Les médecins résidents, qui observaient depuis deux jours un sit-in devant le siège de la Présidence, après concertation, ont décidé du gel momentané de leur mouvement tout en maintenant leur grève illimitée, nous a affirmé le docteur Merwane Sid-Ali, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens, contacté hier par le Midi Libre. Les médecins résidents, qui observaient depuis deux jours un sit-in devant le siège de la Présidence, après concertation, ont décidé du gel momentané de leur mouvement tout en maintenant leur grève illimitée, nous a affirmé le docteur Merwane Sid-Ali, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens, contacté hier par le Midi Libre. «Nous avons décidé, après les incidents à proximité du siège de la Présidence de quitter le lieu de notre sit-in que nous avons délocalisé au sein de l'hôpital Mustapha-Pacha où des centaines de résidents ont passé la nuit, mais aujourd'hui (ndlr), les médecins résidents ont décidé de geler leur sit-in pour pouvoir décider de la prochaine étape et se réorganiser », nous explique un autre délégué, membre du Camra. il faut noter que les médecins résidents ont, eux aussi, déploré des blessés dans leur rangs après les affrontements d'avant-hier - lors de la marche des étudiants. Il est important de signaler aussi que les résidents ont préféré se retirer par crainte et égard pour leurs consœurs venues très nombreuses au sit-in d'El Mouradia. « Nous sommes plus que persuadés que les policiers ont laissé exprès les étudiants arriver jusqu'au siège de la présidence où nous organisions un sit-in avec les enseignants des CEM du Sud et les victimes des erreurs médicales et ce dans le but de trouver la bonne excuse pour nous faire dégager tous de là-bas », nous ont dit de nombreux médecins résidents interrogés sur la question de l'annulation de leur sit-in. Le docteur Merwane, quant à lui, nous a affirmé au téléphone que « les médecins vont reprendre leur sit-in ai plus tard demain et que le gel est momentané ». Il est utile de rappeler que les médecins résidents algériens, en grève depuis plus de trois semaines maintenant, ont organisé plus de 10 sit-in, dont 2 devant le palais de la Présidence, dans l'espoir de faire aboutir leurs revendications, dont l'abrogation du service civil, la révision des conditions du service militaire pour les médecins ainsi que l'amélioration des conditions socioprofessionnelles et pédagogiques. «Nous avons décidé, après les incidents à proximité du siège de la Présidence de quitter le lieu de notre sit-in que nous avons délocalisé au sein de l'hôpital Mustapha-Pacha où des centaines de résidents ont passé la nuit, mais aujourd'hui (ndlr), les médecins résidents ont décidé de geler leur sit-in pour pouvoir décider de la prochaine étape et se réorganiser », nous explique un autre délégué, membre du Camra. il faut noter que les médecins résidents ont, eux aussi, déploré des blessés dans leur rangs après les affrontements d'avant-hier - lors de la marche des étudiants. Il est important de signaler aussi que les résidents ont préféré se retirer par crainte et égard pour leurs consœurs venues très nombreuses au sit-in d'El Mouradia. « Nous sommes plus que persuadés que les policiers ont laissé exprès les étudiants arriver jusqu'au siège de la présidence où nous organisions un sit-in avec les enseignants des CEM du Sud et les victimes des erreurs médicales et ce dans le but de trouver la bonne excuse pour nous faire dégager tous de là-bas », nous ont dit de nombreux médecins résidents interrogés sur la question de l'annulation de leur sit-in. Le docteur Merwane, quant à lui, nous a affirmé au téléphone que « les médecins vont reprendre leur sit-in ai plus tard demain et que le gel est momentané ». Il est utile de rappeler que les médecins résidents algériens, en grève depuis plus de trois semaines maintenant, ont organisé plus de 10 sit-in, dont 2 devant le palais de la Présidence, dans l'espoir de faire aboutir leurs revendications, dont l'abrogation du service civil, la révision des conditions du service militaire pour les médecins ainsi que l'amélioration des conditions socioprofessionnelles et pédagogiques.