Des centaines de jeunes, venus en excursion des wilayas limitrophes, se sont donné rendez-vous, samedi, sur les berges du lac Tonga d'El Tarf et dans la forêt récréative voisine, conférant aux lieux une belle animation. Beaucoup de jeunes gens se sont constitués en groupes pour effectuer des visites guidées sur la digue de cette zone humide pour découvrir la faune et la flore vivant dans ce milieu naturel. Sous un soleil radieux, les jeunes en excursion paraissaient subjugués par ce magnifique plan d'eau occupé par des nuées d'oiseaux d'eau et de diverses espèces floristiques, dont le nénuphar à fleurs jaunes, roses ou blanches, les ajoncs et les iris. D'autres groupes accompagnés par des agents et des ingénieurs du parc national d'El Kala (PNEK) ont choisi l'arboretum de ce milieu humide, prenant notamment des photographies-souvenir au pied des différentes espèces d'arbres dont certains atteignent plus de 30 mètres de hauteur avec un tronc dépassant les deux mètres de diamètre, comme le cyprès chauve, ramené des Etats-Unis au 18e siècle, l'aulne ou le frêne, et découvrant certaines espèces de fougères rares comme les polypodes. Ombragé durant toute l'année, ne recevant les rayons du soleil qu'avec parcimonie, cet arboretum est destiné à la détente, mais aussi à la recherche scientifique. Profitant de la présence de ces jeunes, les agents du PNEK n'ont pas manqué de les sensibiliser davantage sur l'importance des zones humides, leur rôle et leur protection pour la préservation de l'équilibre écologique. Des centaines de jeunes, venus en excursion des wilayas limitrophes, se sont donné rendez-vous, samedi, sur les berges du lac Tonga d'El Tarf et dans la forêt récréative voisine, conférant aux lieux une belle animation. Beaucoup de jeunes gens se sont constitués en groupes pour effectuer des visites guidées sur la digue de cette zone humide pour découvrir la faune et la flore vivant dans ce milieu naturel. Sous un soleil radieux, les jeunes en excursion paraissaient subjugués par ce magnifique plan d'eau occupé par des nuées d'oiseaux d'eau et de diverses espèces floristiques, dont le nénuphar à fleurs jaunes, roses ou blanches, les ajoncs et les iris. D'autres groupes accompagnés par des agents et des ingénieurs du parc national d'El Kala (PNEK) ont choisi l'arboretum de ce milieu humide, prenant notamment des photographies-souvenir au pied des différentes espèces d'arbres dont certains atteignent plus de 30 mètres de hauteur avec un tronc dépassant les deux mètres de diamètre, comme le cyprès chauve, ramené des Etats-Unis au 18e siècle, l'aulne ou le frêne, et découvrant certaines espèces de fougères rares comme les polypodes. Ombragé durant toute l'année, ne recevant les rayons du soleil qu'avec parcimonie, cet arboretum est destiné à la détente, mais aussi à la recherche scientifique. Profitant de la présence de ces jeunes, les agents du PNEK n'ont pas manqué de les sensibiliser davantage sur l'importance des zones humides, leur rôle et leur protection pour la préservation de l'équilibre écologique.