Le vice président de l'association des oulémas musulmans algériens, M. Amar Talbi a affirmé que le choix de Tlemcen capitale de la culture islamique était "bien mérité" à la faveur de son patrimoine historique. L'Organisation islamique pour les sciences, l'éducation et la culture (Isesco) a porté son choix sur Tlemcen pour abriter cette manifestation car c'est une capitale de la "civilisation islamique", a indiqué M. Talbi dans une déclaration à l'APS. Le vice président de l'association des oulémas musulmans algériens, M. Amar Talbi a affirmé que le choix de Tlemcen capitale de la culture islamique était "bien mérité" à la faveur de son patrimoine historique. L'Organisation islamique pour les sciences, l'éducation et la culture (Isesco) a porté son choix sur Tlemcen pour abriter cette manifestation car c'est une capitale de la "civilisation islamique", a indiqué M. Talbi dans une déclaration à l'APS. Pour M. Talbi, cette manifestation constitue "une occasion pour l'Algérie de mettre en exergue le patrimoine de Tlemcen à travers la publication de manuscrits et ouvrages confinés dans les étals de bibliothèques". Il s'agit de rééditer les ouvrages écrits à Tlemcen par des érudits en sciences théologiques et linguistiques, en mathématiques, en philosophie et en médecine. Rappelant que Tlemcen était un pôle scientifique, M. Talbi a cité les ouvrages écrits par les gens de cette ville et ses environs à l'image de kitab el boustan, Charh El-Boukhari et Diwan Abi Mediène. De nombreux scientifiques de Tlemcen, a-t-il poursuivi, se sont distingués dans la jurisprudence à l'image de Ibn Marzouk dont la renommée a gagné tant le Mashreq que le Maghreb, Saïd Okbani et Ibn Khakis, poète philosophe et soufi. Outre ses richesses immatérielles, Tlemcen recèle de nombreuses mosquées et écoles de "haut niveau" construites à l'époque des Almohades, des Almoravides ou encore des Zyanides qui ont érigé la ville en capitale, a indiqué M. Talbi. Pour ce qui est du rôle de l'association des oulémas musulmans algériens à Tlemcen, M. Talbi a rappelé la création par celle-ci de l'école de "Dar el-Hadith" en 1938 dans l'objectif de préserver la langue arabe et diffuser les sciences islamiques. Il a, à cet effet, émis le vœu d'ériger "Dar el-Hadith" en institut d'études islamiques affichant la disposition de l'association des oulémas musulmans algériens de superviser cette institution et de la doter d'enseignants qualifiés dans les sciences islamiques et la langue arabe. M. Talbi a rappelé le combat mené par l'association des Oulémas musulmans algériens pour préserver la langue arabe et la religion musulmane de l'entreprise d'aliénation identitaire menée par l'occupant français. Elle a riposté avec "force" contre les tentatives d'aliénation identitaire sous le slogan "l'Islam est notre religion, l'arabe notre langue et l'Algérie notre pays" rappelant la citation de l'Imam Abdelhamid Benbadis "L'Algérie n'est pas la France et ne sera pas la France même si elle le voulait. Pour M. Talbi, cette manifestation constitue "une occasion pour l'Algérie de mettre en exergue le patrimoine de Tlemcen à travers la publication de manuscrits et ouvrages confinés dans les étals de bibliothèques". Il s'agit de rééditer les ouvrages écrits à Tlemcen par des érudits en sciences théologiques et linguistiques, en mathématiques, en philosophie et en médecine. Rappelant que Tlemcen était un pôle scientifique, M. Talbi a cité les ouvrages écrits par les gens de cette ville et ses environs à l'image de kitab el boustan, Charh El-Boukhari et Diwan Abi Mediène. De nombreux scientifiques de Tlemcen, a-t-il poursuivi, se sont distingués dans la jurisprudence à l'image de Ibn Marzouk dont la renommée a gagné tant le Mashreq que le Maghreb, Saïd Okbani et Ibn Khakis, poète philosophe et soufi. Outre ses richesses immatérielles, Tlemcen recèle de nombreuses mosquées et écoles de "haut niveau" construites à l'époque des Almohades, des Almoravides ou encore des Zyanides qui ont érigé la ville en capitale, a indiqué M. Talbi. Pour ce qui est du rôle de l'association des oulémas musulmans algériens à Tlemcen, M. Talbi a rappelé la création par celle-ci de l'école de "Dar el-Hadith" en 1938 dans l'objectif de préserver la langue arabe et diffuser les sciences islamiques. Il a, à cet effet, émis le vœu d'ériger "Dar el-Hadith" en institut d'études islamiques affichant la disposition de l'association des oulémas musulmans algériens de superviser cette institution et de la doter d'enseignants qualifiés dans les sciences islamiques et la langue arabe. M. Talbi a rappelé le combat mené par l'association des Oulémas musulmans algériens pour préserver la langue arabe et la religion musulmane de l'entreprise d'aliénation identitaire menée par l'occupant français. Elle a riposté avec "force" contre les tentatives d'aliénation identitaire sous le slogan "l'Islam est notre religion, l'arabe notre langue et l'Algérie notre pays" rappelant la citation de l'Imam Abdelhamid Benbadis "L'Algérie n'est pas la France et ne sera pas la France même si elle le voulait.