Le déficit budgétaire de l'Algérie, prévu par le projet de loi de finances complémentaire pour 2011, « s'aggraverait fortement » sous l'effet de la dépense publique à 33,9% du PIB, selon le texte du projet qui sera soumis aux parlementaires durant la session de printemps de l'APN. Le projet de la LFC pour 2011 prévoit un déficit de 4.693 milliards DA (mds DA), soit un ratio par rapport au PIB de 33,9%, contre 3.355 mds DA dans la loi de finances initiale. La loi de finances 2011 tablait sur un déficit budgétaire de 3 355 mds DA, soit 28% du PIB. Le creusement du déficit budgétaire de l'Algérie, projeté pour 2011, survient sous l'effet de la dépense de fonctionnement qui s'accroît de 857 mds DA, en raison principalement de l'élargissement du soutien des prix à de nouveaux produits alimentaires de base (huiles alimentaires et sucre) et du renforcement de la dotation budgétaire au soutien des prix des produits subventionnés, antérieurement à 2011 (blés et poudre de lait). Le déficit budgétaire de l'Algérie, prévu par le projet de loi de finances complémentaire pour 2011, « s'aggraverait fortement » sous l'effet de la dépense publique à 33,9% du PIB, selon le texte du projet qui sera soumis aux parlementaires durant la session de printemps de l'APN. Le projet de la LFC pour 2011 prévoit un déficit de 4.693 milliards DA (mds DA), soit un ratio par rapport au PIB de 33,9%, contre 3.355 mds DA dans la loi de finances initiale. La loi de finances 2011 tablait sur un déficit budgétaire de 3 355 mds DA, soit 28% du PIB. Le creusement du déficit budgétaire de l'Algérie, projeté pour 2011, survient sous l'effet de la dépense de fonctionnement qui s'accroît de 857 mds DA, en raison principalement de l'élargissement du soutien des prix à de nouveaux produits alimentaires de base (huiles alimentaires et sucre) et du renforcement de la dotation budgétaire au soutien des prix des produits subventionnés, antérieurement à 2011 (blés et poudre de lait).