Les factions palestiniennes, en particulier le Hamas et le Fatah, sont déterminées plus que jamais à mettre fin à la division interne et rétablir la réconciliation nationale pour faire face à l'occupant israélien qui a intensifié ses agressions ces derniers jours notamment dans la bande de Ghaza. Le mouvement Hamas, qui contrôle Ghaza depuis 2007 et le parti présidentiel Fatah, sont engagés depuis plus d'un an dans un processus de réconciliation jusqu'à présent infructueux. Face au blocage du dialogue inter-palestinien, des manifestations organisées ces dernières semaines dans les territoires palestiniens réclamant l'unité nationale, ont poussé le mouvement Hamas à multiplier les appels à entamer "un dialogue national global". En réponse à ces appels, le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas s'est dit prêt à se rendre à Ghaza "pour mettre fin à la division" et former un gouvernement de personnalités nationales indépendantes afin de préparer des élections présidentielle, législative et au Conseil national (palestinien) dans les six mois. "Je suis d'accord avec la revendication des manifestants en Cisjordanie et dans la bande de Ghaza qui appellent à la fin de la division, en tenant des élections présidentielle, législative et au Conseil national dès que possible", avait affirmé le 16 mars, M. Abbas. "Nous sommes avec le peuple pour mettre fin à la division par la tenue d'élections présidentielle et législatives et à l'occupation et au blocus de la bande de Ghaza", imposé par Israël depuis quatre ans, avait-il alors souligné. Mais le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui refuse tout contact direct avec le Hamas, a prévenu le président palestinien qu'il devrait choisir entre "une alliance avec le Hamas et des négociations de paix avec Israël", suspendues depuis des mois en raison du refus de l'occupant de geler ses activités de colonisation illégales. Les factions palestiniennes, en particulier le Hamas et le Fatah, sont déterminées plus que jamais à mettre fin à la division interne et rétablir la réconciliation nationale pour faire face à l'occupant israélien qui a intensifié ses agressions ces derniers jours notamment dans la bande de Ghaza. Le mouvement Hamas, qui contrôle Ghaza depuis 2007 et le parti présidentiel Fatah, sont engagés depuis plus d'un an dans un processus de réconciliation jusqu'à présent infructueux. Face au blocage du dialogue inter-palestinien, des manifestations organisées ces dernières semaines dans les territoires palestiniens réclamant l'unité nationale, ont poussé le mouvement Hamas à multiplier les appels à entamer "un dialogue national global". En réponse à ces appels, le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas s'est dit prêt à se rendre à Ghaza "pour mettre fin à la division" et former un gouvernement de personnalités nationales indépendantes afin de préparer des élections présidentielle, législative et au Conseil national (palestinien) dans les six mois. "Je suis d'accord avec la revendication des manifestants en Cisjordanie et dans la bande de Ghaza qui appellent à la fin de la division, en tenant des élections présidentielle, législative et au Conseil national dès que possible", avait affirmé le 16 mars, M. Abbas. "Nous sommes avec le peuple pour mettre fin à la division par la tenue d'élections présidentielle et législatives et à l'occupation et au blocus de la bande de Ghaza", imposé par Israël depuis quatre ans, avait-il alors souligné. Mais le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui refuse tout contact direct avec le Hamas, a prévenu le président palestinien qu'il devrait choisir entre "une alliance avec le Hamas et des négociations de paix avec Israël", suspendues depuis des mois en raison du refus de l'occupant de geler ses activités de colonisation illégales.