La justice égyptienne a ordonné samedi la dissolution du Parti national démocrate (PND), l'ancienne formation politique du président déchu Hosni Moubarak. Depuis la chute du régime de l'ancien "raïs", poussé vers la sortie après 29 ans d'exercice du pouvoir sans partage, les manifestants exigeaient que de telles dispositions soient prises à l'encontre du PND. La Haute Cour administrative du Caire a également fait savoir que l'ensemble des avoirs de l'ancienne première formation du pays avaient été liquidés et que ces fonds seraient immédiatement réinjectés dans les caisses de l'Etat. Les analystes politiques estiment que la dissolution du PND est un pas important vers le multipartisme en Egypte. Moubarak, renversé le 11 février par "la révolution du Nil" et assigné à résidence à Charm el Cheikh, doit être prochainement transféré vers un hôpital militaire du pays, en attendant d'être entendu par la justice. Selon des sources proches des services de sécurité, il pourrait être transféré au Centre médical international dans la banlieue du Caire. La date de son transfert est volontairement tenu secret pour des raisons de sécurité, indique-t-on de même source. La justice égyptienne a ordonné samedi la dissolution du Parti national démocrate (PND), l'ancienne formation politique du président déchu Hosni Moubarak. Depuis la chute du régime de l'ancien "raïs", poussé vers la sortie après 29 ans d'exercice du pouvoir sans partage, les manifestants exigeaient que de telles dispositions soient prises à l'encontre du PND. La Haute Cour administrative du Caire a également fait savoir que l'ensemble des avoirs de l'ancienne première formation du pays avaient été liquidés et que ces fonds seraient immédiatement réinjectés dans les caisses de l'Etat. Les analystes politiques estiment que la dissolution du PND est un pas important vers le multipartisme en Egypte. Moubarak, renversé le 11 février par "la révolution du Nil" et assigné à résidence à Charm el Cheikh, doit être prochainement transféré vers un hôpital militaire du pays, en attendant d'être entendu par la justice. Selon des sources proches des services de sécurité, il pourrait être transféré au Centre médical international dans la banlieue du Caire. La date de son transfert est volontairement tenu secret pour des raisons de sécurité, indique-t-on de même source.