Depuis le 2 janvier 2011, l'Ansej a réceptionné 60.000 demandes de financement de projets. Selon son DG, «cet engouement s'explique par les nouvelles mesures d'assouplissement des démarches prises par le gouvernement pour les dispositifs Ansej et Cnac». Depuis le 2 janvier 2011, l'Ansej a réceptionné 60.000 demandes de financement de projets. Selon son DG, «cet engouement s'explique par les nouvelles mesures d'assouplissement des démarches prises par le gouvernement pour les dispositifs Ansej et Cnac». 3.000 projets ont été financés par le biais de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (Ansej), depuis le début de l'année, à déclaré Mohamed Tahar Châlaal, directeur général de l'Ansej. «Depuis le 2 janvier, nous avons financé 3.000 projets» a-t-il annoncé, hier sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale. Depuis cette date, l'Agence a reçu 60.000 demandes de financement de projets. Selon le DG, «cet engouement s'explique par les nouvelles mesures prises par le gouvernement pour les dispositifs Ansej et Cnac (Caisse nationale d'assurance chômage)». Rappelant que le taux de l'apport personnel est passé de 5% à 1% et de 10% à 2% ainsi que la mise en place du crédit à la location. Le DG a reconnu que «beaucoup de jeunes étaient freinés par le taux de l'apport personnel». Pour ce qui est de l'objectif annuel de l'Ansej et de la Cnac, à savoir la création de 50.000 micro-entreprises, soit 35.000 Ansej et 15.000 Cnac, il a précisé que si la demande est supérieure par rapport à l'offre «nous pouvons même dépasser cet objectif (…) les dossiers qui seront déposés au deuxième semestre 2011 seront traités début 2012. Au niveau de l'Ansej et de la Cnac, nous travaillons pour raccourcir les délais. À cet effet, nous avons tenu une réunion avec les banques pour dépasser certains goulots d'étranglement liés notamment à l'ouverture de comptes et de virements». M. Châlaal a, dans ce sens, fait savoir que l'Ansej et la Cnac ont signé 6 conventions avec les banques afin d'intégrer les nouvelles dispositions relatives, à l'image de celle concernant le différé de remboursement de crédit. Concernant le rejet de certains projets par les banques, il a, tout en qualifiant le financement de «prise de risques», indiqué que ce risque «est partagé entre l'Etat et les banques». En outre, «le rejet ne dépasse pas les 3% sur l'ensemble des demandes». Par ailleurs, «les banques sont aujourd'hui rassurées grâce à l'existence du fonds de garantie», a-t-il soutenu. Dans ce sens, il convient de noter que le capital du fonds de garantie a été relevé de 20 à 40 milliards de dinars. D'après M. Châlaal le taux moyen de non remboursement de crédit est de 23%. «Les banques ont validé 15.000 projets. Ceux-ci s'ajoutent aux 10.000 projets de l'exercice précédent. En tout, nous avons un stock de 25.000 projets. Nous orientons les jeunes vers des projets qui répondent à des besoins au niveau du marché. Il y a une tendance vers les activité des service» a-t-il souligné. Il a, sur un autre plan, indiqué que les projets privilégiés sont particulièrement ceux des cabinets groupés et véhicules-ateliers. A. B 3.000 projets ont été financés par le biais de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (Ansej), depuis le début de l'année, à déclaré Mohamed Tahar Châlaal, directeur général de l'Ansej. «Depuis le 2 janvier, nous avons financé 3.000 projets» a-t-il annoncé, hier sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale. Depuis cette date, l'Agence a reçu 60.000 demandes de financement de projets. Selon le DG, «cet engouement s'explique par les nouvelles mesures prises par le gouvernement pour les dispositifs Ansej et Cnac (Caisse nationale d'assurance chômage)». Rappelant que le taux de l'apport personnel est passé de 5% à 1% et de 10% à 2% ainsi que la mise en place du crédit à la location. Le DG a reconnu que «beaucoup de jeunes étaient freinés par le taux de l'apport personnel». Pour ce qui est de l'objectif annuel de l'Ansej et de la Cnac, à savoir la création de 50.000 micro-entreprises, soit 35.000 Ansej et 15.000 Cnac, il a précisé que si la demande est supérieure par rapport à l'offre «nous pouvons même dépasser cet objectif (…) les dossiers qui seront déposés au deuxième semestre 2011 seront traités début 2012. Au niveau de l'Ansej et de la Cnac, nous travaillons pour raccourcir les délais. À cet effet, nous avons tenu une réunion avec les banques pour dépasser certains goulots d'étranglement liés notamment à l'ouverture de comptes et de virements». M. Châlaal a, dans ce sens, fait savoir que l'Ansej et la Cnac ont signé 6 conventions avec les banques afin d'intégrer les nouvelles dispositions relatives, à l'image de celle concernant le différé de remboursement de crédit. Concernant le rejet de certains projets par les banques, il a, tout en qualifiant le financement de «prise de risques», indiqué que ce risque «est partagé entre l'Etat et les banques». En outre, «le rejet ne dépasse pas les 3% sur l'ensemble des demandes». Par ailleurs, «les banques sont aujourd'hui rassurées grâce à l'existence du fonds de garantie», a-t-il soutenu. Dans ce sens, il convient de noter que le capital du fonds de garantie a été relevé de 20 à 40 milliards de dinars. D'après M. Châlaal le taux moyen de non remboursement de crédit est de 23%. «Les banques ont validé 15.000 projets. Ceux-ci s'ajoutent aux 10.000 projets de l'exercice précédent. En tout, nous avons un stock de 25.000 projets. Nous orientons les jeunes vers des projets qui répondent à des besoins au niveau du marché. Il y a une tendance vers les activité des service» a-t-il souligné. Il a, sur un autre plan, indiqué que les projets privilégiés sont particulièrement ceux des cabinets groupés et véhicules-ateliers. A. B