L'armée égyptienne a démenti hier s'orienter vers une grâce pour l'ancien président Hosni Moubarak tandis que son avocat nie les intentions de son client de présenter ses excuses à la nation et plaider en faveur d'une amnistie. Répondant sur sa page officielle Faceboock à ce qui a été rapporté par les médias, le Conseil suprême des forces armées, qui dirige le pays, a affirmé que l'orientation vers une grâce pour l'ancien président Hosni Moubarak ou sa famille n'est absolument pas vraie. Le journal indépendant égyptien al-Chorouk avait affirmé que M. Moubarak préparait une lettre dans laquelle il présenterait des excuses aux Egyptiens et remettrait ses avoirs à l'Etat, dans l'espoir d'obtenir une amnistie de la part du Conseil suprême des forces armées. Moubarak et son épouse étaient disposés à renoncer à tous leurs biens afin d'éviter toute poursuite judiciaire, selon le journal qui n'a pas précisé s'il s'agissait des biens à l'intérieur et à l'extérieur du pays ou uniquement à l'intérieur. Par ailleurs, le Conseil a souligné qu'il n'interviendrait en aucune manière dans les procédures juridiques relatives au jugement des symboles de l'ancien régime mettant en garde contre les informations et rumeurs visant à "créer la division au sein de la société égyptienne". L'épouse de l'ex-président égyptien Hosni Moubarak, Suzanne, en détention préventive, a été remise en liberté mardi après avoir remis ses avoirs à l'Etat estimés à plus de 4 millions de dollars. Les autorités judiciaires ont également libéré sous caution Zakaria Ouzama, chef de cabinet de l'ancien président (200.000 livres) et Fethi Serour, président du conseil du peuple (100.000 livres). D'autre part Farid Dib, avocat de l'ancien président, a démenti les intentions de Moubarak de présenter ses excuses au peuple. Dans des déclarations à la presse, l'avocat a démenti les allégations selon lesquelles l'ex-président aurait renoncé à ses biens. Il a nié dans ce sens la possession par Moubarak de fonds pouvant faire objet de concession sauf ses salaires en tant que président de la République et ses distinctions de l'ordre de l'Etoile de Sinaï et des deux étoiles de la légion d'honneur estimées chacune à 20.000 livres (plus de 3.500 dollars). La possibilité de gracier l'ex-président égyptien a suscité une vive polémique. Plusieurs analystes estimant qu'il s'agit d'une "dérobade" de la justice. L'armée égyptienne a démenti hier s'orienter vers une grâce pour l'ancien président Hosni Moubarak tandis que son avocat nie les intentions de son client de présenter ses excuses à la nation et plaider en faveur d'une amnistie. Répondant sur sa page officielle Faceboock à ce qui a été rapporté par les médias, le Conseil suprême des forces armées, qui dirige le pays, a affirmé que l'orientation vers une grâce pour l'ancien président Hosni Moubarak ou sa famille n'est absolument pas vraie. Le journal indépendant égyptien al-Chorouk avait affirmé que M. Moubarak préparait une lettre dans laquelle il présenterait des excuses aux Egyptiens et remettrait ses avoirs à l'Etat, dans l'espoir d'obtenir une amnistie de la part du Conseil suprême des forces armées. Moubarak et son épouse étaient disposés à renoncer à tous leurs biens afin d'éviter toute poursuite judiciaire, selon le journal qui n'a pas précisé s'il s'agissait des biens à l'intérieur et à l'extérieur du pays ou uniquement à l'intérieur. Par ailleurs, le Conseil a souligné qu'il n'interviendrait en aucune manière dans les procédures juridiques relatives au jugement des symboles de l'ancien régime mettant en garde contre les informations et rumeurs visant à "créer la division au sein de la société égyptienne". L'épouse de l'ex-président égyptien Hosni Moubarak, Suzanne, en détention préventive, a été remise en liberté mardi après avoir remis ses avoirs à l'Etat estimés à plus de 4 millions de dollars. Les autorités judiciaires ont également libéré sous caution Zakaria Ouzama, chef de cabinet de l'ancien président (200.000 livres) et Fethi Serour, président du conseil du peuple (100.000 livres). D'autre part Farid Dib, avocat de l'ancien président, a démenti les intentions de Moubarak de présenter ses excuses au peuple. Dans des déclarations à la presse, l'avocat a démenti les allégations selon lesquelles l'ex-président aurait renoncé à ses biens. Il a nié dans ce sens la possession par Moubarak de fonds pouvant faire objet de concession sauf ses salaires en tant que président de la République et ses distinctions de l'ordre de l'Etoile de Sinaï et des deux étoiles de la légion d'honneur estimées chacune à 20.000 livres (plus de 3.500 dollars). La possibilité de gracier l'ex-président égyptien a suscité une vive polémique. Plusieurs analystes estimant qu'il s'agit d'une "dérobade" de la justice.