Cet important évènement qui fera date dans les annales de la coopération entre l'Algérie et la France, ouvert hier à l'hôtel Hilton, a rassemblé plus de 540 entreprises autour de 4 .000 rendez-vous d'affaires individuels. Cet important évènement qui fera date dans les annales de la coopération entre l'Algérie et la France, ouvert hier à l'hôtel Hilton, a rassemblé plus de 540 entreprises autour de 4 .000 rendez-vous d'affaires individuels. Alors qu'il s'est fixé comme objectif principal de favoriser le développement de partenariats commerciaux, industriels et technologiques entre les PME des deux pays, cette rencontre a été notamment rehaussée par la présence de personnalités algériennes et françaises, tels que le ministre de l'industrie, de la promotion des investissements et de la PME, Mohamed Benmeradi, du Commerce, Mustapha Benbada et de l'Agriculture, Rachid Benaïssa, alors que du côté français, l'Hexagone a été représenté par Jean Pierre Raffarin, ancien Premier ministre et conseiller spécial pour l'Algérie du président Sarkozy, Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat chargé du commerce extérieur, et de Christophe Lecourtier, directeur général d'Ubifrance, l'agence française pour le développement international des entreprises. Pierre Lellouche a notamment mis en exergue les potentialités économiques et les opportunités d'investissement et de coopération offertes par l'Algérie pour bâtir un partenariat d'excellence entre les deux pays. « L'Algérie est une terre de prédilection pour les entreprises françaises sachant que 450 entreprises y sont déjà actives ayant un stock d'investissement de plus de 2,5 milliards d'euros au moment où la France est classée au premier rang des investisseurs hors hydrocarbures » a-t-il déclaré. Lellouche : « Le gouvernement français veut booster le partenariat » Affichant une farouche détermination du gouvernement français pour booster les relations économiques et commerciales entre les deux pays, Lellouche a indiqué que « l'Algérie pourrait devenir le premier marché sur le plan africain en ce sens qu'elle constitue une chance formidable pour développer le tissu industriel productif et générer des emplois ». Le représentant de Sarkozy a également souligné que « l'Algérie, grande comme cinq fois la France et dont 65 % de la population ont moins de 30 ans, possède une économie ambitieuse grâce ressources naturelles (pétrole et gaz), mais aussi en raison de sa diversification économique qui veut renforcer sa vanne industrielle ». Pour lui, la manne financière évaluée à 280 milliards dollars, soit 35 % du PIB, attire bien les investisseurs et les entrepreneurs, notamment dans les secteurs clés, tels que les chemins de fer, l'eau, les écoles, les universités, les hôpitaux, les barrages et les stades… Il estime que le partenariat algéro-français est sur la bonne voie et peut connaître un extraordinaire essor, tant les 146 PME françaises et les 5.120 entreprises algériennes présentes au forum ont pour but primordial de réaliser des projets d'intérêt commun dans les domaines de l'agriculture, l'agroalimentaire, le bâtiment, l'hydraulique, la pharmacie, les équipements, les transports…Il précise que « les entreprises françaises représentent 3.500 fiches de paie en Algérie tandis que 100.000 emplois directs et indirects sont également à dénombrer.» Alors qu'il s'est fixé comme objectif principal de favoriser le développement de partenariats commerciaux, industriels et technologiques entre les PME des deux pays, cette rencontre a été notamment rehaussée par la présence de personnalités algériennes et françaises, tels que le ministre de l'industrie, de la promotion des investissements et de la PME, Mohamed Benmeradi, du Commerce, Mustapha Benbada et de l'Agriculture, Rachid Benaïssa, alors que du côté français, l'Hexagone a été représenté par Jean Pierre Raffarin, ancien Premier ministre et conseiller spécial pour l'Algérie du président Sarkozy, Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat chargé du commerce extérieur, et de Christophe Lecourtier, directeur général d'Ubifrance, l'agence française pour le développement international des entreprises. Pierre Lellouche a notamment mis en exergue les potentialités économiques et les opportunités d'investissement et de coopération offertes par l'Algérie pour bâtir un partenariat d'excellence entre les deux pays. « L'Algérie est une terre de prédilection pour les entreprises françaises sachant que 450 entreprises y sont déjà actives ayant un stock d'investissement de plus de 2,5 milliards d'euros au moment où la France est classée au premier rang des investisseurs hors hydrocarbures » a-t-il déclaré. Lellouche : « Le gouvernement français veut booster le partenariat » Affichant une farouche détermination du gouvernement français pour booster les relations économiques et commerciales entre les deux pays, Lellouche a indiqué que « l'Algérie pourrait devenir le premier marché sur le plan africain en ce sens qu'elle constitue une chance formidable pour développer le tissu industriel productif et générer des emplois ». Le représentant de Sarkozy a également souligné que « l'Algérie, grande comme cinq fois la France et dont 65 % de la population ont moins de 30 ans, possède une économie ambitieuse grâce ressources naturelles (pétrole et gaz), mais aussi en raison de sa diversification économique qui veut renforcer sa vanne industrielle ». Pour lui, la manne financière évaluée à 280 milliards dollars, soit 35 % du PIB, attire bien les investisseurs et les entrepreneurs, notamment dans les secteurs clés, tels que les chemins de fer, l'eau, les écoles, les universités, les hôpitaux, les barrages et les stades… Il estime que le partenariat algéro-français est sur la bonne voie et peut connaître un extraordinaire essor, tant les 146 PME françaises et les 5.120 entreprises algériennes présentes au forum ont pour but primordial de réaliser des projets d'intérêt commun dans les domaines de l'agriculture, l'agroalimentaire, le bâtiment, l'hydraulique, la pharmacie, les équipements, les transports…Il précise que « les entreprises françaises représentent 3.500 fiches de paie en Algérie tandis que 100.000 emplois directs et indirects sont également à dénombrer.»