Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari, a estimé, hier, que les partis politiques algériens notamment ceux de l'opposition sont «faibles». Selon la troisième personnalité de la République, certains courants politiques, même s'ils se disent démocrates, ne le sont pas en réalité. Car, a-t-il dit «il ne faut pas que chaqun s'enferme dans ses certitudes et estime que c'est ça ou rien». Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari, a estimé, hier, que les partis politiques algériens notamment ceux de l'opposition sont «faibles». Selon la troisième personnalité de la République, certains courants politiques, même s'ils se disent démocrates, ne le sont pas en réalité. Car, a-t-il dit «il ne faut pas que chaqun s'enferme dans ses certitudes et estime que c'est ça ou rien». L'invité de la Radio nationale a, concernant le regard qu'il porte sur l'opposition aujourd'hui déclaré que «je la trouve faible. Je trouve que son message, si elle en a un, n'arrive pas à la population pour lui proposer des solutions à ses problèmes» tel que ceux de l'emploi, de la crise de logement ainsi que celles, a-t-il dit «pour sortir le pays de sa dépendance excessive et dangereuse des revenus du pétrole». M. Ziari a, dans ce contexte, souligné que «s'il y a des solutions que peut amener cette opposition pourquoi pas ? Mais c'est la population qui doit être convaincue, ce n'est ni les masses média ni moi-même ni les groupes des lobbies». S'agissant de certains partis qui ont décliné l'invitation de l'Instance des consultations sur les réformes politiques, le président de l'APN, qui, lui-même a été reçu autant que membre dirigeant du FLN (Front de libération nationale), a estimé que «rien n'empêche les partis politiques, qui ne participent pas à ces consultations sous cette forme-là parce qu'ils la contestent ; de faire des tables rondes politiques entre eux». A cet effet, M. Ziari s'est dit que si, par cette formule, des partis politiques ou des courants ou des personnalités n'ont pas participé, «peut-être qu'il faudrait qu'ils fassent des contre- propositions pour pouvoir confronter leurs idées les uns et les autres». Grosso modo, «je crois que la politique du ni, ni, et de refus ne sert ni le pays ni les courants politiques concernés» a encore dit la 3e personnalité de l'Etat. Se reposant sur la célèbre phrase de Mohamed Yazid qui, au moment de l'ouverture politique, a dit que «nous étions dans un système de parti unique et maintenant nous avons 60 partis uniques», M. Ziari a mis en exergue qu'«il ne faut pas que chacun s'enferme dans ses certitudes et estime que c'est ça ou rien». Par ailleurs, M. Ziari a concernant certains partis qui, à maintes reprises, pointent le système politique du doigt l'accusant de «fraude» dans les élections ; estimé que «celui qui n'a pas de majorité dira que les élections sont truquées». En plus, a-t-il poursuivi, «la minorité n'accepte pas d'être une minorité». Pour ce qui est du plaidoyer de certains partis et courants politiques quant à un redémarrage à zéro, M. Ziari a, tout en déclarant que cette demande date de 1962, noté qu'«il faut être sérieux». Selon lui, «c'est une espèce de poussez-vous qu'on s'y mette que j'ai déjà entendu durant les années 80 et 90». Sur un autre plan, M. Ziari a fait entendre que lesdites consultations politiques, qui ont débuté le 21 mai et devront prendre fin à la fin de ce mois en cours, pourront se prolonger. Estimant qu'«il ne faut pas être manichéen» au point de dire que «ça comme ça et pas comme ça, ou ça commence tel jour et ça fini tel jour», le président de la Chambre basse a déclaré que «les consultations par définition peuvent se poursuivre et prendre toutes les formes». En outre, cette forme de consultations «n'est pas un modus opérandi unique». Cela veut dire, a-t-il expliqué, que «rien n'empêche ces consultations de se poursuivre au-delà et de prendre d'autres formes». L'invité de la Radio nationale a, concernant le regard qu'il porte sur l'opposition aujourd'hui déclaré que «je la trouve faible. Je trouve que son message, si elle en a un, n'arrive pas à la population pour lui proposer des solutions à ses problèmes» tel que ceux de l'emploi, de la crise de logement ainsi que celles, a-t-il dit «pour sortir le pays de sa dépendance excessive et dangereuse des revenus du pétrole». M. Ziari a, dans ce contexte, souligné que «s'il y a des solutions que peut amener cette opposition pourquoi pas ? Mais c'est la population qui doit être convaincue, ce n'est ni les masses média ni moi-même ni les groupes des lobbies». S'agissant de certains partis qui ont décliné l'invitation de l'Instance des consultations sur les réformes politiques, le président de l'APN, qui, lui-même a été reçu autant que membre dirigeant du FLN (Front de libération nationale), a estimé que «rien n'empêche les partis politiques, qui ne participent pas à ces consultations sous cette forme-là parce qu'ils la contestent ; de faire des tables rondes politiques entre eux». A cet effet, M. Ziari s'est dit que si, par cette formule, des partis politiques ou des courants ou des personnalités n'ont pas participé, «peut-être qu'il faudrait qu'ils fassent des contre- propositions pour pouvoir confronter leurs idées les uns et les autres». Grosso modo, «je crois que la politique du ni, ni, et de refus ne sert ni le pays ni les courants politiques concernés» a encore dit la 3e personnalité de l'Etat. Se reposant sur la célèbre phrase de Mohamed Yazid qui, au moment de l'ouverture politique, a dit que «nous étions dans un système de parti unique et maintenant nous avons 60 partis uniques», M. Ziari a mis en exergue qu'«il ne faut pas que chacun s'enferme dans ses certitudes et estime que c'est ça ou rien». Par ailleurs, M. Ziari a concernant certains partis qui, à maintes reprises, pointent le système politique du doigt l'accusant de «fraude» dans les élections ; estimé que «celui qui n'a pas de majorité dira que les élections sont truquées». En plus, a-t-il poursuivi, «la minorité n'accepte pas d'être une minorité». Pour ce qui est du plaidoyer de certains partis et courants politiques quant à un redémarrage à zéro, M. Ziari a, tout en déclarant que cette demande date de 1962, noté qu'«il faut être sérieux». Selon lui, «c'est une espèce de poussez-vous qu'on s'y mette que j'ai déjà entendu durant les années 80 et 90». Sur un autre plan, M. Ziari a fait entendre que lesdites consultations politiques, qui ont débuté le 21 mai et devront prendre fin à la fin de ce mois en cours, pourront se prolonger. Estimant qu'«il ne faut pas être manichéen» au point de dire que «ça comme ça et pas comme ça, ou ça commence tel jour et ça fini tel jour», le président de la Chambre basse a déclaré que «les consultations par définition peuvent se poursuivre et prendre toutes les formes». En outre, cette forme de consultations «n'est pas un modus opérandi unique». Cela veut dire, a-t-il expliqué, que «rien n'empêche ces consultations de se poursuivre au-delà et de prendre d'autres formes».