Le partenariat entre l'Algérie et la Grande-Bretagne connaît actuellement un regain d'activités, notamment avec les récentes visites d'hommes d'affaires et d'investisseurs britanniques à Alger où ils se sont entretenus avec des opérateurs économiques algériens dans divers secteurs économiques. Les responsables politiques du Royaume-Uni apprécient beaucoup l'évolution de la politique algérienne de coopération dans le contexte euro-méditerranéen. Le partenariat entre l'Algérie et la Grande-Bretagne connaît actuellement un regain d'activités, notamment avec les récentes visites d'hommes d'affaires et d'investisseurs britanniques à Alger où ils se sont entretenus avec des opérateurs économiques algériens dans divers secteurs économiques. Les responsables politiques du Royaume-Uni apprécient beaucoup l'évolution de la politique algérienne de coopération dans le contexte euro-méditerranéen. Ainsi, le ministère britannique de l'Energie et du Changement du climat s'est félicité, par l'intermédiaire de son porte-parole, Gerry Miller, du lancement par l'Algérie (et l'Espagne) du Medgaz, un gazoduc devant livrer 8 milliards de mètres cubes de gaz par an, et qui contribuera à développer davantage l'interconnexion entre les Etats membres de l'Union Européenne. « Cette réalisation permettra de développer davantage l'interconnexion entre les Etats membres de l'UE et d'autres pays, d'autant qu'il s'agit d'accès à d'autres sources d'approvisionnement pour l'Union européenne. Cela profite à l'ensemble des 27 Etats membres », selon Gerry Miller. Rappelons que le gazoduc Medgaz, d'une longueur de 1.050 km dont 550 km sur le territoire algérien, a été mis en service au début avril de l'année en cours et devra permettre d'acheminer vers l'Europe un volume annuel de 8 milliards de mètres cubes extensibles à 16 milliards de mètres cubes sur le moyen terme.La présence de nombreuses entreprises d'engineering et de firmes pétrolières britanniques (British Petroleum) montre, en effet, tout l'intérêt que manifestent les investisseurs et industriels de ce pays pour le développement du partenariat gagnant-gagnant avec l'Algérie. En effet, selon les statistiques du ministère britannique de l'Energie, le Royaume-Uni a importé d'Algérie 1,089 milliard m3 de gaz en 2010, ce qui représente 2% de l'ensemble ses importations de gaz, 5,7% des importations de GNL et 1,1% de la demande nette. Concernant les importations britanniques de gaz naturel, elles s'opèrent particulièrement à travers l'Europe par des approvisionnements en gazoducs en provenance de Norvège, de Belgique et des Pays-Bas, tandis que le GNL est importé essentiellement du Qatar, de Trinité-et-Tobago et d'Algérie. Le Royaume-Uni vient en tête des pays européens avec une consommation de 103 milliards de mètres cubes de gaz par an, très proche de la consommation en Allemagne. D'ici à 2020, la demande du Royaume-Uni en gaz augmentera à 130 milliards m3, selon les prévisions. Plusieurs firmes britanniques activent dans les secteurs de l'énergie, l'industrie, la formation professionnelle pour les entreprises et les PME dans divers secteurs économiques et industriels, ainsi que dans le domaine de la santé publique. L'objectif essentiel des visites de travail des délégations britanniques consiste à identifier et décortiquer des secteurs porteurs et de dénicher des partenaires locaux pour mener à bien des projets mutuellement bénéfiques, de type gagnant-gagnant, en Algérie où les entreprises anglaises ont investi plus de 2 milliards d'euros. Outre le secteur de l'énergie considéré comme un créneau porteur pour les échanges commerciaux entre les deux pays, les firmes britanniques pourront développer d'autres activités importantes, notamment dans les domaines des infrastructures de base, la construction et le bâtiment, l'environnement, les ressources hydrauliques, les ports et les chemins de fer. Multiples rencontres entre investisseurs anglais et opérateurs algériens Le volume des transactions commerciales bilatérales va crescendo en ce sens que les échanges entre les deux parties ont atteint, en 2010, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. Durant l'année précédente, la Grande-Bretagne s'est vue classée au 13e rang en tant que client de l'Algérie, mais également son 13e fournisseur d'équipements et de biens technologiques.Les responsables politiques algériens, pour leur part, envisagent de fructifier le partenariat avec le Royaume-Uni sachant que le ministre britannique en charge du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, en l'occurrence Burt Alistair a affirmé récemment que « l'Algérie est un partenaire très important avec lequel les liens se sont davantage renforcés au cours des 12 dernières années ».En effet, l'accueil des délégations britanniques à Alger par les différents ministères, tels que celui de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, et celui du Commerce, ainsi que la Chambre algérienne de commerce et d'industrie, atteste de la disponibilité des autorités de booster le partenariat avec les Britanniques.Plusieurs forums et rencontres entre le ministre algérien de la Promotion des investissements et les hommes d'affaires britanniques ont eu lieu, récemment, à Londres, dans la perspective de préciser et expliquer le climat d'affaires en Algérie et ses nombreuses opportunités d'investissement. Ainsi, le ministère britannique de l'Energie et du Changement du climat s'est félicité, par l'intermédiaire de son porte-parole, Gerry Miller, du lancement par l'Algérie (et l'Espagne) du Medgaz, un gazoduc devant livrer 8 milliards de mètres cubes de gaz par an, et qui contribuera à développer davantage l'interconnexion entre les Etats membres de l'Union Européenne. « Cette réalisation permettra de développer davantage l'interconnexion entre les Etats membres de l'UE et d'autres pays, d'autant qu'il s'agit d'accès à d'autres sources d'approvisionnement pour l'Union européenne. Cela profite à l'ensemble des 27 Etats membres », selon Gerry Miller. Rappelons que le gazoduc Medgaz, d'une longueur de 1.050 km dont 550 km sur le territoire algérien, a été mis en service au début avril de l'année en cours et devra permettre d'acheminer vers l'Europe un volume annuel de 8 milliards de mètres cubes extensibles à 16 milliards de mètres cubes sur le moyen terme.La présence de nombreuses entreprises d'engineering et de firmes pétrolières britanniques (British Petroleum) montre, en effet, tout l'intérêt que manifestent les investisseurs et industriels de ce pays pour le développement du partenariat gagnant-gagnant avec l'Algérie. En effet, selon les statistiques du ministère britannique de l'Energie, le Royaume-Uni a importé d'Algérie 1,089 milliard m3 de gaz en 2010, ce qui représente 2% de l'ensemble ses importations de gaz, 5,7% des importations de GNL et 1,1% de la demande nette. Concernant les importations britanniques de gaz naturel, elles s'opèrent particulièrement à travers l'Europe par des approvisionnements en gazoducs en provenance de Norvège, de Belgique et des Pays-Bas, tandis que le GNL est importé essentiellement du Qatar, de Trinité-et-Tobago et d'Algérie. Le Royaume-Uni vient en tête des pays européens avec une consommation de 103 milliards de mètres cubes de gaz par an, très proche de la consommation en Allemagne. D'ici à 2020, la demande du Royaume-Uni en gaz augmentera à 130 milliards m3, selon les prévisions. Plusieurs firmes britanniques activent dans les secteurs de l'énergie, l'industrie, la formation professionnelle pour les entreprises et les PME dans divers secteurs économiques et industriels, ainsi que dans le domaine de la santé publique. L'objectif essentiel des visites de travail des délégations britanniques consiste à identifier et décortiquer des secteurs porteurs et de dénicher des partenaires locaux pour mener à bien des projets mutuellement bénéfiques, de type gagnant-gagnant, en Algérie où les entreprises anglaises ont investi plus de 2 milliards d'euros. Outre le secteur de l'énergie considéré comme un créneau porteur pour les échanges commerciaux entre les deux pays, les firmes britanniques pourront développer d'autres activités importantes, notamment dans les domaines des infrastructures de base, la construction et le bâtiment, l'environnement, les ressources hydrauliques, les ports et les chemins de fer. Multiples rencontres entre investisseurs anglais et opérateurs algériens Le volume des transactions commerciales bilatérales va crescendo en ce sens que les échanges entre les deux parties ont atteint, en 2010, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. Durant l'année précédente, la Grande-Bretagne s'est vue classée au 13e rang en tant que client de l'Algérie, mais également son 13e fournisseur d'équipements et de biens technologiques.Les responsables politiques algériens, pour leur part, envisagent de fructifier le partenariat avec le Royaume-Uni sachant que le ministre britannique en charge du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, en l'occurrence Burt Alistair a affirmé récemment que « l'Algérie est un partenaire très important avec lequel les liens se sont davantage renforcés au cours des 12 dernières années ».En effet, l'accueil des délégations britanniques à Alger par les différents ministères, tels que celui de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, et celui du Commerce, ainsi que la Chambre algérienne de commerce et d'industrie, atteste de la disponibilité des autorités de booster le partenariat avec les Britanniques.Plusieurs forums et rencontres entre le ministre algérien de la Promotion des investissements et les hommes d'affaires britanniques ont eu lieu, récemment, à Londres, dans la perspective de préciser et expliquer le climat d'affaires en Algérie et ses nombreuses opportunités d'investissement.