Les dernières mesures gouvernementales de facilitation des procédures d'octroi de crédits aux jeunes chômeurs désirant créer leur propre entreprise, ont eu pour effet, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, de "doper" la demande d'investissement au titre des dispositifs Ansej, Cnac et Angem. Les responsables de ces dispositifs d'appui à la création d'activités par les jeunes, font cas d'un "rush" sans précédent sur leurs services où sont déposés, quotidiennement, des centaines de dossiers postulant à l'obtention d'un micro-crédit. A titre illustratif de cet engouement, jamais égalé par le passé, le directeur de l'Ansej (Agence nationale pour le soutien à l'emploi des jeunes) a indiqué que les services de son antenne reçoivent, depuis début mars, une moyenne quotidienne de plus de 800 dossiers. Selon une situation allant du 1er janvier à fin février 2011, les services de l'Ansej ont réceptionné 4.063 demandes, portant ainsi le cumul de dossiers déposés depuis le lancement de ce dispositif en 1997, à pas moins de 33.836 dossiers, ayant donné lieu à la création de 9.733 micro-entreprises, pour une offre globale de 25.898 emplois. Pour tenter d'absorber la déferlante humaine qui se forme quotidiennement devant les services d'accueil de l'Ansej et de la Cnac, le Conseil exécutif de la wilaya a recommandé, dernièrement, aux commissions respectives de ces deux dispositifs de traitement des dossiers de travailler en continu, alors qu'elles ne consacraient à cet effet auparavant que deux sessions par mois. Cet ajustement des méthodes de travail est jugé, du reste, comme étant "impératif", car nécessité par une meilleure adaptation au nouveau plan de charges des dispositifs dédiés à l'emploi des jeunes, a relevé le wali, en exhortant les chargés de ces dispositifs à "traiter le maximum de dossiers et dans les délais les plus courts". Afin d'aller vite dans le traitement des dossiers, il a été également suggéré de décentraliser l'activité des antennes du chef-lieu de wilaya par l'ouverture de représentations de ces dispositifs au niveau de l'ensemble des 21 daïras de la wilaya. Les dernières mesures gouvernementales de facilitation des procédures d'octroi de crédits aux jeunes chômeurs désirant créer leur propre entreprise, ont eu pour effet, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, de "doper" la demande d'investissement au titre des dispositifs Ansej, Cnac et Angem. Les responsables de ces dispositifs d'appui à la création d'activités par les jeunes, font cas d'un "rush" sans précédent sur leurs services où sont déposés, quotidiennement, des centaines de dossiers postulant à l'obtention d'un micro-crédit. A titre illustratif de cet engouement, jamais égalé par le passé, le directeur de l'Ansej (Agence nationale pour le soutien à l'emploi des jeunes) a indiqué que les services de son antenne reçoivent, depuis début mars, une moyenne quotidienne de plus de 800 dossiers. Selon une situation allant du 1er janvier à fin février 2011, les services de l'Ansej ont réceptionné 4.063 demandes, portant ainsi le cumul de dossiers déposés depuis le lancement de ce dispositif en 1997, à pas moins de 33.836 dossiers, ayant donné lieu à la création de 9.733 micro-entreprises, pour une offre globale de 25.898 emplois. Pour tenter d'absorber la déferlante humaine qui se forme quotidiennement devant les services d'accueil de l'Ansej et de la Cnac, le Conseil exécutif de la wilaya a recommandé, dernièrement, aux commissions respectives de ces deux dispositifs de traitement des dossiers de travailler en continu, alors qu'elles ne consacraient à cet effet auparavant que deux sessions par mois. Cet ajustement des méthodes de travail est jugé, du reste, comme étant "impératif", car nécessité par une meilleure adaptation au nouveau plan de charges des dispositifs dédiés à l'emploi des jeunes, a relevé le wali, en exhortant les chargés de ces dispositifs à "traiter le maximum de dossiers et dans les délais les plus courts". Afin d'aller vite dans le traitement des dossiers, il a été également suggéré de décentraliser l'activité des antennes du chef-lieu de wilaya par l'ouverture de représentations de ces dispositifs au niveau de l'ensemble des 21 daïras de la wilaya.