La Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) tendance partis politiques ne baisse pas les bras puisque, comme cela a été décidé au tout début de l'entame de son action, soit le 12 février dernier, elle a organisé hier un rassemblement à la place du 1er-Mai, à Alger. Il faut dire que l'intention des organisateurs de cette manifestation était d'organiser une marche qui devait s'ébranler de cette place en direction de la place des Martyrs. Mais cela, comme c'était le cas pour les fois passées, n'était pas possible. Le dispositif de sécurité, mis en place, a dissuadé les quelques dizaines de personnes qui ont répondu favorablement à l'appel de la CNCD. Des manifestants au sein desquels l'absence du président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) était très remarquée. En effet Saïd Sadi était aux abonnés absents. C'est la deuxième fois que le leader du RCD fait faux bond puisque le samedi 19 mars aussi il n'a pas rejoint les manifestants à la place du 1er-Mai. Une absence qui a alors soulevé mout interrogations. Contrairement à Saïd Sadi, Me Ali Yahia Abdenour, le président d'honneur de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH), a encore une fois prouvé sa détermination tant, malgré son âge avancé, il n'a raté aucune manifestation de la CNCD. Car, hier aussi, il était présent même s'il n'est arrivé sur place qu'à 10h 50. Une présence qui a galvanisé les manifestants lesquels ont alors entonné les slogans traditionnels. «Djazair hora dimocratia (Algérie libre et démocratique) ou echaab yourid iskat enidam (le peuple veut la chute du pouvoir) sont alors entonnés par les dizaines de personnes. Ali Yahia Abdenour est alors vite encerclé par un cordon de sécurité et isolé du reste des autres groupes de manifestants. La tension est montée d'un cran. Les forces de l'ordre décident de repousser les présents qui résistent et refusent de quitter les lieux. Une jeune manifestante, affiliée à la Coordination des étudiants, est malmenée par les forces de l'ordre. Des députés du RCD, qui ont assisté au rassemblement, à l'image de Mohsen Belabes, Tahar Besbes et Boubakeur Deguini, sont aux aguets et interviennent lorsqu'un manifestant se fait rudoyer. Ali Yahia Abdenour, qui a refusé de parler à l'ENTV, annonce qu'il tiendra une conférence de presse aujourd'hui avant de quitter les lieux à 11h 45 exactement. Les manifestants se sont par la suite dispersés en promettant de revenir samedi prochain. Rappelons que la CNCD, qui a organisé sa première tentative de marche le 12 février dernier, s'est scindée en deux groupes distincts. En effet, ne partageant pas la même vision, les organisations de la société civile, principalement quelques syndicats autonomes et la LADDH (aile Mustapha Bouchachi), ont créé la CNCD Barakat. Cette dernière a tenu plusieurs meetings depuis, notamment à Arzew, Oran et Ghardaïa, la semaine dernière. Avant-hier, la CNCD Barakat a organisé un meeting à la salle Atlas d'Alger en présence de quelques certaines de personnes. Elle projette aussi d'organiser une marche à Alger. La Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) tendance partis politiques ne baisse pas les bras puisque, comme cela a été décidé au tout début de l'entame de son action, soit le 12 février dernier, elle a organisé hier un rassemblement à la place du 1er-Mai, à Alger. Il faut dire que l'intention des organisateurs de cette manifestation était d'organiser une marche qui devait s'ébranler de cette place en direction de la place des Martyrs. Mais cela, comme c'était le cas pour les fois passées, n'était pas possible. Le dispositif de sécurité, mis en place, a dissuadé les quelques dizaines de personnes qui ont répondu favorablement à l'appel de la CNCD. Des manifestants au sein desquels l'absence du président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) était très remarquée. En effet Saïd Sadi était aux abonnés absents. C'est la deuxième fois que le leader du RCD fait faux bond puisque le samedi 19 mars aussi il n'a pas rejoint les manifestants à la place du 1er-Mai. Une absence qui a alors soulevé mout interrogations. Contrairement à Saïd Sadi, Me Ali Yahia Abdenour, le président d'honneur de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH), a encore une fois prouvé sa détermination tant, malgré son âge avancé, il n'a raté aucune manifestation de la CNCD. Car, hier aussi, il était présent même s'il n'est arrivé sur place qu'à 10h 50. Une présence qui a galvanisé les manifestants lesquels ont alors entonné les slogans traditionnels. «Djazair hora dimocratia (Algérie libre et démocratique) ou echaab yourid iskat enidam (le peuple veut la chute du pouvoir) sont alors entonnés par les dizaines de personnes. Ali Yahia Abdenour est alors vite encerclé par un cordon de sécurité et isolé du reste des autres groupes de manifestants. La tension est montée d'un cran. Les forces de l'ordre décident de repousser les présents qui résistent et refusent de quitter les lieux. Une jeune manifestante, affiliée à la Coordination des étudiants, est malmenée par les forces de l'ordre. Des députés du RCD, qui ont assisté au rassemblement, à l'image de Mohsen Belabes, Tahar Besbes et Boubakeur Deguini, sont aux aguets et interviennent lorsqu'un manifestant se fait rudoyer. Ali Yahia Abdenour, qui a refusé de parler à l'ENTV, annonce qu'il tiendra une conférence de presse aujourd'hui avant de quitter les lieux à 11h 45 exactement. Les manifestants se sont par la suite dispersés en promettant de revenir samedi prochain. Rappelons que la CNCD, qui a organisé sa première tentative de marche le 12 février dernier, s'est scindée en deux groupes distincts. En effet, ne partageant pas la même vision, les organisations de la société civile, principalement quelques syndicats autonomes et la LADDH (aile Mustapha Bouchachi), ont créé la CNCD Barakat. Cette dernière a tenu plusieurs meetings depuis, notamment à Arzew, Oran et Ghardaïa, la semaine dernière. Avant-hier, la CNCD Barakat a organisé un meeting à la salle Atlas d'Alger en présence de quelques certaines de personnes. Elle projette aussi d'organiser une marche à Alger.