L'Algérie et la Grande-Bretagne entretiennent d'excellentes relations dans plusieurs volets, a affirmé l'ambassadeur britannique en Algérie, Martyn Roper. S'exprimant à l'ouverture de la première conférence nationale du British Council en Algérie, hier à Alger, M. Roper a réaffirmé que les relations bilatérales entre les deux pays se portent bien. Sans pour autant donner de plus amples détails au sujet des différentes collaborations algéro-britanniques, M. Roper se contentera d'une brève intervention avant de s'éclipser. Il dira qu'en matière de lutte antiterroriste, plusieurs programmes sont menés des deux côtés avec notamment le ministère de la Défense nationale algérienne. « L'expérience » algérienne concernant la lutte antiterroriste, est fortement appréciée par l'Occident et les Britanniques, comme tous les autres, et veulent en tirer profit. Les relations commerciales, a-t-il soutenu, sont très bonnes. Pour preuve, a-t-il ajouté, « nos échanges bilatéraux ont doublé amplement ces dernières années et beaucoup d'entreprises britanniques se sont installés en Algérie et dans divers secteurs économiques à l'image de l'énergie ». S'agissant de la coopération en matière de formation et d'enseignement de la langue anglaise, notre interlocuteur, s'est dit « très confiant du travail accompli par le British Council implanté depuis plusieurs années en Algérie ». A l'occasion, il se félicitera de l'acquis obtenu en la matière. « L'apprentissage de la langue anglaise représente un de nos forts créneau », a-t-il expliqué. Cette première conférence sur l'enseignement de l'anglais « Speak up », qui se déroulera sur deux jours, réunit plus de 150 participants, des experts et spécialistes algériens et internationaux. L'occasion, a-t-on relevé, de « fournir un espace d'échange de connaissance, de partage d'expériences et de réflexion sur les questions clés relatives à l'enseignement de l'anglais ». Cette rencontre permettra, entre autres, de créer des réseaux et d'établir des liens entre les professionnels en la matière. Après avoir soulevé la question du refus de délivrance de visas d'entrée sur le sol du Royaume uni pour motif d'études ou de séjours linguistiques, auquel sont confrontés bon demandeurs algériens, M. Roper, s'est voulu rassurant. Selon lui, ceux qui se voient refuser le visa pour la Grande-Bretagne, sont pour la plupart des demandeurs ayant déposé en retard. Une réponse qui n'est pas des plus convaincantes, a-t-on constaté, eu égard aux sommes colossales que les jeunes étudiants paient pour réserver leur place dans les écoles anglaises. Son discours purement diplomatique est loin de rassurer tout le monde, surtout qu'il s'est contenté d'être bref sur tous les points soulevés. D'autre part, il a tenu à préciser que son pays est ouvert à toutes les cultures du monde et des avancées ont été faite en termes de délivrance de visas. « Les visas sont délivrés en un temps très court », a-t-il indiqué. Mais enccore faut-il d'abord remplir toutes les conditions exigées, sommes-nous tentés de dire. L'Algérie et la Grande-Bretagne entretiennent d'excellentes relations dans plusieurs volets, a affirmé l'ambassadeur britannique en Algérie, Martyn Roper. S'exprimant à l'ouverture de la première conférence nationale du British Council en Algérie, hier à Alger, M. Roper a réaffirmé que les relations bilatérales entre les deux pays se portent bien. Sans pour autant donner de plus amples détails au sujet des différentes collaborations algéro-britanniques, M. Roper se contentera d'une brève intervention avant de s'éclipser. Il dira qu'en matière de lutte antiterroriste, plusieurs programmes sont menés des deux côtés avec notamment le ministère de la Défense nationale algérienne. « L'expérience » algérienne concernant la lutte antiterroriste, est fortement appréciée par l'Occident et les Britanniques, comme tous les autres, et veulent en tirer profit. Les relations commerciales, a-t-il soutenu, sont très bonnes. Pour preuve, a-t-il ajouté, « nos échanges bilatéraux ont doublé amplement ces dernières années et beaucoup d'entreprises britanniques se sont installés en Algérie et dans divers secteurs économiques à l'image de l'énergie ». S'agissant de la coopération en matière de formation et d'enseignement de la langue anglaise, notre interlocuteur, s'est dit « très confiant du travail accompli par le British Council implanté depuis plusieurs années en Algérie ». A l'occasion, il se félicitera de l'acquis obtenu en la matière. « L'apprentissage de la langue anglaise représente un de nos forts créneau », a-t-il expliqué. Cette première conférence sur l'enseignement de l'anglais « Speak up », qui se déroulera sur deux jours, réunit plus de 150 participants, des experts et spécialistes algériens et internationaux. L'occasion, a-t-on relevé, de « fournir un espace d'échange de connaissance, de partage d'expériences et de réflexion sur les questions clés relatives à l'enseignement de l'anglais ». Cette rencontre permettra, entre autres, de créer des réseaux et d'établir des liens entre les professionnels en la matière. Après avoir soulevé la question du refus de délivrance de visas d'entrée sur le sol du Royaume uni pour motif d'études ou de séjours linguistiques, auquel sont confrontés bon demandeurs algériens, M. Roper, s'est voulu rassurant. Selon lui, ceux qui se voient refuser le visa pour la Grande-Bretagne, sont pour la plupart des demandeurs ayant déposé en retard. Une réponse qui n'est pas des plus convaincantes, a-t-on constaté, eu égard aux sommes colossales que les jeunes étudiants paient pour réserver leur place dans les écoles anglaises. Son discours purement diplomatique est loin de rassurer tout le monde, surtout qu'il s'est contenté d'être bref sur tous les points soulevés. D'autre part, il a tenu à préciser que son pays est ouvert à toutes les cultures du monde et des avancées ont été faite en termes de délivrance de visas. « Les visas sont délivrés en un temps très court », a-t-il indiqué. Mais enccore faut-il d'abord remplir toutes les conditions exigées, sommes-nous tentés de dire.