'absence de toute confirmation, dans un lieu tenu secret. Peut-on alors avancer l'hypothèse que « le guide de la révolution libyenne » ait prisconscience que l'heure de la fin est arrivée ? Après presque cinq décennies aux rênes du pouvoir, s'est-il rendu compte que ses jours étaient comptés ? D'aucuns ne peuvent répondre à ces interrogations pour le moment, néanmoins, faut-il alors avancer l'autre hypothèse selon laquelle le dirigeant libyen opte pour une alternative que l'on pourrait qualifier d'extrême. Terré dans son bunker, osera-t-il passer à l'acte, en se faisant « hara-kiri » ? Le doute subsiste encore. S'il se fait prendre par l'opposition, il est peu probable qu'il voie le lendemain. Au sein de la coalition, des divisions subsistent quant au moyen de chasser Kadhafi du pouvoir. Les chancelleries engagées dans l'action militaire, semble-t-il, sont divisées à ce propos. Toutefois, une chose est certaine, le mot d'ordre étant que Kadhafi doit être chassé du régime. La question, maintenant, est de savoir par quel moyen y arriver. Pour les Britanniques, a-t-on compris, la question ne se pose plus. Il est tout à fait légitime, ont-ils fait comprendre, de prendre pour cibles ceux qui tuent des civils. Selon eux, il n'est donc pas exclu que le leader libyen soit, directement, ciblé par des frappes militaires. Les Français, peut-on le comprendre, n'en pensent pas moins, bien qu'ils soient un tant soit peu discrets. Pour le moment, Kadhafi a préféré, constat fait, espérant s'en sortir sain et sauf, se cacher derrière les civils. Ce « bouclier humain », composé de civils, issus de sa propre population, pour empêcher les armées de la coalition de le bombarder lui et son régime. Pour l'heure, il est clair que le dirigeant libyen persiste dans sa frénésie qui, selon les rumeurs, aurait déjà coûté la vie à l'un de ses fils. Ce dernier qui s'appelle Khamis est le sixième et commandant de l'unité 32 dans les forces spéciales de l'armée libyenne. Il aurait succombé à ses blessures dans un hôpital de Tripoli, après un affrontement avec un pilote de l'aviation libyenne passé à l'opposition. Une information qui n'a toujours pas été confirmée officiellement. Il y a quelques jours seulement, Mouammar Kadhafi avait adressé un virulent message sonore à ses adversaires. Dans ce message, il promettait de transformer la Méditerranée en un «champs de bataille». Depuis dimanche passé, le dirigeant libyen, pris en otage au milieu des bombardements de la coalition internationale, observe un étonnant silence. Les édifices libyens sont transformés en cendres, y compris la résidence de Kadhafi qui n'a pas été épargnée. Ce dernier serait encore terré, en l'absence de toute confirmation, dans un lieu tenu secret. Peut-on alors avancer l'hypothèse que « le guide de la révolution libyenne » ait prisconscience que l'heure de la fin est arrivée ? Après presque cinq décennies aux rênes du pouvoir, s'est-il rendu compte que ses jours étaient comptés ? D'aucuns ne peuvent répondre à ces interrogations pour le moment, néanmoins, faut-il alors avancer l'autre hypothèse selon laquelle le dirigeant libyen opte pour une alternative que l'on pourrait qualifier d'extrême. Terré dans son bunker, osera-t-il passer à l'acte, en se faisant « hara-kiri » ? Le doute subsiste encore. S'il se fait prendre par l'opposition, il est peu probable qu'il voie le lendemain. Au sein de la coalition, des divisions subsistent quant au moyen de chasser Kadhafi du pouvoir. Les chancelleries engagées dans l'action militaire, semble-t-il, sont divisées à ce propos. Toutefois, une chose est certaine, le mot d'ordre étant que Kadhafi doit être chassé du régime. La question, maintenant, est de savoir par quel moyen y arriver. Pour les Britanniques, a-t-on compris, la question ne se pose plus. Il est tout à fait légitime, ont-ils fait comprendre, de prendre pour cibles ceux qui tuent des civils. Selon eux, il n'est donc pas exclu que le leader libyen soit, directement, ciblé par des frappes militaires. Les Français, peut-on le comprendre, n'en pensent pas moins, bien qu'ils soient un tant soit peu discrets. Pour le moment, Kadhafi a préféré, constat fait, espérant s'en sortir sain et sauf, se cacher derrière les civils. Ce « bouclier humain », composé de civils, issus de sa propre population, pour empêcher les armées de la coalition de le bombarder lui et son régime. Pour l'heure, il est clair que le dirigeant libyen persiste dans sa frénésie qui, selon les rumeurs, aurait déjà coûté la vie à l'un de ses fils. Ce dernier qui s'appelle Khamis est le sixième et commandant de l'unité 32 dans les forces spéciales de l'armée libyenne. Il aurait succombé à ses blessures dans un hôpital de Tripoli, après un affrontement avec un pilote de l'aviation libyenne passé à l'opposition. Une information qui n'a toujours pas été confirmée officiellement.