Réalisée sous anesthésie, une arthroscopie est un examen dont la visée est à la fois diagnostic et thérapeutique. Il permet au chirurgien d'explorer « l'intérieur » d'une articulation. Il utilise pour cela un petit tube rigide - un arthroscope - relié à une caméra et à un écran de contrôle. L'arthroscopie permet donc de visualiser l'intérieur d'une articulation, d'y effectuer des prélèvements ou d'y réaliser certains gestes chirurgicaux. Elle est utilisée pour la recherche et l'identification de différentes atteintes des articulations : au niveau du cartilage, de la synoviale, des ligaments, des ménisques, des tendons… Le genou, l'épaule, la hanche, le coude sont les articulations qui font le plus souvent l'objet de ce type d'exploration. A titre d'exemple, une arthroscopie du genou peut permettre au chirurgien de retirer des fragments d'un cartilage lésé, qui entravent la mobilité de l'articulation. L'arthroscopie est une technique chirurgicale. Comme telle, elle est réalisée au bloc opératoire. Elle se fait donc sous anesthésie : locale, locorégionale ou générale. Une visite préopératoire avec un anesthésiste sera donc obligatoire. L'arthroscopie nécessite une ou deux incisions de petite taille. La première permet d'introduire l'arthroscope et la seconde, les instruments nécessaires à l'opération. Selon une enquête réalisée au niveau de 33 centres en Europe, dans les Amériques et en Australie et qui a porté sur 15.682 arthroscopies, le taux de complications est inférieur à 1%. Les complications relevées ont été de différents types : des infections (de la plaie ou de l'articulation), des épanchements de sang dans l'articulation (hémarthroses), des thromboses veineuses profondes, des lésions neurologiques et des thrombophlébites superficielles. Réalisée sous anesthésie, une arthroscopie est un examen dont la visée est à la fois diagnostic et thérapeutique. Il permet au chirurgien d'explorer « l'intérieur » d'une articulation. Il utilise pour cela un petit tube rigide - un arthroscope - relié à une caméra et à un écran de contrôle. L'arthroscopie permet donc de visualiser l'intérieur d'une articulation, d'y effectuer des prélèvements ou d'y réaliser certains gestes chirurgicaux. Elle est utilisée pour la recherche et l'identification de différentes atteintes des articulations : au niveau du cartilage, de la synoviale, des ligaments, des ménisques, des tendons… Le genou, l'épaule, la hanche, le coude sont les articulations qui font le plus souvent l'objet de ce type d'exploration. A titre d'exemple, une arthroscopie du genou peut permettre au chirurgien de retirer des fragments d'un cartilage lésé, qui entravent la mobilité de l'articulation. L'arthroscopie est une technique chirurgicale. Comme telle, elle est réalisée au bloc opératoire. Elle se fait donc sous anesthésie : locale, locorégionale ou générale. Une visite préopératoire avec un anesthésiste sera donc obligatoire. L'arthroscopie nécessite une ou deux incisions de petite taille. La première permet d'introduire l'arthroscope et la seconde, les instruments nécessaires à l'opération. Selon une enquête réalisée au niveau de 33 centres en Europe, dans les Amériques et en Australie et qui a porté sur 15.682 arthroscopies, le taux de complications est inférieur à 1%. Les complications relevées ont été de différents types : des infections (de la plaie ou de l'articulation), des épanchements de sang dans l'articulation (hémarthroses), des thromboses veineuses profondes, des lésions neurologiques et des thrombophlébites superficielles.