En dépit des progrès économiques et sociaux importants accomplis ces dernières années, beaucoup de pays africains sont toujours confrontés à une pauvreté extrême, parfois généralisée. En dépit des progrès économiques et sociaux importants accomplis ces dernières années, beaucoup de pays africains sont toujours confrontés à une pauvreté extrême, parfois généralisée. La réduction de la pauvreté et la lutte contre le chômage sont les plus grands défis que compte relever la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (CEA) durant les deux prochaines années, indique hier à Addis Abeba un rapport d'experts de la CEA. Ces deux objectifs constituent les grandes priorités du programme de travail de la Commission pour la période biennale 2012-2013, qui a été présenté vendredi lors de la troisième journée de la réunion du Comité des experts de l'Union africaine (UA) et de la CEA, qui planchent sur l'ordre du jour de la réunion des ministres africains des finances et de l'économie, dont les travaux s'ouvrent dans la capitale éthiopienne. Le programme a pour objectif global d'aider les pays africains à élaborer et appliquer des politiques économiques favorisant une croissance et un développement durable, en mettant notamment l'accent sur la réduction de la pauvreté, conformément aux objectifs du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD). «La réduction de la pauvreté demeure le plus grand défi en matière de développement en Afrique'', souligne la Commission dans son rapport. En dépit des progrès économiques et sociaux importants accomplis ces dernières années, beaucoup de pays africains sont toujours confrontés à une pauvreté extrême, parfois généralisée, estime la CEA. «La crise financière mondiale a eu des conséquences dramatiques pour les pays qui luttent contre la pauvreté, comme elle a également aggravé l'impact des récentes crises alimentaire et du carburant, mettant en péril la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et compromettant le développement économique et social de l'Afrique sur le long terme'', ajoute le rapport de la CEA. C'est particulièrement le cas des Etats africains faisant partie des 33 pays les moins avancés (PMA), qui n'ont enregistré que de lents progrès par rapport au Programme d'action de Bruxelles (2001-2010) qui leur est propre. Aux taux de croissance actuels, l'Afrique demeure le seul continent à n'être pas bien parti pour réaliser l'OMD consistant à réduire de moitié la pauvreté dans le monde en 2015. La situation est aggravée par les conflits récurrents, les catastrophes naturelles dues aux changements climatiques et la pandémie du VIH/sida, qui continuent d'entraver la croissance économique dans de nombreux pays africains. Afin de relever ces défis et d'autres naissants, relatifs au développement, les pays africains ''doivent élaborer et mettre en œuvre des politiques et des programmes appropriés pour soutenir la croissance économique, réduire la pauvreté et réaliser un développement équitable'', estiment les experts de la CEA. La CEA a, par ailleurs, affirmé qu'elle continuerait à aider ses Etats membres à renforcer leurs efforts en vue de la réalisation des objectifs de développement convenus au plan international, notamment les OMD et les objectifs du NEPAD. La commission est également chargée, au sein de la communauté du développement, de conduire le Programme d'action des PMA à la conférence d'Istanbul en 2011. La stratégie du programme biennal de la CEA va s'articuler autour de deux principaux domaines: l'intégration régionale pour appuyer la vision et les priorités de l'Union africaine, répondre aux besoins particuliers de l'Afrique et relever les nouveaux défis mondiaux. Les propositions approuvées, dans ce sens, par la Conférence des ministres de la CEA de 2010 s'articulent autour de plusieurs axes dont l'analyse macroéconomique, finance et développement économique, la sécurité alimentaire et développement durable. La réduction de la pauvreté et la lutte contre le chômage sont les plus grands défis que compte relever la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (CEA) durant les deux prochaines années, indique hier à Addis Abeba un rapport d'experts de la CEA. Ces deux objectifs constituent les grandes priorités du programme de travail de la Commission pour la période biennale 2012-2013, qui a été présenté vendredi lors de la troisième journée de la réunion du Comité des experts de l'Union africaine (UA) et de la CEA, qui planchent sur l'ordre du jour de la réunion des ministres africains des finances et de l'économie, dont les travaux s'ouvrent dans la capitale éthiopienne. Le programme a pour objectif global d'aider les pays africains à élaborer et appliquer des politiques économiques favorisant une croissance et un développement durable, en mettant notamment l'accent sur la réduction de la pauvreté, conformément aux objectifs du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD). «La réduction de la pauvreté demeure le plus grand défi en matière de développement en Afrique'', souligne la Commission dans son rapport. En dépit des progrès économiques et sociaux importants accomplis ces dernières années, beaucoup de pays africains sont toujours confrontés à une pauvreté extrême, parfois généralisée, estime la CEA. «La crise financière mondiale a eu des conséquences dramatiques pour les pays qui luttent contre la pauvreté, comme elle a également aggravé l'impact des récentes crises alimentaire et du carburant, mettant en péril la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et compromettant le développement économique et social de l'Afrique sur le long terme'', ajoute le rapport de la CEA. C'est particulièrement le cas des Etats africains faisant partie des 33 pays les moins avancés (PMA), qui n'ont enregistré que de lents progrès par rapport au Programme d'action de Bruxelles (2001-2010) qui leur est propre. Aux taux de croissance actuels, l'Afrique demeure le seul continent à n'être pas bien parti pour réaliser l'OMD consistant à réduire de moitié la pauvreté dans le monde en 2015. La situation est aggravée par les conflits récurrents, les catastrophes naturelles dues aux changements climatiques et la pandémie du VIH/sida, qui continuent d'entraver la croissance économique dans de nombreux pays africains. Afin de relever ces défis et d'autres naissants, relatifs au développement, les pays africains ''doivent élaborer et mettre en œuvre des politiques et des programmes appropriés pour soutenir la croissance économique, réduire la pauvreté et réaliser un développement équitable'', estiment les experts de la CEA. La CEA a, par ailleurs, affirmé qu'elle continuerait à aider ses Etats membres à renforcer leurs efforts en vue de la réalisation des objectifs de développement convenus au plan international, notamment les OMD et les objectifs du NEPAD. La commission est également chargée, au sein de la communauté du développement, de conduire le Programme d'action des PMA à la conférence d'Istanbul en 2011. La stratégie du programme biennal de la CEA va s'articuler autour de deux principaux domaines: l'intégration régionale pour appuyer la vision et les priorités de l'Union africaine, répondre aux besoins particuliers de l'Afrique et relever les nouveaux défis mondiaux. Les propositions approuvées, dans ce sens, par la Conférence des ministres de la CEA de 2010 s'articulent autour de plusieurs axes dont l'analyse macroéconomique, finance et développement économique, la sécurité alimentaire et développement durable.