Hier encore, un autre sit-in a été tenu par les familles des dix-sept marins algériens pris en otage en haute mer, alors qu'ils se dirigeaient vers le port de Mombasa au Kenya, par des pirates somaliens depuis le 1er janvier de l'année en cours et, ce au niveau d'Hydra à Alger où se trouve le siège de l'IBC. Les familles qui sont décidées à maintenir la pression dans l'espoir de trouver une oreille attentive de la part des hautes autorités du pays qui devraient, selon les familles, agir au plus vite, car les marins sont déjà sequestrés depuis depuis un semestre déjà. Une absence qui pèse très lourd au fil des jours pour ces familles. « Nous avons épuisé toutes nos forces à lancer des appels et des cris de détresse qui n'ont, malheureusement, pas encore trouvé d'échos à part ces promesses », nous diront les familles des otages interrogées sur les lieux du sit-in, hier. Il faut noter pourtant, que les autorités, représentés par Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères ou encore Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, ont indiqué que l'Algérie suivait de près la situation de ses otages, victimes d'actes de piraterie et œuvre à leur libération. « Nous travaillons dans la discrétion avec nos partenaires et nos ambassades pour la libération des otages », a affirmé M. Messahel dans une conférence de presse tenue la semaine dernière. « Ces promesses n'apportent pourtant aucune assurance aux familles qui disent, aujourd'hui, que tant qu'il n'y a rien de concret et qu'aucune aucune mesure officielle n'a été prise jusqu'ici, nos craintes et notre peur augmenteront davantage ». Il est important de noter que les familles réunies hier avec M. Menssouri, s'interrogent sur la question de l'avancement des négociations puisque selon M. Messahel, l'armateur, International, Bulk Carriers IBC, serait en train de négocier avec les pirates pour la libération des otages. « Nous avons appris, à travers la presse que l'affréteur négocie avec les Somaliens pour la libération des otages, mais, nous, en tant que familles, nous n'avons pas été mis au courant de ses démarches ». Il est utile de rappeler aussi que Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, avait lancé un appel solennel pour la libération de tous les otages, dont des Algériens, détenus en Somalie. Le chef de la diplomatie algérienne avait estimé que l'Afrique et la communauté internationale devaient renforcer leur coopération pour mettre fin au terrorisme et à la piraterie qui déstabilise la Somalie. Pour rappel, le vraquier battant pavillon algérien, le MV Blida, avait à son bord un équipage de 27 membres, dont 17 de nationalité algérienne. Le capitaine du navire ainsi que 5 membres d'équipage sont de nationalité ukrainienne. Les 4 autres membres sont de nationalité philippine (2), jordanienne (1) et indonésienne (1). Hier encore, un autre sit-in a été tenu par les familles des dix-sept marins algériens pris en otage en haute mer, alors qu'ils se dirigeaient vers le port de Mombasa au Kenya, par des pirates somaliens depuis le 1er janvier de l'année en cours et, ce au niveau d'Hydra à Alger où se trouve le siège de l'IBC. Les familles qui sont décidées à maintenir la pression dans l'espoir de trouver une oreille attentive de la part des hautes autorités du pays qui devraient, selon les familles, agir au plus vite, car les marins sont déjà sequestrés depuis depuis un semestre déjà. Une absence qui pèse très lourd au fil des jours pour ces familles. « Nous avons épuisé toutes nos forces à lancer des appels et des cris de détresse qui n'ont, malheureusement, pas encore trouvé d'échos à part ces promesses », nous diront les familles des otages interrogées sur les lieux du sit-in, hier. Il faut noter pourtant, que les autorités, représentés par Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères ou encore Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, ont indiqué que l'Algérie suivait de près la situation de ses otages, victimes d'actes de piraterie et œuvre à leur libération. « Nous travaillons dans la discrétion avec nos partenaires et nos ambassades pour la libération des otages », a affirmé M. Messahel dans une conférence de presse tenue la semaine dernière. « Ces promesses n'apportent pourtant aucune assurance aux familles qui disent, aujourd'hui, que tant qu'il n'y a rien de concret et qu'aucune aucune mesure officielle n'a été prise jusqu'ici, nos craintes et notre peur augmenteront davantage ». Il est important de noter que les familles réunies hier avec M. Menssouri, s'interrogent sur la question de l'avancement des négociations puisque selon M. Messahel, l'armateur, International, Bulk Carriers IBC, serait en train de négocier avec les pirates pour la libération des otages. « Nous avons appris, à travers la presse que l'affréteur négocie avec les Somaliens pour la libération des otages, mais, nous, en tant que familles, nous n'avons pas été mis au courant de ses démarches ». Il est utile de rappeler aussi que Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, avait lancé un appel solennel pour la libération de tous les otages, dont des Algériens, détenus en Somalie. Le chef de la diplomatie algérienne avait estimé que l'Afrique et la communauté internationale devaient renforcer leur coopération pour mettre fin au terrorisme et à la piraterie qui déstabilise la Somalie. Pour rappel, le vraquier battant pavillon algérien, le MV Blida, avait à son bord un équipage de 27 membres, dont 17 de nationalité algérienne. Le capitaine du navire ainsi que 5 membres d'équipage sont de nationalité ukrainienne. Les 4 autres membres sont de nationalité philippine (2), jordanienne (1) et indonésienne (1).