La 10e marche non autorisée, initiée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), tendance partis politiques, a réuni hier à Alger, moins d'une vingtaine de personnes. Elle a été néanmoins empêchée, une nouvelle fois, par les éléments de la Sûreté nationale. Pour la cinquième fois consécutive, le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, Saïd Sadi, l'un des principaux animateurs de la Coordination, n'a pas pris part à ce rassemblement. Ali Yahia Abdennour, quant à lui, était là accompagné des députés du RCD. Dans une déclaration à la presse, cité par l'Agence de presse algérienne, Ali Yahia Abdenour a réitéré les revendications de la Coordination qui consistent essentiellement à donner « la souveraineté au peuple » et à « impliquer les jeunes Algériens de l'après- Indépendance dans la gestion du pays ». Les participants à ce rassemblement ont répété les mêmes slogans scandés lors des précédentes marches dont la première remonte au 12 février dernier, notamment « L'Algérie libre et démocratique », « Pour la justice et la démocratie ». Après leur regroupement, qui a duré plus d'une heure, les participants se sont dispersés dans le calme. Aucun affrontement entre ce groupe de manifestants ni interpellation, même à titre dissuasif, n'ont été constatés. Il convient de noter que cette marche vient au lendemain du discours du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Dans son discours, télévisé vendredi dernier, adressé à la nation, le président a annoncé plusieurs réformes politiques. Force est donc de constater que c'est un nouveau flop pour la CNCD, tendance partis politiques et une perte de crédibilité certaine pour un homme politique de l'envergure de Saïd Sadi. La 10e marche non autorisée, initiée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), tendance partis politiques, a réuni hier à Alger, moins d'une vingtaine de personnes. Elle a été néanmoins empêchée, une nouvelle fois, par les éléments de la Sûreté nationale. Pour la cinquième fois consécutive, le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, Saïd Sadi, l'un des principaux animateurs de la Coordination, n'a pas pris part à ce rassemblement. Ali Yahia Abdennour, quant à lui, était là accompagné des députés du RCD. Dans une déclaration à la presse, cité par l'Agence de presse algérienne, Ali Yahia Abdenour a réitéré les revendications de la Coordination qui consistent essentiellement à donner « la souveraineté au peuple » et à « impliquer les jeunes Algériens de l'après- Indépendance dans la gestion du pays ». Les participants à ce rassemblement ont répété les mêmes slogans scandés lors des précédentes marches dont la première remonte au 12 février dernier, notamment « L'Algérie libre et démocratique », « Pour la justice et la démocratie ». Après leur regroupement, qui a duré plus d'une heure, les participants se sont dispersés dans le calme. Aucun affrontement entre ce groupe de manifestants ni interpellation, même à titre dissuasif, n'ont été constatés. Il convient de noter que cette marche vient au lendemain du discours du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Dans son discours, télévisé vendredi dernier, adressé à la nation, le président a annoncé plusieurs réformes politiques. Force est donc de constater que c'est un nouveau flop pour la CNCD, tendance partis politiques et une perte de crédibilité certaine pour un homme politique de l'envergure de Saïd Sadi.