Des milliers de médecins résidents, venus des quatre coins du pays, ont marché hier à Alger depuis la Présidence, où ils devaient organiser leurs troisième sit-in, mais les forces de l'ordre, très présentes sur place, les ont empêchés de se rassembler. Chose qui les a poussés à transformer leur sit-in en marche. Les médecins résidents qui sont en grève depuis le 28 mars dernier ont pu forcer le bouclier de policier déployés autour de la Présidence ainsi que plusieurs murailles des casques bleus déployés tout le long de leur itinéraire depuis la rue Didouche-Mourad jusqu'au palais d'El-Mouradia, avant d'arriver à la place du 1er-Mai où ils se sont rassemblés. Il faut noter que les médecins affiliés au Collectif autonome des médecins résidents algériens campent sur leur position et insistent sur la satisfaction de toutes leurs revendications dont l'abrogation de la loi du service civil qu'ils considèrent comme une loi anticonstitutionnelle, la révision des modalités du service militaire pour les étudiants en médecine et l'amélioration des conditions socioprofessionnelles ainsi que la révision du volet pédagogique dans lequel les résidents réclament l'inclusion de la prime de recherche et la bourse à l'étranger. Il est utile de rappeler que les médecins résidents ont organisé près d'une vingtaine de sit-in devant les ministères, respectivement de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ainsi que le siège de la Présidence. Des milliers de médecins résidents, venus des quatre coins du pays, ont marché hier à Alger depuis la Présidence, où ils devaient organiser leurs troisième sit-in, mais les forces de l'ordre, très présentes sur place, les ont empêchés de se rassembler. Chose qui les a poussés à transformer leur sit-in en marche. Les médecins résidents qui sont en grève depuis le 28 mars dernier ont pu forcer le bouclier de policier déployés autour de la Présidence ainsi que plusieurs murailles des casques bleus déployés tout le long de leur itinéraire depuis la rue Didouche-Mourad jusqu'au palais d'El-Mouradia, avant d'arriver à la place du 1er-Mai où ils se sont rassemblés. Il faut noter que les médecins affiliés au Collectif autonome des médecins résidents algériens campent sur leur position et insistent sur la satisfaction de toutes leurs revendications dont l'abrogation de la loi du service civil qu'ils considèrent comme une loi anticonstitutionnelle, la révision des modalités du service militaire pour les étudiants en médecine et l'amélioration des conditions socioprofessionnelles ainsi que la révision du volet pédagogique dans lequel les résidents réclament l'inclusion de la prime de recherche et la bourse à l'étranger. Il est utile de rappeler que les médecins résidents ont organisé près d'une vingtaine de sit-in devant les ministères, respectivement de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ainsi que le siège de la Présidence.