Des peines allant de six mois de prison avec sursis à la réclusion criminelle à perpétuité ont été prononcées, mardi par le tribunal criminel près la cour de justice de Sidi Bel-Abbès, à l'encontre des dix personnes jugées depuis le 25 avril dernier pour trafic de drogue. Des peines allant de six mois de prison avec sursis à la réclusion criminelle à perpétuité ont été prononcées, mardi par le tribunal criminel près la cour de justice de Sidi Bel-Abbès, à l'encontre des dix personnes jugées depuis le 25 avril dernier pour trafic de drogue. Quatre autres personnes poursuivies dans le cadre de cette même affaire ont été acquittées alors que deux accusés en état de fuite, Houari Ahmed et Houari Bouazza, ont écopé par contumace de la réclusion criminelle à perpétuité. Pour les accusés présents au procès, la peine la plus lourde (la reclusion criminelle à perpétuité) a été infligée à Houari Noureddine, un baron de la drogue purgeant actuellement une peine de 18 ans de réclusion pour son implication dans une autre affaire de trafic de drogue. Deux mis en cause parmi les trafiquants, Boughoufoula Mohamed et Benabdallah Houari, ont écopé de 12 ans de réclusion criminelle chacun. Un ex-chef de la sûreté de la wilaya de Tlemcen, Senouci Mohamed, qui a comparu pour complicité et recel, a été condamné quant à lui à 10 ans de réclusion. Cette affaire remonte à novembre 2005, lorsque les services de police de Maghnia (Tlemcen) procèdent à la saisie de 275 kg de kif dissimulée à l'intérieur d'un véhicule après avoir été prévenus par un appel téléphonique anonyme. La poursuite des investigations permettra, deux mois après, la découverte d'une autre quantité de kif estimée à 25,4 quintaux. Une quarantaine d'avocats de la défense étaient constitués au procès qui a vu l'audition d'une soixantaine de témoins dont deux experts du Laboratoire régional de la police scientifique. Ces derniers ont été entendus par le tribunal pour décrire comment ils avaient pu remonter à l'auteur de l'appel téléphonique qui n'était autre que le baron ayant écopé de la réclusion à perpétuité. Dans son réquisitoire, le représentant du ministère public avait réclamé des peines allant de 4 ans de réclusion à la perpétuité, alors que les avocats de la défense avaient axé leurs plaidoiries sur l'absence de preuves pour les accusés ayant nié les faits ou en sollicitant le bénéfice des circonstances atténuantes pour ceux ayant reconnu les mêmes faits. Quatre autres personnes poursuivies dans le cadre de cette même affaire ont été acquittées alors que deux accusés en état de fuite, Houari Ahmed et Houari Bouazza, ont écopé par contumace de la réclusion criminelle à perpétuité. Pour les accusés présents au procès, la peine la plus lourde (la reclusion criminelle à perpétuité) a été infligée à Houari Noureddine, un baron de la drogue purgeant actuellement une peine de 18 ans de réclusion pour son implication dans une autre affaire de trafic de drogue. Deux mis en cause parmi les trafiquants, Boughoufoula Mohamed et Benabdallah Houari, ont écopé de 12 ans de réclusion criminelle chacun. Un ex-chef de la sûreté de la wilaya de Tlemcen, Senouci Mohamed, qui a comparu pour complicité et recel, a été condamné quant à lui à 10 ans de réclusion. Cette affaire remonte à novembre 2005, lorsque les services de police de Maghnia (Tlemcen) procèdent à la saisie de 275 kg de kif dissimulée à l'intérieur d'un véhicule après avoir été prévenus par un appel téléphonique anonyme. La poursuite des investigations permettra, deux mois après, la découverte d'une autre quantité de kif estimée à 25,4 quintaux. Une quarantaine d'avocats de la défense étaient constitués au procès qui a vu l'audition d'une soixantaine de témoins dont deux experts du Laboratoire régional de la police scientifique. Ces derniers ont été entendus par le tribunal pour décrire comment ils avaient pu remonter à l'auteur de l'appel téléphonique qui n'était autre que le baron ayant écopé de la réclusion à perpétuité. Dans son réquisitoire, le représentant du ministère public avait réclamé des peines allant de 4 ans de réclusion à la perpétuité, alors que les avocats de la défense avaient axé leurs plaidoiries sur l'absence de preuves pour les accusés ayant nié les faits ou en sollicitant le bénéfice des circonstances atténuantes pour ceux ayant reconnu les mêmes faits.