Les représentants d'organisations estudiantines nationales ont appelé, hier, à Alger, à revoir à la baisse, l'âge légal de candidature aux instances élues du pays et impliquer davantage les jeunes compétences dans la gestion et la prise de décision. Les représentants d'organisations estudiantines nationales ont appelé, hier, à Alger, à revoir à la baisse, l'âge légal de candidature aux instances élues du pays et impliquer davantage les jeunes compétences dans la gestion et la prise de décision. Les neuf organisations estudiantines, reçues en même temps par l'instance de consultations sur les réformes politiques, ont salué dans des déclarations à la presse l'initiative des consultations et des réformes engagées en Algérie. Le représentant de l'Union générale estudiantine libre (UGEL) a mis l'accent sur la nécessité de «renforcer le rôle politique» de la jeunesse dans les institutions élues et d'«abaisser l'âge de candidature (à ces institutions) de 28 à 23 ans». Dans le même contexte, le délégué de l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA) a insisté sur le respect du principe de l'alternance au pouvoir pour accorder plus de chance à la jeunesse de participer à la gestion du pays, appelant en outre à «limiter les mandats électoraux, y compris celui du président de la République». Le représentant de la Solidarité nationale estudiantine (SNE) a souligné, quant à lui, la nécessité de procéder à une «révision profonde de la Constitution sans pour autant porter atteinte au caractère républicain de l'Etat, basé sur la démocratie et le multipartisme». Le représentant de l'Organisation nationale de la solidarité estudiantine (ONSE), a suggéré d'«aller» vers le système présidentiel autre que celui du semi-présidentiel, au même titre que la Ligue nationale des étudiants algériens (LNEA) qui a appelé à concilier système présidentiel et système parlementaire. Pour sa part, l'Alliance pour le renouveau estudiantin national (AREN) a considéré que la révision de la Constitution devrait «consacrer» le principe de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance de la justice dans le cadre d'un régime présidentiel. De son côté, le délégué de l'Organisation nationale des étudiants algériens (ONEA) a appelé à «valoriser» le rôle de la société civile en tant qu'«intermédiaire» entre la société et l'administration, encourageant aussi la femme à occuper des postes politiques. Le délégué de l'Union générale des étudiants algériens (UGEA) a mis en exergue la promotion du rôle politique de la femme au sein de la société, proposant, par ailleurs, la réactivation du Conseil supérieur de l'information tout en accordant davantage de liberté à la presse nationale. Le représentant de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA) a plaidé dans sa déclaration à la presse pour l'ouverture du champ audiovisuel ainsi que la promotion du rôle de la femme. . Les neuf organisations estudiantines, reçues en même temps par l'instance de consultations sur les réformes politiques, ont salué dans des déclarations à la presse l'initiative des consultations et des réformes engagées en Algérie. Le représentant de l'Union générale estudiantine libre (UGEL) a mis l'accent sur la nécessité de «renforcer le rôle politique» de la jeunesse dans les institutions élues et d'«abaisser l'âge de candidature (à ces institutions) de 28 à 23 ans». Dans le même contexte, le délégué de l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA) a insisté sur le respect du principe de l'alternance au pouvoir pour accorder plus de chance à la jeunesse de participer à la gestion du pays, appelant en outre à «limiter les mandats électoraux, y compris celui du président de la République». Le représentant de la Solidarité nationale estudiantine (SNE) a souligné, quant à lui, la nécessité de procéder à une «révision profonde de la Constitution sans pour autant porter atteinte au caractère républicain de l'Etat, basé sur la démocratie et le multipartisme». Le représentant de l'Organisation nationale de la solidarité estudiantine (ONSE), a suggéré d'«aller» vers le système présidentiel autre que celui du semi-présidentiel, au même titre que la Ligue nationale des étudiants algériens (LNEA) qui a appelé à concilier système présidentiel et système parlementaire. Pour sa part, l'Alliance pour le renouveau estudiantin national (AREN) a considéré que la révision de la Constitution devrait «consacrer» le principe de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance de la justice dans le cadre d'un régime présidentiel. De son côté, le délégué de l'Organisation nationale des étudiants algériens (ONEA) a appelé à «valoriser» le rôle de la société civile en tant qu'«intermédiaire» entre la société et l'administration, encourageant aussi la femme à occuper des postes politiques. Le délégué de l'Union générale des étudiants algériens (UGEA) a mis en exergue la promotion du rôle politique de la femme au sein de la société, proposant, par ailleurs, la réactivation du Conseil supérieur de l'information tout en accordant davantage de liberté à la presse nationale. Le représentant de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA) a plaidé dans sa déclaration à la presse pour l'ouverture du champ audiovisuel ainsi que la promotion du rôle de la femme. .