Les médecins résidents maintiennent leurs revendications, et dans l'espoir de les voir aboutir, ils ont repris, avant-hier, leur mouvement de grève. L'objectif de ce débrayage est d'obtenir des solutions concrètes à leurs problèmes socioprofessionnels. Tout comme pour leur premier mouvement de grève, observé les 15 et 16 mars, ils étaient nombreux à répondre à l'appel lancé par le Collectif autonome des médecins résidents algériens. «Le taux de suivi à l'échelle nationale est à près de 90%», a affirmé le docteur Amine Benhbib, porte-parole du collectif. Ainsi ces centaines, voire milliers de médecins tiennent à la satisfaction de leurs revendications transmises, à maintes reprises, au ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière, dans l'espoir d'y apporter des solutions fiables, sont recourir aux grèves qui perturbent la bonne marche des services hospitaliers rt en pénalisant en premier lieu les patients. Mais le mutisme de leur tutelle a poussé les médecins à cette extrémité «en attendant la réaction du ministère», nous diront des représentants du Collectif national des médecins résidents approchés hier au CHU Mustapha-Pacha à Alger. Il faut noter que le collectif national des médecins résidents - qui a vu le jour il y a quelques semaines seulement - a présenté aux deux ministères de tutelle, à savoir celui de la Santé et celui de l'Enseignement supérieur, une plateforme de revendications, où l'abrogation du service civil reste parmi les principales revendications des médecins. Ils mettent pour condition à l'arrêt de leur grève des mesures et décisions officielles et écrites de la part de la tutelle. Les médecins résidents proposent en outre de remplacer le service civil par des postes budgétaires. «conscients que les pouvoirs publics ont, à juste titre, la préoccupation de permettre à tous les citoyens de recevoir des soins de qualité ; nous proposons l'ouverture de postes budgétaires dans toutes les wilayas du pays accompagnées de mesures incitatives», disent-ils. Il faut noter que les représentants des médecins résidents disent attendre une invitation pour prendre part aux réunions de travail annoncées, il y a quelques jours, par le ministre de la Santé et la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès et qui devraient se tenir aujourd'hui et demain. Le ministère de l'Enseignement supérieur, de son côté, a envoyé selon le porte-parole du collectif des médecins résidents, «une note aux doyens des facultés de médecine à l'échelle nationale pour discuter avec les médecins résidents de leurs problèmes pédagogiques». D'autre part, les étudiants en chirurgie dentaire observent «une grève illimitée», indique un membre du collectif autonome. Ces étudiants contestent principalement le manque d'hygiène dans les infrastructures sanitaires. Les médecins résidents maintiennent leurs revendications, et dans l'espoir de les voir aboutir, ils ont repris, avant-hier, leur mouvement de grève. L'objectif de ce débrayage est d'obtenir des solutions concrètes à leurs problèmes socioprofessionnels. Tout comme pour leur premier mouvement de grève, observé les 15 et 16 mars, ils étaient nombreux à répondre à l'appel lancé par le Collectif autonome des médecins résidents algériens. «Le taux de suivi à l'échelle nationale est à près de 90%», a affirmé le docteur Amine Benhbib, porte-parole du collectif. Ainsi ces centaines, voire milliers de médecins tiennent à la satisfaction de leurs revendications transmises, à maintes reprises, au ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière, dans l'espoir d'y apporter des solutions fiables, sont recourir aux grèves qui perturbent la bonne marche des services hospitaliers rt en pénalisant en premier lieu les patients. Mais le mutisme de leur tutelle a poussé les médecins à cette extrémité «en attendant la réaction du ministère», nous diront des représentants du Collectif national des médecins résidents approchés hier au CHU Mustapha-Pacha à Alger. Il faut noter que le collectif national des médecins résidents - qui a vu le jour il y a quelques semaines seulement - a présenté aux deux ministères de tutelle, à savoir celui de la Santé et celui de l'Enseignement supérieur, une plateforme de revendications, où l'abrogation du service civil reste parmi les principales revendications des médecins. Ils mettent pour condition à l'arrêt de leur grève des mesures et décisions officielles et écrites de la part de la tutelle. Les médecins résidents proposent en outre de remplacer le service civil par des postes budgétaires. «conscients que les pouvoirs publics ont, à juste titre, la préoccupation de permettre à tous les citoyens de recevoir des soins de qualité ; nous proposons l'ouverture de postes budgétaires dans toutes les wilayas du pays accompagnées de mesures incitatives», disent-ils. Il faut noter que les représentants des médecins résidents disent attendre une invitation pour prendre part aux réunions de travail annoncées, il y a quelques jours, par le ministre de la Santé et la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès et qui devraient se tenir aujourd'hui et demain. Le ministère de l'Enseignement supérieur, de son côté, a envoyé selon le porte-parole du collectif des médecins résidents, «une note aux doyens des facultés de médecine à l'échelle nationale pour discuter avec les médecins résidents de leurs problèmes pédagogiques». D'autre part, les étudiants en chirurgie dentaire observent «une grève illimitée», indique un membre du collectif autonome. Ces étudiants contestent principalement le manque d'hygiène dans les infrastructures sanitaires.