La comédie musicale algérienne Essaha (La place) de Dahmane Ouzid est en lice pour de nouveaux prix à l'échelle internationale, a indiqué à Oran le producteur de cette œuvre, Belkacem Hadjadj. Le film sera prochainement en compétition dans plusieurs festivals à l'instar de ceux de Tétouan (Maroc) et de Milan (Italie), a précisé M. Hadjadj hier à l'issue de la projection de ce long-métrage à la cinémathèque d'Oran. Essaha a déjà décroché plusieurs prix suite à sa nomination au Festival international du cinéma méditerranéen de Montpellier (France), au Festival international du film arabe d'Oran, et au Fespaco de Ouagadougou (Burkina Faso). Le public de la salle de répertoire d'Oran a fait le déplacement en nombre à l'occasion de la sortie nationale de cette production cinématographique, tenue également en présence de deux jeunes comédiens, Ghazel El Alloui et Amine Boumediene. Le film, dont le scénario est signé Salim Aïssa, a fait bonne impression parmi les spectateurs qui affirment avoir été séduits notamment par la "richesse du dialogue" et la "qualité des prestations chorégraphiques". L'histoire qui a pour toile de fond un conflit autour de l'usage d'un espace au sein d'une nouvelle cité d'habitation, met la jeunesse au cœur des questions d'ordre social et environnemental. "Essaha aborde des problématiques sérieuses de la jeunesse avec dérision et humour, donne des émotions en mettant l'accent sur ce qu'il y a de plus beau et naturel dans notre société", a expliqué M. Hadjadj lors d'une séance-débat avec le public. Ce cinéaste a également évoqué la nouvelle législation qui constitue, a-t-il estimé, une "opportunité pour l'organisation des professionnels du secteur et la relance de la production cinématographique algérienne". Il a aussi insisté sur la nécessité d'instaurer une nouvelle dynamique aux plans de la formation, des sources de financement et de la distribution. La comédie musicale algérienne Essaha (La place) de Dahmane Ouzid est en lice pour de nouveaux prix à l'échelle internationale, a indiqué à Oran le producteur de cette œuvre, Belkacem Hadjadj. Le film sera prochainement en compétition dans plusieurs festivals à l'instar de ceux de Tétouan (Maroc) et de Milan (Italie), a précisé M. Hadjadj hier à l'issue de la projection de ce long-métrage à la cinémathèque d'Oran. Essaha a déjà décroché plusieurs prix suite à sa nomination au Festival international du cinéma méditerranéen de Montpellier (France), au Festival international du film arabe d'Oran, et au Fespaco de Ouagadougou (Burkina Faso). Le public de la salle de répertoire d'Oran a fait le déplacement en nombre à l'occasion de la sortie nationale de cette production cinématographique, tenue également en présence de deux jeunes comédiens, Ghazel El Alloui et Amine Boumediene. Le film, dont le scénario est signé Salim Aïssa, a fait bonne impression parmi les spectateurs qui affirment avoir été séduits notamment par la "richesse du dialogue" et la "qualité des prestations chorégraphiques". L'histoire qui a pour toile de fond un conflit autour de l'usage d'un espace au sein d'une nouvelle cité d'habitation, met la jeunesse au cœur des questions d'ordre social et environnemental. "Essaha aborde des problématiques sérieuses de la jeunesse avec dérision et humour, donne des émotions en mettant l'accent sur ce qu'il y a de plus beau et naturel dans notre société", a expliqué M. Hadjadj lors d'une séance-débat avec le public. Ce cinéaste a également évoqué la nouvelle législation qui constitue, a-t-il estimé, une "opportunité pour l'organisation des professionnels du secteur et la relance de la production cinématographique algérienne". Il a aussi insisté sur la nécessité d'instaurer une nouvelle dynamique aux plans de la formation, des sources de financement et de la distribution.