L'amélioration de la compétitivité des entreprises est le principal objectif du programme national de mise à niveau des PME élaboré par les pouvoirs publics et présenté mercredi passé lors d'une rencontre consacrée à sensibiliser les opérateurs des wilayas du centre du pays sur ce programme qui vise 20.000 PME à l'horizon 2014. Dans un message adressé aux participants de cette rencontre, le ministre de l'Industrie, Mohamed Benmeradi, a affirmé que les actions d'accompagnement et d'assistance contenues dans le programme ont pour principal objectif "d'améliorer la compétitivité des entreprises algériennes dans le cadre d'une démarche globale visant la diversification de l'économie nationale hors hydrocarbures". Ce programme, conçu après étude profonde de la situation et des spécificités des PME en Algérie, vise également, selon les déclaration du ministre rapporté par l'APS, "la promotion du capital humain à travers la formation en continue, l'amélioration du financement et de l'accès au crédit, la levée des barrières face à la coopération entre les entreprises et institutions notamment en matière de recherche et développement ainsi que l'amélioration de la qualité du service public", souligne M. Benmeradi dans ce message lu en son nom par le secrétaire général du ministère, Abderazak Henni. En outre, des rencontres de concertation ont eu lieu ou sont programmées avec les différentes organisations professionnelles et patronales représentatives pour une meilleure vulgarisation de ce programme au sein des entreprises concernées, indique M. Benmeradi. Dans ce sens, deux réunions sont déjà tenues entre des cadres du ministère et des représentants du Forum des chefs d'entreprises (FCE) et le Club d'entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI), a-t-il précisé. Le directeur de la PME au ministère, Ammouri Brahiti, a indiqué, quant à lui, que la mise en œuvre de ce programme s'inscrit dans l'objectif assigné par les pouvoirs publics en matière d'accompagnement des PME afin de les placer au cœur du développement économique du pays à travers notamment la création de plus de 200.000 entreprises et 3 millions emplois à l'horizons 2014. Le coût global de ce programme adopté en juillet 2010 est de 386 milliards de dinars (environ 4 milliards de dollars), en concours définitifs et en bonification sur les taux d'intérêt des crédits bancaires pouvant totaliser plus de 1.000 milliards de dinars (près de 14 milliards de dollars), a-t-il précisé. Pour ce responsable, il s'agit de rattraper le gap de 15 PME pour 1.000 habitants et atteindre 30 PME/1.000 habitants, le niveau moyen étant de 50 à 60 PME/1.000 habitants. Les mesures décidées dernièrement pour l'investissement et les facilitations d'accès au foncier industriel, le financement et l'amélioration de l'environnement, s'inscrivent, selon lui, "en droite ligne de cette démarche pour réduire et atténuer ce gap". Par ailleurs, le président de l'Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), Mouloud Kheloufi, a appelé à une plus large implication des entreprises du secteur des BTPH dans ce programme de mise à niveau afin que ces entreprises "puissent apporter leur contribution" à l'exécution du programme d'investissements publics en la matière. M. Kheloufi, qui s'exprimait en marge de cette rencontre, a déploré le fait que les PME du secteur des BTPH, au nombre de 167.000, étaient "quasiment exclues des précédents programmes de mise à niveau, notamment ceux conçus dans le cadre de coopération avec l'Union européenne". Pour ce nouveau programme, il a précisé que 500 dossiers de PME désirant y bénéficier sont déjà déposés par l'AGEA, qui se porte comme "garant de la régularité des comptes de ces sociétés" auprès des pouvoirs publics. Au total, cette association compte déposer quelque 1.700 dossiers afin de tenter de faire bénéficier le maximum de sociétés du secteur BTPH de ce dispositif, a-t-il souligné. L'amélioration de la compétitivité des entreprises est le principal objectif du programme national de mise à niveau des PME élaboré par les pouvoirs publics et présenté mercredi passé lors d'une rencontre consacrée à sensibiliser les opérateurs des wilayas du centre du pays sur ce programme qui vise 20.000 PME à l'horizon 2014. Dans un message adressé aux participants de cette rencontre, le ministre de l'Industrie, Mohamed Benmeradi, a affirmé que les actions d'accompagnement et d'assistance contenues dans le programme ont pour principal objectif "d'améliorer la compétitivité des entreprises algériennes dans le cadre d'une démarche globale visant la diversification de l'économie nationale hors hydrocarbures". Ce programme, conçu après étude profonde de la situation et des spécificités des PME en Algérie, vise également, selon les déclaration du ministre rapporté par l'APS, "la promotion du capital humain à travers la formation en continue, l'amélioration du financement et de l'accès au crédit, la levée des barrières face à la coopération entre les entreprises et institutions notamment en matière de recherche et développement ainsi que l'amélioration de la qualité du service public", souligne M. Benmeradi dans ce message lu en son nom par le secrétaire général du ministère, Abderazak Henni. En outre, des rencontres de concertation ont eu lieu ou sont programmées avec les différentes organisations professionnelles et patronales représentatives pour une meilleure vulgarisation de ce programme au sein des entreprises concernées, indique M. Benmeradi. Dans ce sens, deux réunions sont déjà tenues entre des cadres du ministère et des représentants du Forum des chefs d'entreprises (FCE) et le Club d'entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI), a-t-il précisé. Le directeur de la PME au ministère, Ammouri Brahiti, a indiqué, quant à lui, que la mise en œuvre de ce programme s'inscrit dans l'objectif assigné par les pouvoirs publics en matière d'accompagnement des PME afin de les placer au cœur du développement économique du pays à travers notamment la création de plus de 200.000 entreprises et 3 millions emplois à l'horizons 2014. Le coût global de ce programme adopté en juillet 2010 est de 386 milliards de dinars (environ 4 milliards de dollars), en concours définitifs et en bonification sur les taux d'intérêt des crédits bancaires pouvant totaliser plus de 1.000 milliards de dinars (près de 14 milliards de dollars), a-t-il précisé. Pour ce responsable, il s'agit de rattraper le gap de 15 PME pour 1.000 habitants et atteindre 30 PME/1.000 habitants, le niveau moyen étant de 50 à 60 PME/1.000 habitants. Les mesures décidées dernièrement pour l'investissement et les facilitations d'accès au foncier industriel, le financement et l'amélioration de l'environnement, s'inscrivent, selon lui, "en droite ligne de cette démarche pour réduire et atténuer ce gap". Par ailleurs, le président de l'Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), Mouloud Kheloufi, a appelé à une plus large implication des entreprises du secteur des BTPH dans ce programme de mise à niveau afin que ces entreprises "puissent apporter leur contribution" à l'exécution du programme d'investissements publics en la matière. M. Kheloufi, qui s'exprimait en marge de cette rencontre, a déploré le fait que les PME du secteur des BTPH, au nombre de 167.000, étaient "quasiment exclues des précédents programmes de mise à niveau, notamment ceux conçus dans le cadre de coopération avec l'Union européenne". Pour ce nouveau programme, il a précisé que 500 dossiers de PME désirant y bénéficier sont déjà déposés par l'AGEA, qui se porte comme "garant de la régularité des comptes de ces sociétés" auprès des pouvoirs publics. Au total, cette association compte déposer quelque 1.700 dossiers afin de tenter de faire bénéficier le maximum de sociétés du secteur BTPH de ce dispositif, a-t-il souligné.