Le tribunal criminel près la cour d'Alger a prononcé lundi soir des peines allant d'un an à quatre ans de prison ferme contre 9 accusés pour appartenance à un groupe terroriste et possession de matières explosives. L'accusé Aït Said Yassine a ainsi écopé de quatre ans de prison ferme. Les accusés Meguelati Redouane, Boulekroum Oussama, Djebbar Samir et Debaghi Oussama ont été condamnés à deux ans de prison ferme. Les accusés Fentazi Abdelhalim, Fitas Fethi, Bouakaz Abdallah et Bendahmane Saber ont, quant à eux, écopé d'un an de prison ferme. Selon l'arrêt de renvoi, l'affaire remonte au 2 décembre 2009 lorsque les services de sécurité ont arrêté l'accusé Aït Saïd Yassine au niveau d'un barrage de sécurité, dans la région de Tagounit à Ain El-Hamam (Tizi-Ouzou), alors qu'il s'apprêtait à faire passer les quantités de matières explosives à bord de son véhicule à un groupe terroriste activant dans la même région. Grâce aux informations obtenues lors de l'interrogatoire de l'accusé Aït Saïd Yassine, les services de sécurité ont pu arrêter les autres éléments du groupe dans une embuscade. Les accusés ont avoué que leur groupe était en train de préparer plusieurs opérations suicide dans la région de Tizi-Ouzou et l'assassinat d'éléments des services de sécurité travaillant dans la région. Au cours de l'audience, les accusés se sont rétractés et ont nié tous les faits qui leur sont reprochés. Le ministère public avait requis des peines allant à 20 ans de prison ferme contre les accusés. Le tribunal criminel près la cour d'Alger a prononcé lundi soir des peines allant d'un an à quatre ans de prison ferme contre 9 accusés pour appartenance à un groupe terroriste et possession de matières explosives. L'accusé Aït Said Yassine a ainsi écopé de quatre ans de prison ferme. Les accusés Meguelati Redouane, Boulekroum Oussama, Djebbar Samir et Debaghi Oussama ont été condamnés à deux ans de prison ferme. Les accusés Fentazi Abdelhalim, Fitas Fethi, Bouakaz Abdallah et Bendahmane Saber ont, quant à eux, écopé d'un an de prison ferme. Selon l'arrêt de renvoi, l'affaire remonte au 2 décembre 2009 lorsque les services de sécurité ont arrêté l'accusé Aït Saïd Yassine au niveau d'un barrage de sécurité, dans la région de Tagounit à Ain El-Hamam (Tizi-Ouzou), alors qu'il s'apprêtait à faire passer les quantités de matières explosives à bord de son véhicule à un groupe terroriste activant dans la même région. Grâce aux informations obtenues lors de l'interrogatoire de l'accusé Aït Saïd Yassine, les services de sécurité ont pu arrêter les autres éléments du groupe dans une embuscade. Les accusés ont avoué que leur groupe était en train de préparer plusieurs opérations suicide dans la région de Tizi-Ouzou et l'assassinat d'éléments des services de sécurité travaillant dans la région. Au cours de l'audience, les accusés se sont rétractés et ont nié tous les faits qui leur sont reprochés. Le ministère public avait requis des peines allant à 20 ans de prison ferme contre les accusés.