L'Algérie et le Chili ont convenu, lundi dernier, à Santiago, de renforcer leur coopération en développant les contacts et les rencontres dans les domaines politique, économique, culturel et commercial, a indiqué, hier, une source diplomatique citée par l'APS. Selon la même source, cette décision a été prise lors de consultations politiques, tenues dans la capitale chilienne, entre le directeur général département Amériques pour la partie algérienne, Sabri Boukadoum, et le directeur général des relations bilatérales pour la partie chilienne, Rodrigo Gaete. «De nouveaux instruments juridiques d'encadrement de cette coopération vont être finalisés» dans cette perspective, a-t-on précisé de même source. En outre, ladite rencontre a été l'occasion de souligner le «grand intérêt» que porte Alger au renforcement des liens avec l'Amérique latine, à son processus d'intégration économique et politique, notamment à travers l'UNASUR. Il convient de préciser, dans ce contexte, que le processus de développement interne, dans les deux pays, a été également examiné. Une présentation détaillée des réformes politicoéconomiques en Algérie concernant les investissement du plan quinquennal a été faite à la partie chilienne. Le Chili, qui a une très grande expérience dans les domaines agricole, minier et de la pêche a, à ce sujet, exprimé sa disposition à assurer une «plus grande présence en Algérie». Notons aussi que les deux parties se sont félicitées également de la prochaine entrée en vigueur de l'accord en matière de sécurité sociale au profit des travailleurs chiliens qui ont cotisé en Algérie. Il s'agit dans leur totalité de fonctionnaires chiliens qui se sont exilés en Algérie durant des années 70 et qui ont été recrutés par les administrations algériennes au titre de leurs expérience et qualification. Ces consultations ont été aussi l'occasion pour les deux parties de passer en revue l'ensemble des questions multilatérales sans oublier la situation dans le monde arabe, en Afrique, au Maghreb, en Libye et au Sahara occidental, à propos duquel l'appui aux efforts de l'envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies, Christopher Ross, a été «de nouveau fermement souligné». L'Algérie et le Chili ont convenu, lundi dernier, à Santiago, de renforcer leur coopération en développant les contacts et les rencontres dans les domaines politique, économique, culturel et commercial, a indiqué, hier, une source diplomatique citée par l'APS. Selon la même source, cette décision a été prise lors de consultations politiques, tenues dans la capitale chilienne, entre le directeur général département Amériques pour la partie algérienne, Sabri Boukadoum, et le directeur général des relations bilatérales pour la partie chilienne, Rodrigo Gaete. «De nouveaux instruments juridiques d'encadrement de cette coopération vont être finalisés» dans cette perspective, a-t-on précisé de même source. En outre, ladite rencontre a été l'occasion de souligner le «grand intérêt» que porte Alger au renforcement des liens avec l'Amérique latine, à son processus d'intégration économique et politique, notamment à travers l'UNASUR. Il convient de préciser, dans ce contexte, que le processus de développement interne, dans les deux pays, a été également examiné. Une présentation détaillée des réformes politicoéconomiques en Algérie concernant les investissement du plan quinquennal a été faite à la partie chilienne. Le Chili, qui a une très grande expérience dans les domaines agricole, minier et de la pêche a, à ce sujet, exprimé sa disposition à assurer une «plus grande présence en Algérie». Notons aussi que les deux parties se sont félicitées également de la prochaine entrée en vigueur de l'accord en matière de sécurité sociale au profit des travailleurs chiliens qui ont cotisé en Algérie. Il s'agit dans leur totalité de fonctionnaires chiliens qui se sont exilés en Algérie durant des années 70 et qui ont été recrutés par les administrations algériennes au titre de leurs expérience et qualification. Ces consultations ont été aussi l'occasion pour les deux parties de passer en revue l'ensemble des questions multilatérales sans oublier la situation dans le monde arabe, en Afrique, au Maghreb, en Libye et au Sahara occidental, à propos duquel l'appui aux efforts de l'envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies, Christopher Ross, a été «de nouveau fermement souligné».