Les sondages effectués par Internet sont appelés à se développer davantage à l'avenir en Algérie et dans le monde dans la mesure où ils sont moins coûteux et plus efficaces, ont indiqué hier à Alger les participants au 1er Colloque international sur les sondages d'opinion et les mesures d'audience en Algérie. " Les sondages par Internet sont appelés à se développer davantage, notamment dans les pays moins développés d'Afrique et d'Asie mais aussi dans des pays dont la superficie du territoire est vaste à l'exemple du Canada ", a estimé Claire Durand de l'université de Montréal. Mme Durand a insisté aussi sur la " confidentialité " des données sur les personnes sondées puisqu'il est exigé, dans le cas des sondages par Internet, plusieurs renseignements, tels que l'adresse e-mail ou le numéro de téléphone, afin d'éviter qu'une seule et même personne ne s'exprime plus d'une fois. À cet égard, elle a cité l'exemple de partis politiques qui donnent consigne à leurs militants de s'exprimer sur des sites de sondage, chose qui pourrait influencer des décisions, a-t-elle prévenu. Selon une étude réalisée par le site web algérien Webdialna, présentée par Loubna Lahmici, le nombre d'internautes en Algérie est estimé à 6 millions. Ce nombre est jugé comme étant " faible " comparativement aux pays développés. Selon cette étude, dont le but consiste à identifier les internautes algériens, il ressort que l'Internet en Algérie est une " affaire de famille ", puisque les foyers qui sont équipés d'outils informatique disposent d'une ligne ADSL, partagée entre les membres d'une seule famille. L'étude, ayant touché 18.000 internautes, révèle aussi que " 70 % de ces internautes sont de sexe masculin et 77 % ont moins de 35 ans ". La majorité est arabophone, " alors que les contenus consultés sont généralement en français ". Les sondages effectués par Internet sont appelés à se développer davantage à l'avenir en Algérie et dans le monde dans la mesure où ils sont moins coûteux et plus efficaces, ont indiqué hier à Alger les participants au 1er Colloque international sur les sondages d'opinion et les mesures d'audience en Algérie. " Les sondages par Internet sont appelés à se développer davantage, notamment dans les pays moins développés d'Afrique et d'Asie mais aussi dans des pays dont la superficie du territoire est vaste à l'exemple du Canada ", a estimé Claire Durand de l'université de Montréal. Mme Durand a insisté aussi sur la " confidentialité " des données sur les personnes sondées puisqu'il est exigé, dans le cas des sondages par Internet, plusieurs renseignements, tels que l'adresse e-mail ou le numéro de téléphone, afin d'éviter qu'une seule et même personne ne s'exprime plus d'une fois. À cet égard, elle a cité l'exemple de partis politiques qui donnent consigne à leurs militants de s'exprimer sur des sites de sondage, chose qui pourrait influencer des décisions, a-t-elle prévenu. Selon une étude réalisée par le site web algérien Webdialna, présentée par Loubna Lahmici, le nombre d'internautes en Algérie est estimé à 6 millions. Ce nombre est jugé comme étant " faible " comparativement aux pays développés. Selon cette étude, dont le but consiste à identifier les internautes algériens, il ressort que l'Internet en Algérie est une " affaire de famille ", puisque les foyers qui sont équipés d'outils informatique disposent d'une ligne ADSL, partagée entre les membres d'une seule famille. L'étude, ayant touché 18.000 internautes, révèle aussi que " 70 % de ces internautes sont de sexe masculin et 77 % ont moins de 35 ans ". La majorité est arabophone, " alors que les contenus consultés sont généralement en français ".