Des centaines de Sahraouis et sympathisants de la cause sahraouie, venus de plusieurs pays, se sont rassemblés jeudi pour former une chaîne humaine près de la localité de Mahbès, dans les territoires libérés du Sahara occidental, en face du "mur de la honte", pour dénoncer cet ouvrage symbolisant l'occupation marocaine. Ces sympathisants de différentes nationalités (Italiens, Espagnols, Britanniques, Allemands, Argentins, Norvégiens, Cubains, Sud-Africains, Vénézuéliens, etc.) ont pris part à la manifestation pour dénoncer ce mur de sable d'une longueur de plus de 2.000 km érigé par l'armée marocaine dans les années 80 et divisant le Sahara occidental en deux parties. Ils se sont positionnés à environ 400 mètres, pour des raisons de sécurité, la distance les séparant du mur étant semée de mines antipersonnel placées par l'armée marocaine. "Non à l'autonomie", "l'indépendance du Sahara occidental est proche", "pas d'alternative à l'autodétermination" sont parmi les slogans scandés par les participants à cette chaîne humaine, pour la plupart des universitaires et des membres d'ONG activant dans le domaine des droits de l'homme. Durant leur rassemblement de protestation, les participants ont exigé la fin de l'occupation du Sahara occidental et dénoncé les graves violations des droits de l'Homme commises par le Maroc dans les territoires occupés ainsi que le soutien que reçoit ce pays de la France. Qu'ils soient Espagnols, Britanniques, Italiens ou d'autres nationalités, ils portaient des tee-shirts à l'effigie de martyrs sahraouis ou des tenues traditionnelles sahraouies pour exprimer leur soutien à la cause du peuple du Sahara occidental. "Nous estimons que ce mur a été bâti pour un but bien précis qui est celui d'éviter que les médias internationaux ne décrivent les horreurs marocaines à l'encontre du peuple sahraoui. Il représente aussi un symbole de la répression", a déclaré une universitaire espagnole, organisatrice de la "Chaîne humaine 2011" dont le mot d'ordre est "Résistance et dignité". Des centaines de Sahraouis et sympathisants de la cause sahraouie, venus de plusieurs pays, se sont rassemblés jeudi pour former une chaîne humaine près de la localité de Mahbès, dans les territoires libérés du Sahara occidental, en face du "mur de la honte", pour dénoncer cet ouvrage symbolisant l'occupation marocaine. Ces sympathisants de différentes nationalités (Italiens, Espagnols, Britanniques, Allemands, Argentins, Norvégiens, Cubains, Sud-Africains, Vénézuéliens, etc.) ont pris part à la manifestation pour dénoncer ce mur de sable d'une longueur de plus de 2.000 km érigé par l'armée marocaine dans les années 80 et divisant le Sahara occidental en deux parties. Ils se sont positionnés à environ 400 mètres, pour des raisons de sécurité, la distance les séparant du mur étant semée de mines antipersonnel placées par l'armée marocaine. "Non à l'autonomie", "l'indépendance du Sahara occidental est proche", "pas d'alternative à l'autodétermination" sont parmi les slogans scandés par les participants à cette chaîne humaine, pour la plupart des universitaires et des membres d'ONG activant dans le domaine des droits de l'homme. Durant leur rassemblement de protestation, les participants ont exigé la fin de l'occupation du Sahara occidental et dénoncé les graves violations des droits de l'Homme commises par le Maroc dans les territoires occupés ainsi que le soutien que reçoit ce pays de la France. Qu'ils soient Espagnols, Britanniques, Italiens ou d'autres nationalités, ils portaient des tee-shirts à l'effigie de martyrs sahraouis ou des tenues traditionnelles sahraouies pour exprimer leur soutien à la cause du peuple du Sahara occidental. "Nous estimons que ce mur a été bâti pour un but bien précis qui est celui d'éviter que les médias internationaux ne décrivent les horreurs marocaines à l'encontre du peuple sahraoui. Il représente aussi un symbole de la répression", a déclaré une universitaire espagnole, organisatrice de la "Chaîne humaine 2011" dont le mot d'ordre est "Résistance et dignité".