Vingt constructions illicites nouvellement érigées sur le domaine forestier de la cité Zefzef (sud de Skikda), ont été démolies, mercredi dernier, par les services habilités de la daïra et de la commune. Vingt constructions illicites nouvellement érigées sur le domaine forestier de la cité Zefzef (sud de Skikda), ont été démolies, mercredi dernier, par les services habilités de la daïra et de la commune. «Ces démolitions prouvent, si besoin est, la ferme détermination affichée par les pouvoirs publics pour venir à bout du phénomène de la prolifération de l'habitat précaire et illicite qui s'est accentué ces dernières années, notamment au chef-lieu de wilaya», a affirmé wilaya. Des instructions «fermes» ont été signifiées par le wali de Skikda aux responsables concernés aux fins de procéder à la «démolition systématique de toute nouvelle construction illicite érigée sur le territoire de la wilaya» et de «ne prendre en ligne de compte, lors de toute opération de relogement, que les habitations précaires recensées en 2007», ont ajouté les mêmes services. Quelque 500 habitations illicites ont été construites depuis le recensement de 2007 et ce, au niveau du seul chef-lieu de wilaya, plus particulièrement dans les périmètres des bidonvilles de Salah Boulkeroua, de Bouabbaz et du «Lac-des-Oiseaux». Une situation, selon les services de la wilaya, qui «ne peut, en aucun cas, se justifier par la seule problématique des besoins croissants en logement, d'autant que certaines pratiques de rétrocessions illégales de baraques ou de terrains faisant partie du domaine public, à des fins spéculatives, ont été maintes fois révélées». Par ailleurs, en plus des programmes d'habitat, tous segments confondus, actuellement en cours de réalisation dans différentes communes de la wilaya, l'on annonce le lancement, durant l'année en cours, de 6.000 logements publics locatifs au niveau de la commune chef-lieu de wilaya. Les chefs de daïras ont été instruits à l'effet de dresser un état des lieux exhaustif de la situation de l'habitat précaire au niveau de chaque commune, tandis que des commissions communales et de daïras ont été mises en place pour «veiller, surtout, à ce qu'aucune nouvelle construction illicite ne soit désormais érigée sur le territoire de la wilaya». «Ces démolitions prouvent, si besoin est, la ferme détermination affichée par les pouvoirs publics pour venir à bout du phénomène de la prolifération de l'habitat précaire et illicite qui s'est accentué ces dernières années, notamment au chef-lieu de wilaya», a affirmé wilaya. Des instructions «fermes» ont été signifiées par le wali de Skikda aux responsables concernés aux fins de procéder à la «démolition systématique de toute nouvelle construction illicite érigée sur le territoire de la wilaya» et de «ne prendre en ligne de compte, lors de toute opération de relogement, que les habitations précaires recensées en 2007», ont ajouté les mêmes services. Quelque 500 habitations illicites ont été construites depuis le recensement de 2007 et ce, au niveau du seul chef-lieu de wilaya, plus particulièrement dans les périmètres des bidonvilles de Salah Boulkeroua, de Bouabbaz et du «Lac-des-Oiseaux». Une situation, selon les services de la wilaya, qui «ne peut, en aucun cas, se justifier par la seule problématique des besoins croissants en logement, d'autant que certaines pratiques de rétrocessions illégales de baraques ou de terrains faisant partie du domaine public, à des fins spéculatives, ont été maintes fois révélées». Par ailleurs, en plus des programmes d'habitat, tous segments confondus, actuellement en cours de réalisation dans différentes communes de la wilaya, l'on annonce le lancement, durant l'année en cours, de 6.000 logements publics locatifs au niveau de la commune chef-lieu de wilaya. Les chefs de daïras ont été instruits à l'effet de dresser un état des lieux exhaustif de la situation de l'habitat précaire au niveau de chaque commune, tandis que des commissions communales et de daïras ont été mises en place pour «veiller, surtout, à ce qu'aucune nouvelle construction illicite ne soit désormais érigée sur le territoire de la wilaya».