Avec une modeste croissance de 0,2% au cours des premiers mois de 2011, l'économie britannique semble redémarrer lentement en 2011, mais reste sous la menace constante d'un taux de chômage record et des prix élevés des matières premières, notamment du pétrole. Avec une modeste croissance de 0,2% au cours des premiers mois de 2011, l'économie britannique semble redémarrer lentement en 2011, mais reste sous la menace constante d'un taux de chômage record et des prix élevés des matières premières, notamment du pétrole. Le déficit du commerce extérieur de la Grande-Bretagne, à titre d'exemple, est passé de 9,69 milliards de livres en décembre 2010 à seulement 7,06 milliards en janvier 2011. La réduction de 2,63 mds de livres est due principalement à une amélioration des volumes des exportations, qui ont augmenté de 6,1% en un mois. Les résultats positifs enregistrés par l'économie britannique ces derniers mois, sans être déterminants, redonnent espoir aux décideurs, après la contraction de 0,6% enregistrée à la fin de l'année 2010, qualifiée d'''onde de choc'' sur le plan économique. Ces résultats ont été rendus possibles grâce, notamment, aux exportations de la Grande- Bretagne en janvier et février, soutenues par une redynamisation du secteur de la production manufacturière qui a augmenté de 6,8% en un an et par une monnaie faible par rapport aux devises étrangères, donnant de la vigueur aux exportations. Les experts affirment que ''si la tendance se poursuit, l'économie pourrait connaître un retour plus probant à la croissance au cours du second trimestre 2011''. Pour assurer une reprise au cours de 2011, l'économie britannique devrait continuer de miser sur le développement du commerce extérieur, du secteur de la manufacture, et la promotion des services, selon ces experts. Par ailleurs, de plus en plus, les entreprises britanniques se tournent vers les marches émergents notamment d'Asie, ce qui va ouvrir d'énormes perspectives d'affaires relèvent dans leurs rapports les analystes, évoquant la récente visite du Premier ministre en Chine. D'autres, par contre, considèrent qu'il n'est pas réaliste de s'attendre à ce que ces secteurs stimulent à eux seuls la relance économique de Grande-Bretagne et restent prudents quant aux perspectives de croissance à long terme, estimant que l'économie du Royaume-Uni ne pourra pas atteindre, avant 2013, le niveau de croissance d'avant la récession de 2008. Ils mettent en garde contre un optimisme ''exagéré'' à la lecture de cette nette amélioration des chiffres de janvier, soulignant également la volatilité de ces statistiques. ''Les chiffres mensuels du commerce sont notoirement volatils et subissent les influences de plusieurs facteurs, comme par exemple le facteur météorologique'', affirment-ils. La nette amélioration du déficit commercial de la Grande-Bretagne en janvier reflète principalement des facteurs temporaires, plutôt qu'un signe que le commerce extérieur puisse contribuer fortement à la reprise économique. Selon ces experts, les principaux freins de l'économie pour le moyen terme restent les cours élevés des matières premières notamment du pétrole, qui dépassent les 110 dollars le baril et le chômage qui s'est accentué parmi les jeunes. Le point noir de l'économie de la Grande-Bretagne demeure le chômage qui a atteint un niveau record depuis 17 ans avec plus de 2,5 millions de personnes sans emploi. Le nombre de chômeurs a encore augmenté de 27.000 en trois mois. Ce chiffre négatif pèse lourdement sur la relance de l'économie, pénalisant la consommation des ménages, un des moteurs de la croissance avec le commerce extérieur et les investissements. L'inflation et la hausse des cours du pétrole restent les plus grands risques pour la reprise de l'économique britannique, s'accordent à dire les analystes dont la majorité estime que la croissance économique atteindra 2,9% en 2013 contre 1,7% seulement cette année. Un rapport de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) a indiqué récemment que la Grande-Bretagne se remet lentement du ralentissement économique enregistré en 2010, soulignant l'importance des plans du gouvernement de coalition pour éliminer le déficit budgétaire de 10% du PIB au cours des quatre prochaines années. L'Organisation considère que l'économie britannique a des atouts pour sortir d'une période difficile, marquée notamment par des résultats économiques négatifs. Le déficit du commerce extérieur de la Grande-Bretagne, à titre d'exemple, est passé de 9,69 milliards de livres en décembre 2010 à seulement 7,06 milliards en janvier 2011. La réduction de 2,63 mds de livres est due principalement à une amélioration des volumes des exportations, qui ont augmenté de 6,1% en un mois. Les résultats positifs enregistrés par l'économie britannique ces derniers mois, sans être déterminants, redonnent espoir aux décideurs, après la contraction de 0,6% enregistrée à la fin de l'année 2010, qualifiée d'''onde de choc'' sur le plan économique. Ces résultats ont été rendus possibles grâce, notamment, aux exportations de la Grande- Bretagne en janvier et février, soutenues par une redynamisation du secteur de la production manufacturière qui a augmenté de 6,8% en un an et par une monnaie faible par rapport aux devises étrangères, donnant de la vigueur aux exportations. Les experts affirment que ''si la tendance se poursuit, l'économie pourrait connaître un retour plus probant à la croissance au cours du second trimestre 2011''. Pour assurer une reprise au cours de 2011, l'économie britannique devrait continuer de miser sur le développement du commerce extérieur, du secteur de la manufacture, et la promotion des services, selon ces experts. Par ailleurs, de plus en plus, les entreprises britanniques se tournent vers les marches émergents notamment d'Asie, ce qui va ouvrir d'énormes perspectives d'affaires relèvent dans leurs rapports les analystes, évoquant la récente visite du Premier ministre en Chine. D'autres, par contre, considèrent qu'il n'est pas réaliste de s'attendre à ce que ces secteurs stimulent à eux seuls la relance économique de Grande-Bretagne et restent prudents quant aux perspectives de croissance à long terme, estimant que l'économie du Royaume-Uni ne pourra pas atteindre, avant 2013, le niveau de croissance d'avant la récession de 2008. Ils mettent en garde contre un optimisme ''exagéré'' à la lecture de cette nette amélioration des chiffres de janvier, soulignant également la volatilité de ces statistiques. ''Les chiffres mensuels du commerce sont notoirement volatils et subissent les influences de plusieurs facteurs, comme par exemple le facteur météorologique'', affirment-ils. La nette amélioration du déficit commercial de la Grande-Bretagne en janvier reflète principalement des facteurs temporaires, plutôt qu'un signe que le commerce extérieur puisse contribuer fortement à la reprise économique. Selon ces experts, les principaux freins de l'économie pour le moyen terme restent les cours élevés des matières premières notamment du pétrole, qui dépassent les 110 dollars le baril et le chômage qui s'est accentué parmi les jeunes. Le point noir de l'économie de la Grande-Bretagne demeure le chômage qui a atteint un niveau record depuis 17 ans avec plus de 2,5 millions de personnes sans emploi. Le nombre de chômeurs a encore augmenté de 27.000 en trois mois. Ce chiffre négatif pèse lourdement sur la relance de l'économie, pénalisant la consommation des ménages, un des moteurs de la croissance avec le commerce extérieur et les investissements. L'inflation et la hausse des cours du pétrole restent les plus grands risques pour la reprise de l'économique britannique, s'accordent à dire les analystes dont la majorité estime que la croissance économique atteindra 2,9% en 2013 contre 1,7% seulement cette année. Un rapport de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) a indiqué récemment que la Grande-Bretagne se remet lentement du ralentissement économique enregistré en 2010, soulignant l'importance des plans du gouvernement de coalition pour éliminer le déficit budgétaire de 10% du PIB au cours des quatre prochaines années. L'Organisation considère que l'économie britannique a des atouts pour sortir d'une période difficile, marquée notamment par des résultats économiques négatifs.