La double hospitalisation de l'ancien président égyptien et de sa femme, tous deux poursuivis par la justice, alimente les rumeurs d'un traitement de faveur. Les militaires au pouvoir en Egypte ont démenti mercredi les "rumeurs" selon lesquelles ils envisageraient de gracier l'ancien président Hosni Moubarak, poursuivi pour corruption et abus de pouvoir. Âgé de 83 ans, Hosni Moubarak est hospitalisé à Charm el-Cheikh, sur les bords de la mer Rouge. Selon les autorités, qui avaient ordonné son placement en détention, il souffre de problèmes cardiaques. Sa femme, Suzanne, a elle aussi été hospitalisée vendredi en raison de troubles cardiaques après avoir appris qu'elle devait être mise en détention. Elle a été libérée mardi. Cette double hospitalisation, qui a évité au couple d'être incarcéré, a alimenté les rumeurs selon lesquelles Hosni et Suzanne Moubarak bénéficiaient d'un traitement de faveur. "Le conseil suprême des forces armées affirme qu'il n'y a absolument aucune vérité dans ce qui a été publié dans les médias au sujet d'une initiative du conseil visant à gracier l'ancien président Hosni Moubarak et sa famille", écrit la junte sur sa page Facebook. Le conseil "n'intervient d'aucune manière dans les affaires judiciaires et particulièrement en ce qui concerne les symboles de l'ancien régime", ajoute-t-il. Il affirme que ces "rumeurs" sont destinées à diviser le pays. La double hospitalisation de l'ancien président égyptien et de sa femme, tous deux poursuivis par la justice, alimente les rumeurs d'un traitement de faveur. Les militaires au pouvoir en Egypte ont démenti mercredi les "rumeurs" selon lesquelles ils envisageraient de gracier l'ancien président Hosni Moubarak, poursuivi pour corruption et abus de pouvoir. Âgé de 83 ans, Hosni Moubarak est hospitalisé à Charm el-Cheikh, sur les bords de la mer Rouge. Selon les autorités, qui avaient ordonné son placement en détention, il souffre de problèmes cardiaques. Sa femme, Suzanne, a elle aussi été hospitalisée vendredi en raison de troubles cardiaques après avoir appris qu'elle devait être mise en détention. Elle a été libérée mardi. Cette double hospitalisation, qui a évité au couple d'être incarcéré, a alimenté les rumeurs selon lesquelles Hosni et Suzanne Moubarak bénéficiaient d'un traitement de faveur. "Le conseil suprême des forces armées affirme qu'il n'y a absolument aucune vérité dans ce qui a été publié dans les médias au sujet d'une initiative du conseil visant à gracier l'ancien président Hosni Moubarak et sa famille", écrit la junte sur sa page Facebook. Le conseil "n'intervient d'aucune manière dans les affaires judiciaires et particulièrement en ce qui concerne les symboles de l'ancien régime", ajoute-t-il. Il affirme que ces "rumeurs" sont destinées à diviser le pays.