«La rencontre d'aujourd'hui regroupant les opérateurs économiques algériens et américains du secteur de la santé est un espace d'échanges qui contribuera au développement de la biotechnologie dans le secteur de la pharmacie en Algérie» a notamment déclaré, hier à l'hôtel Hilton, le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, Mohamed Benmeradi, en présence des ministres de la Santé publique, de la Réforme hospitalière, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. «La rencontre d'aujourd'hui regroupant les opérateurs économiques algériens et américains du secteur de la santé est un espace d'échanges qui contribuera au développement de la biotechnologie dans le secteur de la pharmacie en Algérie» a notamment déclaré, hier à l'hôtel Hilton, le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, Mohamed Benmeradi, en présence des ministres de la Santé publique, de la Réforme hospitalière, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Le chargé d'affaires de l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique et le président du conseil d'affaires algéro-américain étaient également présents à cette rencontre entre les industriels, investisseurs et dirigeants d'entreprises spécialisées dans l'industrie et la fabrication du médicament. Le forum santé Algérie-2011, placé sous le patronage du ministre de la Santé «ne manquera pas d'attirer les investisseurs américains en vue d'un partenariat mutuellement profitable», selon Ould Abbès qui a rappelé l'excellence des relations politiques, économiques et historiques existantes entre les deux pays depuis le 5 juillet 1750. En outre, Benmeradi a indiqué que «l'industrie du médicament en Algérie est un formidable gisement d'opportunités pour les entreprises étrangères souhaitant investir dans notre pays et pour les groupes industriels des Etats-Unis d'Amérique qui ont des positions de leaders mondiaux, car l'Algérie fait partie d'un groupe de 15 pays émergents représentant un marché du médicament en forte croissance sur les 5 à 10 années à venir, suivant le conclusions d'études récente.». Ce forum où de nombreux fabricants et laboratoires pharmaceutiques exposent la gamme de leurs produits médicamenteux, doit permettre aux entreprises étrangères, tels Bayer, AstraZeneca, Amgen, Lilly, Novartis, Pfizer… «est un espace privilégié pour tisser des relations de coopération et de partenariat fécondes entre les industriels» selon le ministre de la Santé. Mais, les représentants du gouvernement ont mis en relief «la possibilité pour les firmes internationales et les entreprises nationales d'investir dans ce segment pour envisager éventuellent d'exporter leurs produits». Ayant pour objectif essentiel de réduire la facture d'importation des médicaments dont le montant annuel dépasse les 2 milliards de dollars, les pouvoirs publics envisagent de stimuler l'industrie pharmaceutique et encourager, par voie de conséquence, le partenariat étranger. Dans cet ordre d'idées, Benmeradi a affirmé que la stratégie nationale en matière de promotion des exportations hors hydrocarbures et la diversification économique est basée sur trois volets importants. Il s'agit, selon lui, «d'accroître les incitations et les encouragements à la création de PME, et particulièrement l'accès aux crédits bancaires, l'augmenter de l'offre foncière par la concession de gré à gré des terrains aux investisseurs à des conditions très avantageuses et enfin, d'alléger les procédures administratives pour élargir le réseau des guichets uniques décentralisés de l'Andi au niveau des 48 wilayas du pays». Selon Djamel Ould Abbès, «l'Algérie accorde une grande importance à tous ceux qui contribuent à la mise en place de réseaux de coopération et de partenariat dans le domaine de la recherche et développement en biotechnologies et de transfert de savoir». Tandis que Rachid Harraoubia a souligné l'importance de l'évènement du fait que dit-il, «le forum est relatif à la recherche en biotechnologies en liaison avec la santé». Il estime par ailleurs, que «le secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique accorde un grand intérêt à l'évolution des biotechnologies pour répondre aux besoins de la société dans le domaine des médicaments. C'est ainsi qu'un centre national de recherche en biotechnologies a été récemment créé à Constantine». Le chargé d'affaires de l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique et le président du conseil d'affaires algéro-américain étaient également présents à cette rencontre entre les industriels, investisseurs et dirigeants d'entreprises spécialisées dans l'industrie et la fabrication du médicament. Le forum santé Algérie-2011, placé sous le patronage du ministre de la Santé «ne manquera pas d'attirer les investisseurs américains en vue d'un partenariat mutuellement profitable», selon Ould Abbès qui a rappelé l'excellence des relations politiques, économiques et historiques existantes entre les deux pays depuis le 5 juillet 1750. En outre, Benmeradi a indiqué que «l'industrie du médicament en Algérie est un formidable gisement d'opportunités pour les entreprises étrangères souhaitant investir dans notre pays et pour les groupes industriels des Etats-Unis d'Amérique qui ont des positions de leaders mondiaux, car l'Algérie fait partie d'un groupe de 15 pays émergents représentant un marché du médicament en forte croissance sur les 5 à 10 années à venir, suivant le conclusions d'études récente.». Ce forum où de nombreux fabricants et laboratoires pharmaceutiques exposent la gamme de leurs produits médicamenteux, doit permettre aux entreprises étrangères, tels Bayer, AstraZeneca, Amgen, Lilly, Novartis, Pfizer… «est un espace privilégié pour tisser des relations de coopération et de partenariat fécondes entre les industriels» selon le ministre de la Santé. Mais, les représentants du gouvernement ont mis en relief «la possibilité pour les firmes internationales et les entreprises nationales d'investir dans ce segment pour envisager éventuellent d'exporter leurs produits». Ayant pour objectif essentiel de réduire la facture d'importation des médicaments dont le montant annuel dépasse les 2 milliards de dollars, les pouvoirs publics envisagent de stimuler l'industrie pharmaceutique et encourager, par voie de conséquence, le partenariat étranger. Dans cet ordre d'idées, Benmeradi a affirmé que la stratégie nationale en matière de promotion des exportations hors hydrocarbures et la diversification économique est basée sur trois volets importants. Il s'agit, selon lui, «d'accroître les incitations et les encouragements à la création de PME, et particulièrement l'accès aux crédits bancaires, l'augmenter de l'offre foncière par la concession de gré à gré des terrains aux investisseurs à des conditions très avantageuses et enfin, d'alléger les procédures administratives pour élargir le réseau des guichets uniques décentralisés de l'Andi au niveau des 48 wilayas du pays». Selon Djamel Ould Abbès, «l'Algérie accorde une grande importance à tous ceux qui contribuent à la mise en place de réseaux de coopération et de partenariat dans le domaine de la recherche et développement en biotechnologies et de transfert de savoir». Tandis que Rachid Harraoubia a souligné l'importance de l'évènement du fait que dit-il, «le forum est relatif à la recherche en biotechnologies en liaison avec la santé». Il estime par ailleurs, que «le secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique accorde un grand intérêt à l'évolution des biotechnologies pour répondre aux besoins de la société dans le domaine des médicaments. C'est ainsi qu'un centre national de recherche en biotechnologies a été récemment créé à Constantine».