Le président du Front national algérien (FNA) lance un appel à toutes les formations politiques de l'opposition dans la perspective de créer un bloc de concertation afin de diligenter les réformes politiques. Le président du Front national algérien (FNA) lance un appel à toutes les formations politiques de l'opposition dans la perspective de créer un bloc de concertation afin de diligenter les réformes politiques. «Le FNA appelle ses partenaires de l'opposition, de toutes les tendances, afin de trouver un espace de concertation sans tutelle », a lancé hier, Moussa Touati, lors d'une rencontre tenue à Alger, en présence de Abderezzak Makri du Mouvement de la société pour la paix (MSP). L'initiative du président du FNA, qui s'apparente dans la forme à une tentative de chapeauter les partis de l'opposition, se veut une réponse aux récentes mesures annoncées par le président de la République pour accompagner le processus des réformes politiques décidées lors de son discours du 15 avril dernier. Moussa Touati qui milite pour « redonner la souveraineté au peuple », veut, à travers cette entreprise, unifier les rangs des formations de l'opposition, afin de tirer son épingle des réformes politiques que l'Algérie s'apprête à opérer. En réaction implicite à la désignation du président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah en l'occurrence, pour piloter la commission chargée de préparer la révision de la Constitution, Moussa Touati a estimé « qu'il est temps d'écouter l'opposition ». Et d'enchaîner : « On veut nous entraîner dans une chambre fermée où toutes les décisions seront prises à leur guise », dans une allusion directe aux réforme « biaisées » décidées par le chef de l'Etat. Mettant en garde contre la propagation des événements qui secouent plusieurs pays arabes et maghrébins, Moussa Touati soutient que l'heure du changement est venue. Cependant,« nous tenons beaucoup à ce que le changement politique en Algérie s'opère de façon pacifique, dans l'ordre et loin des troubles, afin de consacrer plus de démocratie et de maturité politique », a-t-il ajouté. Abondant dans le même sens, Abderezzak Makri du MSP, non sans accepter l'initiative du FNA, a réitéré la nécessité d'opter pour un régime parlementaire et consacrer le principe d'alternance au pouvoir, essence de toute démocratie, dans le cadre des réformes politiques dans le pays. Des réformes qui devront « être encadrées » par Abdelaziz Bouteflika lui-même afin de mener à bon port le processus de changement en Algérie. Le représentant du MSP a rappelé par ailleurs que son parti a « placé la barre des réformes très haut, en dépit de sa présence dans le gouvernement ». «Le FNA appelle ses partenaires de l'opposition, de toutes les tendances, afin de trouver un espace de concertation sans tutelle », a lancé hier, Moussa Touati, lors d'une rencontre tenue à Alger, en présence de Abderezzak Makri du Mouvement de la société pour la paix (MSP). L'initiative du président du FNA, qui s'apparente dans la forme à une tentative de chapeauter les partis de l'opposition, se veut une réponse aux récentes mesures annoncées par le président de la République pour accompagner le processus des réformes politiques décidées lors de son discours du 15 avril dernier. Moussa Touati qui milite pour « redonner la souveraineté au peuple », veut, à travers cette entreprise, unifier les rangs des formations de l'opposition, afin de tirer son épingle des réformes politiques que l'Algérie s'apprête à opérer. En réaction implicite à la désignation du président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah en l'occurrence, pour piloter la commission chargée de préparer la révision de la Constitution, Moussa Touati a estimé « qu'il est temps d'écouter l'opposition ». Et d'enchaîner : « On veut nous entraîner dans une chambre fermée où toutes les décisions seront prises à leur guise », dans une allusion directe aux réforme « biaisées » décidées par le chef de l'Etat. Mettant en garde contre la propagation des événements qui secouent plusieurs pays arabes et maghrébins, Moussa Touati soutient que l'heure du changement est venue. Cependant,« nous tenons beaucoup à ce que le changement politique en Algérie s'opère de façon pacifique, dans l'ordre et loin des troubles, afin de consacrer plus de démocratie et de maturité politique », a-t-il ajouté. Abondant dans le même sens, Abderezzak Makri du MSP, non sans accepter l'initiative du FNA, a réitéré la nécessité d'opter pour un régime parlementaire et consacrer le principe d'alternance au pouvoir, essence de toute démocratie, dans le cadre des réformes politiques dans le pays. Des réformes qui devront « être encadrées » par Abdelaziz Bouteflika lui-même afin de mener à bon port le processus de changement en Algérie. Le représentant du MSP a rappelé par ailleurs que son parti a « placé la barre des réformes très haut, en dépit de sa présence dans le gouvernement ».