La numérisation des registres de l'état civil est à un stade « très avancé », a affirmé, jeudi dernier à Alger, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Dahou Ould Kablia. Le ministre a, en réponse à une question orale d'un membre du Conseil de la nation, lors d'une séance plénière, précisé que la numérisation des registres de l'état civil, qui s'inscrit dans le cadre de la modernisation de l'administration, « a démarré à titre pilote dans les communes d'Hussein Dey et de Bab El Oued à Alger et à Constantine alors que l'opération est en cours de réalisation à Oran ». Après avoir souligné l'importance de l'introduction de l'informatique dans tous les services administratifs publics, M. Ould Kablia a affirmé la nécessité de revoir la nomenclature de l'état civil, et ce, à travers la suppression de certains documents qui ne sont plus demandés par l'administration. Il a, en outre, souligné que l'allègement et la simplification des documents de l'état civil figuraient parmi les « priorités » de son département ministériel compte tenu, a-t-il dit, de leur incidence directe sur la vie des citoyens. Ces mesures, a-t-il poursuivi, s'inscrivent aussi dans le cadre de la modernisation de l'administration et son adaptation aux développements technologiques enregistrés dans tous les domaines. Concernant les dossiers des examens et concours, M. Ould Kablia a indiqué que le candidat n'est désormais tenu de présenter que les documents attestant son identité et son niveau scolaire, le reste des documents n'étant exigé qu'en cas de succès. Pour ce qui est du passeport et de la carte nationale d'identité biométriques et électroniques, il a estimé que ce dossier avait été « traité de manière adéquate » à travers la simplification et l'allègement du formulaire de demande de ces deux pièces. Il a, après avoir indiqué qu'entre 2 et 3 % des cartes nationales d'identité actuelles étaient falsifiées, assuré que la nouvelle carte nationale était infalsifiable. Par ailleurs, M. Ould Kablia a précisé que son département avait fait de la lutte contre la bureaucratie et les dysfonctionnements à tous les niveaux de l'administration centrale et locale sa feuille de route, appelant les walis et les chefs de daïra et présidents d'APC à la traduire sur le terrain sans délai. La numérisation des registres de l'état civil est à un stade « très avancé », a affirmé, jeudi dernier à Alger, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Dahou Ould Kablia. Le ministre a, en réponse à une question orale d'un membre du Conseil de la nation, lors d'une séance plénière, précisé que la numérisation des registres de l'état civil, qui s'inscrit dans le cadre de la modernisation de l'administration, « a démarré à titre pilote dans les communes d'Hussein Dey et de Bab El Oued à Alger et à Constantine alors que l'opération est en cours de réalisation à Oran ». Après avoir souligné l'importance de l'introduction de l'informatique dans tous les services administratifs publics, M. Ould Kablia a affirmé la nécessité de revoir la nomenclature de l'état civil, et ce, à travers la suppression de certains documents qui ne sont plus demandés par l'administration. Il a, en outre, souligné que l'allègement et la simplification des documents de l'état civil figuraient parmi les « priorités » de son département ministériel compte tenu, a-t-il dit, de leur incidence directe sur la vie des citoyens. Ces mesures, a-t-il poursuivi, s'inscrivent aussi dans le cadre de la modernisation de l'administration et son adaptation aux développements technologiques enregistrés dans tous les domaines. Concernant les dossiers des examens et concours, M. Ould Kablia a indiqué que le candidat n'est désormais tenu de présenter que les documents attestant son identité et son niveau scolaire, le reste des documents n'étant exigé qu'en cas de succès. Pour ce qui est du passeport et de la carte nationale d'identité biométriques et électroniques, il a estimé que ce dossier avait été « traité de manière adéquate » à travers la simplification et l'allègement du formulaire de demande de ces deux pièces. Il a, après avoir indiqué qu'entre 2 et 3 % des cartes nationales d'identité actuelles étaient falsifiées, assuré que la nouvelle carte nationale était infalsifiable. Par ailleurs, M. Ould Kablia a précisé que son département avait fait de la lutte contre la bureaucratie et les dysfonctionnements à tous les niveaux de l'administration centrale et locale sa feuille de route, appelant les walis et les chefs de daïra et présidents d'APC à la traduire sur le terrain sans délai.