L'euro s'échangeait en légère hausse face au dollar mardi, évoluant de nouveau au-dessus de 1,42 dollar après sa lourde chute de la veille, grâce à une accélération de la croissance de l'activité privée en avril. La monnaie européenne valait 1,4257 dollar en milieu de matinée contre 1,4236 dollar lundi soir. Après être monté la semaine dernière à 1,4520 dollar, son niveau le plus élevé depuis janvier 2010, l'euro était tombé la veille à 1,4158 dollar, un plus bas depuis le 5 avril. Pour les analyste, l'accélération inattendue de la croissance de l'activité privée dans la zone euro en avril, selon une première estimation de l'indice PMI des directeurs d'achat publiée hier, "confirme que l'activité économique dans la région dans son entier continue de résister aux problèmes" budgétaires persistants auxquels font face les pays dits de la périphérie de la zone euro. Mais les marchés restent cependant inquiets face à la perspective de voir la Grèce amenée à restructurer sa dette, et au risque d'une contagion de la crise à l'Espagne. Ces inquiétudes sur la zone euro avaient ainsi permis au dollar de rester ferme malgré l'annonce mardi de l'abaissement de la perspective sur la dette des Etats-Unis par l'agence de notation financière Standard and Poor's (S&P), commentaient par ailleurs des analystes. Cette annonce, motivée par les difficultés à trouver un accord politique sur la réduction des déficits, peut déboucher éventuellement à terme sur la perte du triple A, meilleure note possible, des Etats-Unis, en proie à de lourds problèmes budgétaires, expliquent-ils. L'euro s'échangeait en légère hausse face au dollar mardi, évoluant de nouveau au-dessus de 1,42 dollar après sa lourde chute de la veille, grâce à une accélération de la croissance de l'activité privée en avril. La monnaie européenne valait 1,4257 dollar en milieu de matinée contre 1,4236 dollar lundi soir. Après être monté la semaine dernière à 1,4520 dollar, son niveau le plus élevé depuis janvier 2010, l'euro était tombé la veille à 1,4158 dollar, un plus bas depuis le 5 avril. Pour les analyste, l'accélération inattendue de la croissance de l'activité privée dans la zone euro en avril, selon une première estimation de l'indice PMI des directeurs d'achat publiée hier, "confirme que l'activité économique dans la région dans son entier continue de résister aux problèmes" budgétaires persistants auxquels font face les pays dits de la périphérie de la zone euro. Mais les marchés restent cependant inquiets face à la perspective de voir la Grèce amenée à restructurer sa dette, et au risque d'une contagion de la crise à l'Espagne. Ces inquiétudes sur la zone euro avaient ainsi permis au dollar de rester ferme malgré l'annonce mardi de l'abaissement de la perspective sur la dette des Etats-Unis par l'agence de notation financière Standard and Poor's (S&P), commentaient par ailleurs des analystes. Cette annonce, motivée par les difficultés à trouver un accord politique sur la réduction des déficits, peut déboucher éventuellement à terme sur la perte du triple A, meilleure note possible, des Etats-Unis, en proie à de lourds problèmes budgétaires, expliquent-ils.