Le risque d'une année blanche « n'est pas à craindre » car toutes les universités algériennes «fonctionnent normalement», a assuré, jeudi dernier à Constantine, Rachid Harraoubia, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Le risque d'une année blanche « n'est pas à craindre » car toutes les universités algériennes «fonctionnent normalement», a assuré, jeudi dernier à Constantine, Rachid Harraoubia, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Animant une conférence de presse en marge de sa visite de travail dans la capitale de l'Est, M. Harraoubia a déclaré que « les perturbations qui ont secoué récemment quelques universités ont pu être maîtrisées grâce à la sagesse des étudiants qui connaissent mieux que quiconque leurs intérêts, et qui ont fait montre d'un sens très développé de conscience et de maturité ». Le ministre a estimé que cela a permis aux concepteurs du système LMD (Licence Master Doctorat) de mieux expliquer le contenu de cette nouvelle formation qui, a-t-il rappelé, s'inscrit dans le cadre d'une stratégie nationale visant la promotion de l'université algérienne. Indiquant que les protestations, observées dans des universités algériennes autour de ce nouveau système, « ont, paradoxalement, permis de mettre en lumière les avantages pédagogiques et professionnels générés par ce système taillé pour toutes les mesures et qui a prouvé son efficacité à travers le monde entier », le ministre a annoncé que « les étudiants ont fini par comprendre (à) qu'il faut être armé d'un diplôme universel pour pouvoir affronter, avec des bases solides, le monde professionnel ». Il a, sur ce dernier point, relevé les « multiples alternatives pédagogiques mises à la disposition des étudiant au titre du système LMD ». M. Harraoubia a également assuré que les revendications « légitimes » des étudiants « seront toutes prises en considération ». Il a, dans ce contexte, expliqué que ce n'est pas à son département de trancher sur les questions pédagogiques et scientifiques des étudiants. Ce rôle étant dévolu aux conseils scientifiques qui proposent des solutions aux difficultés rencontrées sur le terrain, a précisé le ministre. Concernant le statut des enseignants affiliés au secteur de l'enseignement supérieur, M. Harraoubia a, tout en qualifiant les revendications exprimées par certains enseignants quant à la régularisation de ce statut « d'infondées », souligné qu'il est « clair et ne donne lieu à aucune ambiguïté ». Faisant part de l'existence d'un « nombre important » de postes vacants, le ministre a indiqué que le secteur de l'enseignement supérieur « n'a jamais recruté de contractuels » et les vacataires sont régis par une « réglementation bien déterminée». Animant une conférence de presse en marge de sa visite de travail dans la capitale de l'Est, M. Harraoubia a déclaré que « les perturbations qui ont secoué récemment quelques universités ont pu être maîtrisées grâce à la sagesse des étudiants qui connaissent mieux que quiconque leurs intérêts, et qui ont fait montre d'un sens très développé de conscience et de maturité ». Le ministre a estimé que cela a permis aux concepteurs du système LMD (Licence Master Doctorat) de mieux expliquer le contenu de cette nouvelle formation qui, a-t-il rappelé, s'inscrit dans le cadre d'une stratégie nationale visant la promotion de l'université algérienne. Indiquant que les protestations, observées dans des universités algériennes autour de ce nouveau système, « ont, paradoxalement, permis de mettre en lumière les avantages pédagogiques et professionnels générés par ce système taillé pour toutes les mesures et qui a prouvé son efficacité à travers le monde entier », le ministre a annoncé que « les étudiants ont fini par comprendre (à) qu'il faut être armé d'un diplôme universel pour pouvoir affronter, avec des bases solides, le monde professionnel ». Il a, sur ce dernier point, relevé les « multiples alternatives pédagogiques mises à la disposition des étudiant au titre du système LMD ». M. Harraoubia a également assuré que les revendications « légitimes » des étudiants « seront toutes prises en considération ». Il a, dans ce contexte, expliqué que ce n'est pas à son département de trancher sur les questions pédagogiques et scientifiques des étudiants. Ce rôle étant dévolu aux conseils scientifiques qui proposent des solutions aux difficultés rencontrées sur le terrain, a précisé le ministre. Concernant le statut des enseignants affiliés au secteur de l'enseignement supérieur, M. Harraoubia a, tout en qualifiant les revendications exprimées par certains enseignants quant à la régularisation de ce statut « d'infondées », souligné qu'il est « clair et ne donne lieu à aucune ambiguïté ». Faisant part de l'existence d'un « nombre important » de postes vacants, le ministre a indiqué que le secteur de l'enseignement supérieur « n'a jamais recruté de contractuels » et les vacataires sont régis par une « réglementation bien déterminée».