«Les assises générales de la société civile qui auront lieu du 14 au 16 juin prochain au Palais des nations auront pour objectif essentiel de répertorier les véritables préoccupations de la société civile dans tous ses états, notamment en examinant les grands enjeux et les défis qu'affrontent la nation », a notamment déclaré, hier, le président du Conseil national économique et social (CNES) Mohamed Seghir Babès, lors d'une conférence de presse. Il s'agit, selon lui, de décortiquer les chantiers réflexifs devant se donner à voir et à vivre comme d'authentiques exercices de démocratie participative. Autrement dit, développer une concertation partenariale plurielle afin de garantir l'implication active des acteurs clés du système de gouvernance économique et sociale. Les participants à ces états généraux passeront en revue plusieurs questions stratégiques telles que les problématiques inhérentes à la formation, l'emploi et la régulation du marché du travail, la jeunesse, l'environnement et la protection sociale… Aussi, Babès a précisé que tous les segments de la société civile seront représentés lors de cette rencontre de trois jours afin « d'engager en Algérie un nouveau régime de croissance économique diversifié. S'agissant de la jeunesse, nous disséquerons le vécu quotidien en interpellant l'Etat et la société civile tout en mettant en relief la question lancinante de la solidarité sociale suivant les mécanismes mis en place ». Il ajoute que « l'important consiste notamment à dialoguer avec les acteurs de la société civile émergents en prenant e considération les revendications catégorielles et territoriales». Pour sa part, Mustapha Mékidèche, vice-président du CNES a mis l'accent sur la nécessité d'écouter la société civile et remettre aux pouvoirs publics et à l'ensemble de la société civile la synthèse et les grandes lignes du débat après libération de la parole…et en prenant en charge les revendications sociales. « Nous ne laisserons pas sur le bord de la route les segments de la société les plus vulnérables. Il s'agit de mettre e place une bonne gouvernance sociale, économique et institutionnelle, car les partenaires sociaux (patronat) se plaignent des rapports administratifs et bureaucratiques. Il faut associer au dialogue les mouvements associatifs extrêmement larges » a-t-il affirmé. «Les assises générales de la société civile qui auront lieu du 14 au 16 juin prochain au Palais des nations auront pour objectif essentiel de répertorier les véritables préoccupations de la société civile dans tous ses états, notamment en examinant les grands enjeux et les défis qu'affrontent la nation », a notamment déclaré, hier, le président du Conseil national économique et social (CNES) Mohamed Seghir Babès, lors d'une conférence de presse. Il s'agit, selon lui, de décortiquer les chantiers réflexifs devant se donner à voir et à vivre comme d'authentiques exercices de démocratie participative. Autrement dit, développer une concertation partenariale plurielle afin de garantir l'implication active des acteurs clés du système de gouvernance économique et sociale. Les participants à ces états généraux passeront en revue plusieurs questions stratégiques telles que les problématiques inhérentes à la formation, l'emploi et la régulation du marché du travail, la jeunesse, l'environnement et la protection sociale… Aussi, Babès a précisé que tous les segments de la société civile seront représentés lors de cette rencontre de trois jours afin « d'engager en Algérie un nouveau régime de croissance économique diversifié. S'agissant de la jeunesse, nous disséquerons le vécu quotidien en interpellant l'Etat et la société civile tout en mettant en relief la question lancinante de la solidarité sociale suivant les mécanismes mis en place ». Il ajoute que « l'important consiste notamment à dialoguer avec les acteurs de la société civile émergents en prenant e considération les revendications catégorielles et territoriales». Pour sa part, Mustapha Mékidèche, vice-président du CNES a mis l'accent sur la nécessité d'écouter la société civile et remettre aux pouvoirs publics et à l'ensemble de la société civile la synthèse et les grandes lignes du débat après libération de la parole…et en prenant en charge les revendications sociales. « Nous ne laisserons pas sur le bord de la route les segments de la société les plus vulnérables. Il s'agit de mettre e place une bonne gouvernance sociale, économique et institutionnelle, car les partenaires sociaux (patronat) se plaignent des rapports administratifs et bureaucratiques. Il faut associer au dialogue les mouvements associatifs extrêmement larges » a-t-il affirmé.