Le chef de service de neurologie à l'établissement hospitalier Lamine-Debaghine, le Pr Ahmed Nacer Masmoudi a relevé jeudi à Alger que 7% d'Algériens souffraient de neuropathie. "Les personnes souffrant d'une forte douleur neurologique consultent en premier lieu un médecin généraliste qui tente de définir les causes de la douleur avant de les orienter vers un médecin spécialiste si nécessaire", a indiqué le Pr Masmoudi lors d'une rencontre scientifique sur la prise en charge de la neuropathie. Pour le spécialiste, le diabète et la chirurgie orthopédique sont parmi les principaux facteurs à l'origine des neuropathies qui présentent un véritable problème de santé à prendre en charge pour atténuer les souffrances des patients. Destinée principalement aux médecins généralistes, a-t-il dit, cette rencontre a pour objectif d'éclaircir les visions et unifier les concepts en matière de traitement et de prise en charge. Il a appelé également à la nécessité de faire la distinction entre les types de neuropathies passagères et chroniques avant de prescrire un traitement. Le président de l'association algérienne de prise en charge des neuropathies, le Pr Brahim Keriane, a souligné de son côté, l'impératif de sensibiliser les médecins généralistes et spécialistes et de les former en matière de prise en charge de cette maladie. Pour ce qui est des calmants notamment la morphine, le spécialiste a précisé qu'en dépit de l'allègement des mesures par le ministère de la santé pour accéder à ce genre d'antalgiques, "certaines pharmacies continuent d'appliquer les anciennes mesures ce qui rend plus difficile l'acquisition de ces médicaments vitaux", a-t-il dit. Afin d'accéder à la morphine, le patient doit présenter une ordonnance médicale et une pièce d'identité pour l'inscrire sur un registre spécial au niveau de la pharmacie. Ce registre est soumis, de temps à autre, au contrôle de la Gendarmerie nationale afin que ces médicaments ne soient pas utiliser à d'autres fins. Par ailleurs, les spécialistes ont préconisé la mise en place d'un plan de prise en charge de la maladie et l'ouverture de centres spécialisés à travers le pays. Le chef de service de neurologie à l'établissement hospitalier Lamine-Debaghine, le Pr Ahmed Nacer Masmoudi a relevé jeudi à Alger que 7% d'Algériens souffraient de neuropathie. "Les personnes souffrant d'une forte douleur neurologique consultent en premier lieu un médecin généraliste qui tente de définir les causes de la douleur avant de les orienter vers un médecin spécialiste si nécessaire", a indiqué le Pr Masmoudi lors d'une rencontre scientifique sur la prise en charge de la neuropathie. Pour le spécialiste, le diabète et la chirurgie orthopédique sont parmi les principaux facteurs à l'origine des neuropathies qui présentent un véritable problème de santé à prendre en charge pour atténuer les souffrances des patients. Destinée principalement aux médecins généralistes, a-t-il dit, cette rencontre a pour objectif d'éclaircir les visions et unifier les concepts en matière de traitement et de prise en charge. Il a appelé également à la nécessité de faire la distinction entre les types de neuropathies passagères et chroniques avant de prescrire un traitement. Le président de l'association algérienne de prise en charge des neuropathies, le Pr Brahim Keriane, a souligné de son côté, l'impératif de sensibiliser les médecins généralistes et spécialistes et de les former en matière de prise en charge de cette maladie. Pour ce qui est des calmants notamment la morphine, le spécialiste a précisé qu'en dépit de l'allègement des mesures par le ministère de la santé pour accéder à ce genre d'antalgiques, "certaines pharmacies continuent d'appliquer les anciennes mesures ce qui rend plus difficile l'acquisition de ces médicaments vitaux", a-t-il dit. Afin d'accéder à la morphine, le patient doit présenter une ordonnance médicale et une pièce d'identité pour l'inscrire sur un registre spécial au niveau de la pharmacie. Ce registre est soumis, de temps à autre, au contrôle de la Gendarmerie nationale afin que ces médicaments ne soient pas utiliser à d'autres fins. Par ailleurs, les spécialistes ont préconisé la mise en place d'un plan de prise en charge de la maladie et l'ouverture de centres spécialisés à travers le pays.