Elu sur les listes du parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie, Aouar Mahmoud, maire d'Ifigha (daira d'Azazga) dans la wilaya de Tizi Ouzou, a démissionné de sa formation politique hier. Le premier magistrat de la commune a décidé de se retirer des rangs du RCD pour une multitude de raisons. Il s'agit, selon le concerné, de pressions exercées sur sa personne par certains élus du parti de Said Sadi, dont un élu au niveau de l'Assemblée populaire communale. Le maire explique que celui-ci a exercé des influences sur des responsables locaux du parti par réaction à son refus catégorique de s'immiscer dans les affaires de la commune. Le maire cite d'autres points comme l'affaire de la désignation du sécrétaire général de l'APC. L'élu à l'APW a exprimé son opposition au choix du maire. « Les pressions ne se limitent pas seulement à cette désignation, mais on a tenté de m'obliger en vain des recrutements et des attributions de logements », poursuit le maire. Ce dernier ajoute : « Ils me demandent de mettre les moyens de la commune à des fins partisanes, ce qui est contraire à la réglementation ». Et de conclure : « J'apporterai toutes les précisions concernant les objectifs réels derrière lesquels se cache cet élu dans son entreprise de déstabiliser les services de la commune au moment opportun et je réitère ma disponibilité auprès de mes concitoyens pour parachever l'œuvre que nous avons initiée ensemble depuis mon installation à la tête de l'APC ». Pour sa part, le bureau régional de wilaya du RCD a réagi avec un communiqué. Le parti annonce sa décision de lever la couverture politique du parti à M. Aouar Mahmoud maire d'Ifigha. Le RCD explique sa décision par le fait que le P/APC de d'Ifigha « s'est inscrit dans une démarche contraire aux intérêts des citoyens de la commune et du parti par le reniement de ses engagements pris publiquement ». Le RCD parle aussi de « La non présentation des bilans de deux années de gestion devant les citoyens, malgré les consignes et les rappels du parti, ce qui témoigne de l'opacité dans la conduite des affaires de la commune ». Elu sur les listes du parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie, Aouar Mahmoud, maire d'Ifigha (daira d'Azazga) dans la wilaya de Tizi Ouzou, a démissionné de sa formation politique hier. Le premier magistrat de la commune a décidé de se retirer des rangs du RCD pour une multitude de raisons. Il s'agit, selon le concerné, de pressions exercées sur sa personne par certains élus du parti de Said Sadi, dont un élu au niveau de l'Assemblée populaire communale. Le maire explique que celui-ci a exercé des influences sur des responsables locaux du parti par réaction à son refus catégorique de s'immiscer dans les affaires de la commune. Le maire cite d'autres points comme l'affaire de la désignation du sécrétaire général de l'APC. L'élu à l'APW a exprimé son opposition au choix du maire. « Les pressions ne se limitent pas seulement à cette désignation, mais on a tenté de m'obliger en vain des recrutements et des attributions de logements », poursuit le maire. Ce dernier ajoute : « Ils me demandent de mettre les moyens de la commune à des fins partisanes, ce qui est contraire à la réglementation ». Et de conclure : « J'apporterai toutes les précisions concernant les objectifs réels derrière lesquels se cache cet élu dans son entreprise de déstabiliser les services de la commune au moment opportun et je réitère ma disponibilité auprès de mes concitoyens pour parachever l'œuvre que nous avons initiée ensemble depuis mon installation à la tête de l'APC ». Pour sa part, le bureau régional de wilaya du RCD a réagi avec un communiqué. Le parti annonce sa décision de lever la couverture politique du parti à M. Aouar Mahmoud maire d'Ifigha. Le RCD explique sa décision par le fait que le P/APC de d'Ifigha « s'est inscrit dans une démarche contraire aux intérêts des citoyens de la commune et du parti par le reniement de ses engagements pris publiquement ». Le RCD parle aussi de « La non présentation des bilans de deux années de gestion devant les citoyens, malgré les consignes et les rappels du parti, ce qui témoigne de l'opacité dans la conduite des affaires de la commune ».