Le terminal à conteneurs du port de Béjaïa a enregistré au cours de l'exercice passé 165.000 EVP (équivalent vingt pieds), soit une croissance de +9%. Il consolide ainsi ses parts de marché (14%) qui font de lui la 3e structure du pays après Alger (52%) et Oran (17%). S'agissant de la moyenne de séjour des conteneurs, elle est estimée à 20 jours, soit une amélioration par rapport à 2009 où elle était de 23 jours. BMT, en charge du terminal, partant du constat que ses capacités actuelles sont arrivées à saturation, entend se redéployer pour absorber davantage le trafic. La stratégie de développement qui vise l'augmentation des capacités du terminal se concentre autour de quelques objectifs : la mise en exploitation de la zone extra-portuaire d'Iryahen d'une capacité de 4.500 EVP vides, le renforcement des équipements avec l'entrée en exploitation d'une grue mobile portuaire, de six tracteurs-remorques routiers et quatre tracteurs-remorques portuaires et, enfin, l'extension du guichet unique (300 m2x2), avec la mise à disposition de bureaux supplémentaires au profit des différents services aux frontières. Par ailleurs, un portique sur pneumatiques a déjà été réceptionné. Ces capacités supplémentaires permettront de réaliser les objectifs fixés pour 2011 et d'autres de faire face à des services supplémentaires entrant dans la logistique du conteneur en relation directe avec l'amélioration de la qualité de service et la fidélisation de la clientèle dans le cadre d'une procédure de transfert de conteneurs sous douane entre le port de Béjaïa et le port sec de Rouiba. Un accord commercial entre Bejaia Mediterranean Terminal (BMT) et Alterco Spa qui gère le port sec de Rouiba prévoit un chargement minimum de 648D conteneurs pleins de 20 pieds pour 2011, soit l'équivalent de 9 trains de 30 wagons par mois. BMT voit grand et entend se positionner en pole position dans ce créneau qui a tendance à se substituer au transport classique. Présentation du projet d'une trémie à Amriw Pour la présentation du projet de la trémie d'Amriw par les pouvoirs publics et l'entreprise ENGOA, la salle de l'APW s'est avérée encore une fois trop exiguë. Ils étaient présents le wali et son staff, le P/APW, le chef de daïra, le P/APC, les élus, les riverains du site, l'ENGOA ainsi que les sociétés concernées par les travaux préliminaires de déplacement de leurs réseaux souterrains comme la Sonelgaz, l'ADE, Algérie Telecom. Et comme de juste, un parterre de journalistes. Ce projet de trémie, la deuxième après celle d'Ihaddadène qui est en phase terminale, a été donc confié à l'ENGOA qui a acquis une expérience très solide dans la réalisation d'ouvrages d'art. L'enveloppe prévue pour cette trémie, qui est appelée à épouser la forme d'un énorme Y, est de 4 milliards de dinars. Il faut aussi rappeler que le début des travaux ne se fera qu'une fois tous les réseaux souterrains déplacés. Quant aux délais d'exécution, ils sont fixés à 4+4 mois en deux phases, soit un total de 8 mois. Voilà assurément de quoi désengager ce véritable goulot d'étranglement et fluidifier quelque peu la circulation. Pour combien de temps ? Nul ne peut s'avancer à fixer une échéance de saturation tant le parc automobile croit de manière exponentielle. Le gaz de ville arrive à Aokas 413 foyers d'Aokas seront raccordés au réseau de gaz de ville. Dans une première étape, seuls 54 foyers seront alimentés car ils ont anticipé l'arrivée de cette énergie propre par la pose des installations pouvant permettre la pose d'un compteur. Le reste suivra, sans nul doute, dans les jours à venir. Le terminal à conteneurs du port de Béjaïa a enregistré au cours de l'exercice passé 165.000 EVP (équivalent vingt pieds), soit une croissance de +9%. Il consolide ainsi ses parts de marché (14%) qui font de lui la 3e structure du pays après Alger (52%) et Oran (17%). S'agissant de la moyenne de séjour des conteneurs, elle est estimée à 20 jours, soit une amélioration par rapport à 2009 où elle était de 23 jours. BMT, en charge du terminal, partant du constat que ses capacités actuelles sont arrivées à saturation, entend se redéployer pour absorber davantage le trafic. La stratégie de développement qui vise l'augmentation des capacités du terminal se concentre autour de quelques objectifs : la mise en exploitation de la zone extra-portuaire d'Iryahen d'une capacité de 4.500 EVP vides, le renforcement des équipements avec l'entrée en exploitation d'une grue mobile portuaire, de six tracteurs-remorques routiers et quatre tracteurs-remorques portuaires et, enfin, l'extension du guichet unique (300 m2x2), avec la mise à disposition de bureaux supplémentaires au profit des différents services aux frontières. Par ailleurs, un portique sur pneumatiques a déjà été réceptionné. Ces capacités supplémentaires permettront de réaliser les objectifs fixés pour 2011 et d'autres de faire face à des services supplémentaires entrant dans la logistique du conteneur en relation directe avec l'amélioration de la qualité de service et la fidélisation de la clientèle dans le cadre d'une procédure de transfert de conteneurs sous douane entre le port de Béjaïa et le port sec de Rouiba. Un accord commercial entre Bejaia Mediterranean Terminal (BMT) et Alterco Spa qui gère le port sec de Rouiba prévoit un chargement minimum de 648D conteneurs pleins de 20 pieds pour 2011, soit l'équivalent de 9 trains de 30 wagons par mois. BMT voit grand et entend se positionner en pole position dans ce créneau qui a tendance à se substituer au transport classique. Présentation du projet d'une trémie à Amriw Pour la présentation du projet de la trémie d'Amriw par les pouvoirs publics et l'entreprise ENGOA, la salle de l'APW s'est avérée encore une fois trop exiguë. Ils étaient présents le wali et son staff, le P/APW, le chef de daïra, le P/APC, les élus, les riverains du site, l'ENGOA ainsi que les sociétés concernées par les travaux préliminaires de déplacement de leurs réseaux souterrains comme la Sonelgaz, l'ADE, Algérie Telecom. Et comme de juste, un parterre de journalistes. Ce projet de trémie, la deuxième après celle d'Ihaddadène qui est en phase terminale, a été donc confié à l'ENGOA qui a acquis une expérience très solide dans la réalisation d'ouvrages d'art. L'enveloppe prévue pour cette trémie, qui est appelée à épouser la forme d'un énorme Y, est de 4 milliards de dinars. Il faut aussi rappeler que le début des travaux ne se fera qu'une fois tous les réseaux souterrains déplacés. Quant aux délais d'exécution, ils sont fixés à 4+4 mois en deux phases, soit un total de 8 mois. Voilà assurément de quoi désengager ce véritable goulot d'étranglement et fluidifier quelque peu la circulation. Pour combien de temps ? Nul ne peut s'avancer à fixer une échéance de saturation tant le parc automobile croit de manière exponentielle. Le gaz de ville arrive à Aokas 413 foyers d'Aokas seront raccordés au réseau de gaz de ville. Dans une première étape, seuls 54 foyers seront alimentés car ils ont anticipé l'arrivée de cette énergie propre par la pose des installations pouvant permettre la pose d'un compteur. Le reste suivra, sans nul doute, dans les jours à venir.